I
Au début, il craignait que frère Thomas fût dans le milieu de comploté quelque chose de maléfique, pour lui ou pour Guillaume. Quelque chose qui avait figé, son sang dessous sa peau pour des jours, ce qui était pourquoi il était si surpris, le moment il départit pour le nord-est. Soulager le moment que le clerc départit, avec le plus vieil homme le visitant avant son départ, pendant qu’il travaillait. Il était le seul là, avec Deuterie ayant départi pour délivrer de la nourriture à une ferme en dehors de Daupine. Guillaume avait départi dans la direction opposée, pendant que Michel l’autre apprenti, était préoccupé avec aller chercher de l’eau du puis, pour nettoyer la viande dans la cuisine de la maison.
Dans le milieu de couper la tête d’un cochon, bien cueilli il ne reconnut pas la voix de l’homme s’adressant à lui, ses yeux baissés. -Combien pour un perdreau bien cueilli ?
-Quatre pièces de cuivre, Répondit-il sans hésitation, élevant ses yeux pour rencontrer le regard, du douvard, son cœur venant à une halte. Fr-frère Thomas, je-
-Ô calme-toi Henri, on dirait que tu viens de voir un homme retourner du monde des morts. Grommela l’autre homme, qui croissant ses bras examina le cochon qu’il travaillait dessus. Je vois, que tu as déjà démontré un certain talent pour ceci. J’aurais dû le savoir.
-Que veux-tu ?
-Moi ? Rien, Dit-il d’un ton si faussement innocent, qu’Henri était certain que même des nouveau-nés ne le croiraient jamais. Amusé, le douvard soupira avant d’admettre, D’accord, je suis ici pour te laisser savoir que je ne serais pas présent, pour deux semaines. Puisque je serais préoccupé, avec une tour de mes bénéfices dans le Nord.
Soulager, il pouvait à peine empêcher cette émotion de sa face disant, -Vraiment, c’est un pitié.
-N’essaye pas de me flatter, Henri je sais que tu me détestes. Je te communique ceci, car j'ai l'intention de te faire part de ce que j'ai en tête pour toi à mon retour, est-ce que c'est bien compris ? Demanda-t-il sévèrement élevant un sourcil.
Si c’était la semaine dernière, quand il était encore en choc par avoir venir si proche à la mort, il aurait sans doute soumis immédiatement au clerc. Cependant, durant la dernière semaine, passant temps avec Guillaume et Deuterie, l’avait revigoré son esprit. Le donnant le courage pour le refuser. -Non, je refuse. Je ne sais pas ce que tu as en tête, mais je ne le ferais pas.
Il s’attendait pour voir Thomas s'enrager contre lui pour son refus. Le douvard l'étonna par le demandant presque doucement, une note d’amusement dans sa voix. -Vraiment ? Et si j’étais pour rapporter ton crime à tes sœurs, celui qui inclut tes parents ?
Se figeant, il n’avait aucune réponse pour lui, pas immédiatement. Ayant su qu’il avait deviné la vérité, était une chose, cependant pour l’entendre vocaliser cela était différent. Avalant, il répondit d’une voix tremblante, mais aussi féroce que possible. -O-oui, fais-le. Mes sœurs me croiront avant tous autres gens.
Rencontrant son regard, une étincelle amuser entrant dedans ses yeux, -Très bien, je te verrais quand même en deux semaines. Tournant pour partir, à la surprise du boucher apprenti qui le suivit avec ses yeux, juste pour que le clerc tourne sa tête pour le dire avec un sourire narquois. Dis salut à Deuterie pour moi.
Il y avait un message là derrière ses paroles. Le trouble était qu’il ne pouvait pas le discerner, il était certain qu’il y avait une menace déguisée derrière eux. Peut-être il planifiait, informer la jeune fille de ce que le nouvel arriver en Daupine, avait fait. Ce qui pourrait écraser ses chances avec elle, mais s’il voulait réellement faire cela, pourquoi pas mentionner Guillaume ? Confus et perturbé, il ne parviendrait pas à se concentrer correctement sur la tâche qui lui faisait face.
Quelque chose qui résulterait en son maître devenant irrité envers lui, pour son inattention, -Retourne demain, tu ne m’es pas utile comme cela.
Ébranlé, ce serait quelque temps avant qu’il remarque comment Deuterie pris si longtemps pour retourner. Si distrait était-il par la conversation avec le douvard, qu’il ne comprit pas qu’il venait de tenter la colère d’un diable.
Pas qu’il avait beaucoup de temps pour cette sorte d’inquiétude dans les jours qui suivit. Car, le prochain jour, ils départirent pour Barmier, qu’ils arrivèrent à deux jours plus tard. Avec l’entièreté de leur groupe restant à une auberge.
*****
Dans les jours menant au festival, peu après leur arrivée, une deuxième chose fut apportée à son attention, par Ildégarde tôt un matin avant qu’il fût pour départir pour son travail. Comme toujours elle était habillée en une jupe parfaitement tricotée, un mélange de fourrure et laine épaisse, avec son bonnet noir sur sa tête. -Est-ce que tu as dit quelque chose à Isabel ?
Confus, il secoua la tête alors qu'il venait de finir de manger un oignon qu'elle lui avait offert un instant plus tôt. -Non, pourquoi ?
Soupirant comme-ci elle le considérait le plus stupide homme au monde, elle grogna malheureuse, -Parce qu’elle est déprimée ces jours-ci.
N’ayant pas vu la fille en des jours, il sentit sa propre consternation grandir, tournant vers elle dans l’ouverture de la porte il la demanda, -Je ne l’ai pas vu en des jours, non plus. Il se peut qu’elle ait simplement trouvé quelqu’un qu’elle reconnaît et nous informerons de cela, en quelques jours.
Son espoir était peut-être naïf, mais c’était le mieux qu’il pouvait espérer pour, sans savoir ce que la jeune fille pensait. Sa sœur le regardait avec impatience, exprimant plus sur ses pensées à son sujet en ce moment que toutes les paroles qu'Isabel ne pouvait pas exprimer. Départant avec un court adieu, et un échange sarcastique cette conversation inspirait de l’irritation et agacement sur sa part, envers Ildégarde, pour le restant du jour. Même le jour après, il sentirait de cette façon envers elle.
Pourtant, avec le fait que la jeune muette était triste pour une raison ou une autre, étant apporté à son attention, il ne pouvait plus l’ignorer. Le trouble était, que juste comme il savait maintenant qu’elle n’allait pas aussi bien que dernièrement assumer, elle semblait l’éviter. Le moment où il disparaît ou se couche, ou parfois s'enfuit avant de se réveiller le matin. Pour que peu importent ses bonnes intentions, il devient soupçonneux qu’elle l’évitait pour des raisons qui l’échappaient.
Il aurait bien voulu la confronter à propos de cela, ou demander pour du conseil de quelqu’un, peut-être Guillaume. Le problème était qu’il ne le connaissait pas assez bien, pour sentir assez à l’aise pour discuter la muette avec lui. En plus de cela, il y avait bientôt de plus en plus de clients, le plus que le temps s’avançait vers le festival de Kessinger.
*****
Le jour du festival débuta comme n’importe quel autre jour, pour Henri. Isabel était encore endormie, entre Ildégarde et Maria. Considérant la réveiller encore, comme il avait fait plusieurs jours auparavant, pour avoir la conversation qu’il voulait tant avoir. Ce qui l’arrêta était la connaissance qu’il ne pourrait pas la comprendre, ni est-ce qu’elle resterait assez longue pour tenter de communiquer avec lui. Alors, mangeant tout seul avec Michel, il laissa les filles dormantes toutes seules dans la chambre, que l’entièreté de leur groupe partageait (parce que Guillaume ne voulait pas payer pour des autres chambres dans la petite auberge).
Arrivant un peu plus tôt que d’habitude, pour aider son maître à se préparer pour le festival religieux, qui était au centre de la vie commerciale du village de Barmier. Où le village était encore à moitié endormi par ce temps, la présence des marchands des autres coins de Norstrieux, avait apporté une mer de flambeaux et lumières à prendre racine en Barmier.
-Henri, bon de te voir, Le salua Guillaume le moment il le vit, dans le milieu d’organiser sa stalle pour la journée, avec l’aide de Deuterie qui regardait encore à moitié endormie.
-Vous aussi, qu’y a-t-il ‘Térie ? Ne me dis pas que tu es encore endormie, Taquina-t-il avec un petit rire, en toute honnêteté il était encore fatigué lui-même.
-La ferme, Grommela-t-elle sans force, un petit sourire grimpant à ses lèvres.
-D’accord vous deux, c’est temps pour du travail et non pour flirter, Coupa son père sans malice, pointant son apprenti vers un coin. Henri, pourrais-tu voir à ces poulets-là ? ‘Térie, fait moi une faveur, par allant chercher Michel. Je vais avoir besoin de lui aussi.
-Oui papa, Murmura-t-elle roulant ses yeux avec une grimace vers Henri, qui réprima un sourire, ses joues presque aussi écarlates que ceux de la jeune fille.
Les deux avaient flirté un peu, au fil des derniers jours comme son père avait mentionné, avec un ou deux baisés aussi échangés. Tous deux, trop préoccupés avec leurs travaux, autant que par leurs familles individuelles ils n’avaient pas eu la chance pour discuter, ou considérés faire plus. Maîtres et apprenti travailleront pour les prochaines heures, sans trop de mots échangés entre eux, tous deux concentrant leur attention sur les tâches devant eux. Michel et Deuterie, après avoir retourné feraient la même. Michel étant un court homme avec des traits et cheveux courts, bruns noircis des yeux noirs et une figure costaude, souvent habillé en rouge bien noirci. Tandis qu’aujourd’hui la jolie fille était en une jupe rouge si noircie que c’était presque noir, de laine épaisse, qui était clouée à sa figure, son propre bonnet manquant comme toujours. Pour que ses cheveux fussent libres, sans nœuds venant à un fin mi-dos, avec Henri rêvant de temps en temps à courée ses mains à travers eux.
Ce ne serait pas le premier festival qu’il voit, cependant il n’était pas désormais habitué à voir tant de gens en une place, ou même de voir tant que ce qu’il verrait cette semaine. Entre les acrobates, les bardes, les propriétaires d’animaux, les musiciens, plein d’autres, en plus de la nourriture de toute sorte, qu’il n’aurait jamais pu imaginer existait auparavant.
Bientôt ils seront récompensés pour leurs efforts, par des gens et marchants qui passaient par là, s’arrêtant de temps en temps pour demander pour ce bout de viande, ou ce morceau-là. La viande étant coûteuse pour des paysans, et d’abord la vente de cette sorte de nourriture, une manière de vie très profitable. Si préoccuper était-il que c’était tout ce qu’ils pouvaient faire, entre le lever des soleils et midi pour nourrir autant des clients que possible. Priant pour l’arrivée de sa sœur et la muette, qui avait été instruisit hier, qu’il aurait besoin de leur aide, pour un peu du jour. Avant qu’elles puissent aller s’amuser au festival. Alors, le moment qu’elles arrivèrent il ne pouvait pas réprimer une certaine impatience, envers eux quand il les vit.
-Où étiez-vous ? Demanda-t-il suant, à cause de la chaleur du feu à côté de lui, sur laquelle il cueillait plusieurs poulets dessus.
Anxieuses, les deux filles l’approchèrent après avoir échangé un regard incertain. Ceci était quelque chose qui l’inquiétait presque autant que la colère, que la fille aînée démontrait de plus en plus, envers Maria de ces jours-ci. Car, il savait qu’elles allaient demander quelque chose de lui, et que ce serait quelque chose d’énorme, qu’il n’allait pas aimer. Depuis sa plus tendre enfance la fille aux cheveux brunes, avait toujours adopté cette sorte d’expression, n’importe quand elle voulait quelque chose, qu’elle savait le coûterait chèrement.
-Henri, est-ce qu’on peut aller joindre le festival ? Deuterie peut nous joindre aussi. Demanda Ildégarde nerveusement de lui, ne le surprenant pas. Considérant son travail et Guillaume qui était déjà préoccupé avec vendre la viande, qu’il coupait en ce moment. Il était déjà dans le milieu de secouer sa tête, quand elle ajouta après un autre coup d’œil vers Isabel. On vous aidera plus tard, après quelques heures, et durant l’entièreté de demain.
Henri y pensa, indécise il n’aimait pas l’idée de ses sœurs et Isabel partant pour où ils ne pouvaient pas les voir, ou les laissés allés sans avoir contribué même un peu, au travail. Il savait qu’elles avaient le droit de faire comme elles le voulaient, en particulière avec ce qui les était arrivé récemment. Mais il espérait avoir leurs aident pour un peu, avant de les laisser allez.
Cependant, il ne pouvait pas nier la possibilité, que se pourrait devenir plus préoccuper plus tard, et qu’elles seraient plus utiles à ce temps. Il était coincé, par le regard exciter qui venir aux yeux de la fille à côté de lui, qui tourna à son père de la même manière suppliante, que la sœur de l’apprenti.
-S’il vous plait, papa ? Plaida Deuterie, tirant une petite hochement de la tête de son père amusé, ce qui fit sa décision pour lui, même s’il savait qu’il allait acquiescer pour commencer, simplement pour plaire à Ildé et faire paix avec Isabel.
-Je ne vois pas la peine, la foule s’est commencée, à se disperser en tout cas, Dit Guillaume, prêt à compromettre avec un coup d’œil vers son apprenti. Si Henri est correct avec cela.
-D’accord, mais ne laisse Isabel pas toute seule, pour une seule minute, Rétorqua-t-il, ceci étant son seul condition avec un coup d’œil à la troisième fille, qui sourit timidement à lui, le rassurant. Elle ne nous appartient pas alors nous avons une certaine responsabilité envers elle.
-Certainement, Henri. Dit Ildégarde approbatif avec beaucoup d’enthousiasme, regardante fière de lui, Deuterie pour sa part fronça ses sourcils, ses lèvres baissant un peu.
Au moment où les trois amies étaient sur le point de disparaître dans la foule, il jeta un coup d'œil autour de lui et comprit que Maria était toute seule. Elles allaient laisser la fille à s’amuser toute seule, il sentit coupable pour le fait qu’il avait complètement oublié la petite fille.
-Et prend Maria avec vous ! Hurla-t-il après elles, sachant la sœur de milieu aimerait guère sa deuxième condition.
-Quoi ? Écria Ildé agacée et peu contente, la donnant un regard sévère il abattit sa volonté. Oui, d’accord.
Satisfait que tout irait bien, même s’il était encore soucieux d’elles, Henri retournerait son attention à son travail, de couper les restants des animaux devant lui sur la table, avec l’énorme lame dans sa main droite, pendant que d’autres cueillaient au gauche de lui.
Et le festival continuerait en ce style pour un autre jour, avec les trois hommes essayant d’attirer autant d’attention que possible pour vendre les marchandises de Guillaume, qui était particulièrement talentueux à cet art. Henri pour sa part, manquait d’habileté à attirer les gens, et à parler d’une manière charismatique, alors il était rapidement mis derrière les deux autres. Il ne s'agissait pas d'un problème majeur, car il possédait presque autant de connaissances que Guillaume sur la découpe, les animaux et la dissection. Michel était désormais, le meilleur à attirer l’attention de ceux qui passaient par eux (quand il était présent).
Michel sur le deuxième jour, démonterait sa paresse étant absente pour la majorité du prochain jour, laissant les plus vieux hommes à prendre soin de la stalle. C’était presque midi quand les filles arrivèrent après avoir passé le matin au festival, pour la deuxième fois. Henri pour son part ne savait pas comment elles avaient payé pour la nourriture qu'elles mangeaient joyeusement.
-Oïe, où est-ce que vous êtes allée, et pourquoi est-ce que vous avez cela ? Questionna Guillaume, même si le ton de sa voix était curieux, plutôt qu’autoritaire, pour le jeune homme, il semblait comme s’il envahissait les droits, comme tête de la famille d’Henri.
-Isabel a échangé les restants d’une de ses jupes, qu’elle portait quand on l’avait rencontré pour la première fois, pour des pommes couvertes dans du sucre. Expliqua Ildé irrité avec le plus vieil homme aussi, qui haussant ses épaules, laissant le sujet tombé.
Attirant sans le savoir, l’attention du jeune homme à son amie, étudiant la jupe brune de laine de la muette qui évitait leurs regards. Il allait dire quelque chose, quoi exactement, il ne savait pas, alors il finit par agacer les trois autres filles par demander sans le vouloir. -J’espère que vous l’avez remercié proprement.
-Oui, oui, Grogna l’aînée des quatre, roulant ses yeux à lui.
Pas qu’ils pouvaient payer trop d’attention aux filles pour beaucoup plus longtemps, à cause d’une source de vacarme, dans la forme d’une série de cris de l’est du festival. Distrait par le bruit soudain, et des voix profondes montant en volume et fureur, surprenant tous les marchands derrière les stalles, qui échangèrent des regards soucieux.
-Viens, on va voir ce qui est le problème. Les filles peuvent rester et protéger la stalle. Décida Guillaume une note de souci dans sa voix, bougeant déjà pour voir ce qui était le problème.
-C’est quoi le problème ? C’est probablement, juste quelques fugitives de Norstrieux dans le milieu d’être ivre et piquer une querelle avec, quelques-uns des villageois. Dit Ildégarde, dans un mélange de curiosité et indifférence. Elle ajouta, après avoir y réfléchis au fait que ce village, était aussi devenu une place de refuge, pour des gens voulant échapper de l’anarchie, des guerres qui divisait Norençie. Consciente de cela, Ildégarde demanderait d’une voix peur et soucieuse, Ou est-ce que c’est une bataille ?
-Je ne sais pas, Rétorqua-t-il honnêtement, Guillaume et moi allons voir.
-Mais qu’est-ce qu’on fait si quelque chose t’arrive ? Interrogea-t-elle, effrayer par la possibilité de le perdre.
Il aurait aimé rester pour la rassurer, car il était touché et heureux de voir qu'elle se souciait de sa santé, même s'il était tout aussi curieux que le plus vieux des hommes.
-Je vais retourner, dans deux minutes, La rassura-t-il avant de suivre après son maître, qui avait déjà départi. Juste garde un œil sur la stalle Ildé.
Aussi inquiet que lui, et jetant un regard sévère vers les filles, particulièrement Ildé, il suivit après son maître. Se rattrapant facilement à l’autre homme, qui était considérablement plus court que lui, ce qui était plus difficile pour eux, était de se pousser un travers à travers la foule qui bloquait leur vision de ce qui prenait place. Poussant une route à travers la foule, ils seraient choqués et effrayer par le plus loin qu’ils avançaient dedans la foule, le plus enragé les gens devenait. Crachant et criant comme des chiens affolés avec un renard. Son dos rigide, il prit Henri quelques d’autres secondes de pousser et d’effort énorme, pour arriver à la tête de la foule, à côté de son maître. Et c’était seulement à ce moment, qu’il comprit pourquoi les gens étaient si couverts de fureur et peur.
Là, en avant de lui, à au moins sept pieds de grand, avec de la peau verte noirci comme de la terre mouiller. Habiller en du linge brun, sales et une cape de fourrure d’ours, avec des cheveux bruns jusqu’à son dos, ses tresses étant plus sales si c’était possible, que son linge. Son nez était long elle aussi, et ses yeux grands et noirs. En tout, il était un des plus laides personnes que le jeune ait jamais vu, dans toute sa vie. Ayant dit cela, il était aussi un des plus fiers, et étrangement impressionnants chose qu’il avait vue dans sa vie.
Un homme de taille moyenne se tenait en face, et Henri partagea immédiatement l'opinion de ces personnes, qui agissaient de manière si agressive. Le géant laid devant eux était horrifiant, ses grands yeux, muscles dépassant les possibilités humaines. Et des défenses comme ceux qui appartenaient à des verrats, grandissants de sa bouche pointant aux cieux et terres, de chaque côté de sa bouche énorme. Sa tunique beige noircie, cape de fourrure de coyote bien noir et chausse brune en plus de ses énormes bottes ne pouvait pas cacher sa taille ou ses immenses muscles. En tout, il allait sans dire qu’il était intimidant. C’était aussi le premier Ogre qu’Henri avait vu, dans toute sa vie.
Terrifié de l’Ogre, à ce moment, le jeune homme ne pouvait se souvenir soudainement d’un conte, qu’un vieux douvard l’avait raconté une fois, dans sa jeunesse. C’était supposé d’avoir pris place, dans l’ancien royaume de Zulvrain fondé par Aganippe le Sorcier, mille trois cent vingt-cinq ans plus tôt. De comment Ziu le Guerrier avait donné l’ordre au demi-dieu Zigibert à massacrer tous les Ogres dans ses terres. Jusqu’à ce moment en temps, Henri avait cru que les Ogres étaient simplement une histoire. De l’invention utilisée pour terrifier les jeunes à agir proprement, ou qu’ils avaient existé jusqu’au massacre que Zigibert avait répandu contre eux. De la magie, il croyait dedans, des Tigrons étaient une autre chose, même des Centaures puisqu’il en avait vu un, une fois, mais des Ogres ? Non, dorénavant, il avait cru leurs existences impossibles.
-Je te dis pour la dernière fois, on ne paie pas le coût complet pour les biens, des créatures comme vous ! Cria l'homme qui battait verbalement avec le monstre qui grondait en retour à lui.
-Et je te dis ; je ne vais pas accepter la moitié de ce que tu me dois, pour mes sculptures et travaux. Tu me paierais le même coût, que tu donnerais à un autre humain. Grogna l’Ogre prenant un pas en avant, secouant un poing furieux, vers le plus petit homme.
-Je te paye ce que je payerais un autre architecte pas d’ici, était la rétorque qu’il reçut de l’humain qui reçut pour sa part, une série d’applaudissements de la foule autour de lui. Ceci enragea l’Ogre à hurler en Neustrien sans erreur, corrigeant son client. Je suis aussi Neustrien ou Norençien que n’importe quel homme ici ! Mon père était d’ici comme son père avant lui, allant aussi loin que les jours de Césarius le Conquérant.
-Menteurs ! Hurla un deuxième homme, dénonçant le mensonge raconté par ce monstre terrible.
Criant farouchement à l’homme la moitié de sa taille, qui refusait fermement de ne pas le payer. L’Ogre le saisi par le bras, quand l’autre homme avait tourné pour partir.
-Je ne suis pas fini, j’ai bâti ta maison, et je t’ai vendu des sculptures alors payées moi ce que tu me dois. L’ordre et l’acte de prendre l’homme par le bras terrifièrent la foule, la causant à prendre un pas en arrière. Visiblement intimider par ce sous-humain arrogant, qui présumait d’avoir les mêmes droits qu’un humain, et avait tourné à la violence, pour de l’aide dans son argument.
-Je ne te dois rien ! Gronda l’homme, en retour avec plus de courage qu’Henri aurait eu dans sa place.
Impressionné par son courage, qui une fois encore, reçut l’admiration de la foule assemblée. Pas que le non-humain allait laisser cela, l’arrêté.
-J’ai des travailleurs, et une famille à payer pour, et l’hiver va bientôt être sur nous alors donne-moi ce que tu me dois. Persista-t-il pointant à sa famille derrière lui, c’était la première fois qu’Henri avait compris qu’ils étaient mêmes présents. L’Ogresse qui était presque entièrement cachée derrière une stalle, avec des statues sur elle, derrière la foule était la même hauteur que Maria. Avec le fils du grand monstre, presser contre elle, juste un peu plus grand qu’elle.
Où est leur mère ? Henri se demande, paralysé par la pensée horrifiante de ses enfants grandissants et un jour menaçant Maria, autant par le fait qu’il n’y avait pas de mère pour adoucir ces deux petits monstres. Une petite distance d’eux, était un groupe de laboureurs humains, qui était aussi visiblement furieux que le reste des humains, sauf pour le fait qu’ils dirigeaient leurs colères en support du non-humain.
-Juste paye le déjà, Gronda une nouvelle voix pénétrant à travers la foule et leurs cris de rages et haine, qui dominait le village. À l’étonnement et horreur d’Henri, c’était son propre maître, Guillaume qui était le traître qui venait de parler en faveur, du monstre. Payer le pour qu’on soit libre de lui et ses plaintes, il partirait et nous serons libre dorénavant, de sa présence.
Son raisonnement n’était pas mauvais, mais elle causa quand même son apprenti à sentir embarrasser par lui, pour sa suggestion peureuse. Quelle sorte de figure pensait-il couper, s’il choisissait au lieu de mettre une telle créature en sa place, il recommandait ceux alentours de lui de se soumettre à lui.
Les cris de la foule montèrent en rage, effrayant Henri de plus en plus, avec chaque regard ou cris menaçant. Leur attitude agressive l'a poussé à remettre en question son maître, le poussant et le convainquant de la légitimité de leur cause.
-C’est pour le débarrasser et renforcer notre pureté. Se justifia Guillaume à la foule aussi vite que Mercure, à plein poumon, crachant aux pieds de l’Ogre qui l’étudiait d’un œil méfiant. C’est mauvais pour le commerce de se battre ici.
Son argument et figure impressionnant mirent fin à la rage pour un moment silencieux qui donnait un terrible frisson à son apprenti, qui était certain qu’ils allaient brutaliser le boucher pour ses paroles.
-Donne-moi une bonne raison pour le payer, ce qu’il croit que je le dois ? Répondit l’autre marchand, ses linges riches et multiples mentons frémissant avec la fureur. Diviser par son manque d’amour pour le monstre et son admiration pour Guillaume, Henri retenir son souffle comme le reste de la foule, bouche-bée.
-Qui sais ce qu’il ferait si on ne lui donner pas ce qu’il veut. Rétorqua le boucher également, tremblant en retour, à cause de sa propre fureur. C’est ta faute qu’il est même ici, tu es celui qui l’a embauché dans la première place, alors débarrasse-nous de lui, toi-même !
C’était juste à ce point où la foule commençait à tourner leurs rages et peurs dans une nouvelle direction ; contre celui qui avait embauché la créature dans la première place. La division de quoi faire avec l’Ogre, les rendant apparemment aussi incertain d’eux-mêmes que l’apprenti l’était.
-Paye-le déjà, sinon j’irais au baron ! Ajouta Guillaume, Je pars j’ai des clients à voir à, viens Henri.
Incertain de quoi faire autre que suivre son maître, pendant qu’il lançait aux villageois un regard anxieux au-dessus de son épaule. Il fit comme il était dit, méduser par la force de personnalité de son mentor, même s’il n’était pas de la même opinion que lui. Peu de temps après avoir perdu leur intérêt et leur raison d'être assemblés au milieu du village, ils se sont dispersés.
Derrières eux, l’homme qui avait embauché le monstre avait soumis au jugement de le boucher avec un cri de rage, jetant un petit sac d’argent qui avait été attaché sur sa ceinture, aux pieds de l’architecte satisfait.
Une fois de retour à sa stalle, le vendeur de viande se remit à son travail, sans un autre pensé ou mot prononcé à propos de l’incident qui venait, de prendre place.
Ce serait des heures, avant que cet incident retourne à les hantés. Henri ne dirait rien, de sa désapprobation envers la décision de son maître. Préférant dire plus avec son silence glacé, si irrité était-il et furieux le plus vieil homme, qu’aucuns des filles sauf pour Maria, avait le courage de demander à partir. La plus jeune fille, départant éventuellement avec ses amis, pour aller réjouir du festival.
Pour un bref moment, pendant qu’elle courait vers l’ouest, il croyait avoir vu Thomas l’attendant. Cependant, par le temps qu’il cligna ses yeux, il avait disparu de sa vision le causant, à soupçonner que ce n’était pas plus qu’une hallucination.
-Je sais que tu désapprouves Henri, pourtant j’avais mes raisons, Dit Guillaume tout à coup, après quelques heures de silence.
-Quand même, je ne pense pas que c’était sage, Grogna-t-il fermement, déterminer à haïr le non-humain qui le semblait plutôt un monstre, qu’une personne.
-Sa peau est peut-être verte, cependant son argent est aussi légitime que ceux de toi ou moi, Raisonna le boucher roulant ses yeux à lui.
Sa position sur ce sujet mystifiait plus que son apprenti, car les filles y joignirent à cette conversation au sujet de la race de l’Ogre. Avec Ildégarde disant d’une voix pensive, -Moi, je pense que Guillaume a un point Henri, tu as toi-même dit quand ce marchand Tigrun, est visité Partriche, qu’il se pouvait qu’il fût gentil.
-Il y a une différence entre un Tigrun ou même un Nain, et un Ogre. Grommela Deuterie, inspirant de la gratitude en lui, et se gagnant la désapprobation de son père, qui tourna sur elle rapidement.
-Silence, ‘Térie. Tu ne comprends pas ce que tu parles de, alors ferme ta gueule et va chercher Michel.
Plaignant, dessous son souffle, elle gagna rapidement un regard sympathique de l’apprenti, pendant que les autres présents regardaient plutôt irriter. Élevant ses yeux, quand un client approcha leur stalle, il était brièvement surpris à découvrir Michel à l’autre bout de la rue. Confus, il était bientôt inquiété par comment le jeune homme pointant vers eux, dans le milieu d’une discussion avec trois hommes, un des leurs nombre étant le marchand de plus tôt. Celui, que l’Ogre avait créé des sculptures pour, avec lui était deux hommes armés avec des dagues et courtes épées sur leurs ceintures.
Devenant pâle, il pouvait à peine parler, avec son maître prenant attention peu après lui, des hommes avançant vers eux. Les filles pour leur part étaient ce qu’il pensa à presque instantané. En même temps, que les hommes les approchaient, Deuterie était bientôt de retour, avec un air épuisé sur sa face, qui fût remplacé par une de panique, la causant à se précipitée vers eux.
-Derrière nous vous deux, dedans la maison, Ordonna Henri tournant sa tête vers les deux filles derrière lui. Il était certainement inquiet pour Maria, pourtant il n’y avait rien qu’il pouvait faire pour elle. En plus de cela, il y avait Deuterie à protéger et garder un œil dessus, du coin de ses yeux, avec le jeune homme gardant le reste de son attention fixé sur les hommes présentement devant lui et son maître.
- Tu es Guillaume le boucher ? Une voix demanda de derrière lui, jetant un coup d’œil derrière lui pour trouver quatre villageois devant la stalle, avec une mine menaçant sur leurs faces.
-On a un message pour toi, dit un des hommes au marchand.
-Et c’est quoi ce message ? Guillaume demanda irriter prenant plusieurs morceaux de viande de lapin de sa table, préparant de cette façon pour son départ.
-Ceci. Déclara le chef des quatre, celui le plus proche à la stalle, tirant sa dague de sa ceinture, qu’il plongea dedans la poitrine du marchand devant lui.
Did they just kill the butcher for resolving the conflict? Did they kill him in front of his own children and henry's sisters?
If so, that's going to get someone in trouble.
More bad luck for Henry.