IV
Descendu du meilleur sang en tout l’Agénor-du-nord, avec un père qui dotait sur elle, et qui était le Comes de Blêmer, était une bonne raison d’être fière. Bernard le Gros, fils de Bertrand le Nain, lui-même fils de Charles d’Hivard, l’écuyer d’Aemiliemagne. Alors elle pouvait se targuer d'avoir le plus fidèle sang que quiconque, en particulier avec sa mère descendant d’une ligne Aemiliens cadette.
Hildegarde était comme beaucoup des autres femmes du château ; ennuyée et convaincue qu’elle savait déjà ce que son futur serait comme.
À seize ans favorisés par les deux plus puissants hommes du royaume, elle était à la hauteur de sa confiance. Hildegarde en ce moment, était dans le milieu de faire quelque chose même le Roi, avait des troubles à faire ; lire.
Déterminer à perfectionner cet art difficile, et d’habitude réservé pour juste le clergé, elle n’avait aucune illusion de son destin. L’éducation, n’était pas importante pour les femmes, sauf si elles voulaient transmettre cette éducation à ses enfants, ou devenir abbesse d’un couvent, ou douvarde.
Bientôt père va me marier, à quelqu’un pour des raisons politiques, Songea l’héritière fièrement, même-ci les princesses Bertrade à vingt ans, et Ève à dix-neuf saisons n’était pas marié elle était différente, puisqu’elle était la seule héritière de Blêmer. Cela la donnait une différente valeur, de même les deux filles aînées d’Aymon.
Après tout Foulques, aurait besoin d’une épouse bientôt, notait-elle, se souvenant du fils de Jehan le châtelain de Ralon, au sud-ouest d’Hector, entre le comté d’Hector et celle de Vendarme.
-Maintenant ce mot commence avec ‘p’ et sonne comme ‘homme’, princesse. Disait Yves le Novice, un vieil homme du monastère d’Allyriane. Il avait été recommandé pour sa position comme tuteur par l’abbé de la nécropole des Aemilliens. Un homme intelligent et bien éduqué, mieux que n’importe qui, elle connaissait. Il était désormais, en possession de la plus plate et solennelle voix imaginable.
-Oui, Yves. Répondit-elle aussi plaisante que possible, cachant son exaspération de lui.
Juré à une vie célibataire, sauf s’il devenait un douvain le vieillard, était toujours en train de jeter des coups d’œil, à ses seins n’importe quand il pensait qu’elle ne le savait pas, ou à sa postérieure. Oui, elle n’était pas la plus belle femme dans le royaume, ou parmi les femmes en Hector. Hildegarde se savait assez jolie, pour attirer un homme, si juste elle pouvait cesser d’attirer des crapauds.
Avec sa jupe couvrant son corps de la tête aux pieds, elle remarqua rapidement le vieillard jeter un regard furtif vers sa poitrine, penché en avant et le fixant de ses yeux sombres.
-Pomme est le mot je crois, Lança-t-elle glaciale.
-Oui, oui parfait comme toujours, Bafouilla-t-il embarrassé.
Hildegarde se demanda pourquoi est-ce que le mieux éduqué novice dans la région il fallait être un pervers si vieux.
Pas qu’elle voyait beaucoup de lui, puisqu’il voyageait constamment à cause de sa position comme roi. Amenant avec lui ses concubines et femmes non-enceintes, plus favorisé de temps en temps. Certaines de ces femmes l’accompagnant, même à la guerre, à travers ses territoires quand il fallait voir au problème légal ou menace de conquêtes d’extérieur.
En dépit du fait qu’elle n’était pas une princesse, elle avait été laissée en Hector, pour la plupart de sa vie, pour être éduqué dedans le château d’Hector. La raison, c'est qu'elle devait être préservée de tous ceux qui souhaiteraient lui nuire, voire pire. Comme héritière de Blêmer, il y avait plein d’hommes qui désiraient la prendre, pour succéder Bernard. Originalement, elle était placée dans le couvent dédié à Marianne, près du village de Chandrillon. Avant d’avoir été bougée au château pour servir la reine autant que dans l’espoir qu’un des princes la séduirait d’après son père. Ceci étant une des seules objections, qu’il avait à Aymon, regardant après elle, puisqu’il voulait décider son avenir, pour cette raison elle avait maintenu une certaine distance des princes.
Ce château était aussi la résidence principale du monarque, une que personne, ne pouvait entrer ou sortir de, sans la permission d’Aymon IV, ou son héritier le prince Aymon.
Deux choses complètement différentes étaient de savoir cela et de l'accepter. La plupart des troisièmes cousines d’Hildegarde, comme elle rêvait du jour quand, elles pourraient partir. En particulier avec quelqu’un assez proche à son âge et sang noble.
Un homme comme Foulques me suffirait, puisque je ne suis pas aussi hautain que les Aemiliennes. Pensait l’adolescente bien éduquée, souvenant du temps quand il a choisi de danser avec elle au lieu de Gertrude. Ou le temps, il l’a amené à Guilladon pour plusieurs semaines passées. Sur les ordres de la Reine, sa troisième cousine pour choisir du matériel pour une nouvelle jupe qu’elle voulait coudre, pour Rotrude son plus jeune petit-enfant.
-Ugh, quand est-ce que je pourrais lire la ‘Geste d’Aemiliemagne’ ? Plaignit-elle, irriter par lui et se questionnant pourquoi son grand-père ne pouvait pas la laisser apprendre à lire jusqu’à son quinzième anniversaire. Tout savait que c’était plus facile, quand t’était plus jeune, si Jehan avait raison.
-Vous faites du bon progrès, tu lis déjà des paragraphes et des sons mieux que moi-même quand j’avais ton âge, ben je me rappelle comment difficile c’était quand... Commença-t-il, se perdant dans ses mémoires du passé lointain, pas que sa charge l’écoutait.
-Hildegarde ! Hildegarde ! Hildegarde ! La voix excitée de Katrine, bondit partout dans le fort pénétrant la librairie royale, dérangeant elle et le novice soudainement.
Les deux sursautèrent presque à la table sur laquelle ils étaient penchés, avec une chandelle placée entre eux, éclairant la pièce, et les livres et parchemins autour de la chandelle. C’était juste par chance qu’elle n’avait pas versé de l’encre des bouteilles d’encre, partout sur les papiers sur la table.
-Hildegarde, où êtes-vous ? Hurla la fille de dix ans, tirant un soupir d’exaspération d’elle.
Que je déteste ce petit singe, songea la plus vieille des deux princesses amèrement. Elle la détestait, tandis qu’elle travaillait forte et extensivement pour la mollifier et convaincre de l’aimer. Hildegarde, issue de la noblesse, était consciente que si elle avait besoin d'utiliser quelqu'un, que ce soit pour ses propres desseins ou comme espion contre les princesses, Katrine était la candidate idéale, car la plupart des femmes de la forteresse l'adoraient. La jeune fille n’était pas jolie, ni brillante laide ou bête, pour une raison ou une autre Katrine était une des plus favorisé en particulière par le Roi. Ce qui la mystifiait en particulière, était l’amour envers la princesse, quand sa mère était de naissance commune, étant une concubine favorite du monarque.
-Ici Katrine, Appela-t-elle à la fille qui arriva une seconde plus tard.
-Hildegarde ! Exclama Katrine heureuse et presque bondissante des murs et du plafond de pierre construite durant le règne, d’Aymon III, surnommé la ‘Mince’ quarante ans plus tôt.
-Arrêtez ! Ne m’approche pas, Cria Hildegarde, agacer et horrifié quand Katrine entra à l’intérieur du sale de livres, couverte jusqu’à ses cheveux (des cheveux habituellement blonds) de boue.
Salissante la petite salle avec plus que sa présence de naissance commune, le plancher derrière l’enfant et alentours d’elle était mouillée et couverte de boue aussi.
-Katrine ! Vous avez sali le plancher et la bibliothèque de nos aïeux ! Vous étiez en train de jouer dans la boue, avec les chiens encore n’est-ce pas ?! Gronda-t-elle gronda à l’enfant embarrassée.
-Um, euh excusez-moi, Hilde, Marmonna l’autre baissant ses yeux d’une manière coupable.
Cachant combien elle détestait cela, quand les autres raccourciraient son nom, Hildegarde mordant sa lèvre inférieure, remplaça son expression agacée avec une de tolérance, signalant avec son petit menton à Jehan, de l’approcher.
-Jehan, donne-moi ta cape, Ordonna-t-elle brusquement, se gagnant un regard incertain et exciter du moine.
-O- oui, princesse ! Il retirant rapidement la cape brune qui entourait ses épaules, il s'approcha sans aucune hésitation.
-Tiens, Katrine nettoyez-vous avec ceci, Remarqua Hildegarde jetant la cape alentour de la fillette qui gémir un peu.
-Mais je ne veux pas !
-Si vous le faites, je vais écouter à ce que tu as à dire, Promit l’héritière sans joie, supervisant la jeune fille toute en ignorant le novice qui la donnait un regard rempli d’amertume.
-Merci, Hilde. Exclama la princesse heureuse, qui prit tant de soin de se nettoyer, avec la cape.
Attendant, pour la fille d’habitude trop consuméeé par ses jeux avec les chiens, à être presque finie de se nettoyer et départir. Quelque chose qui n’allait peut-être pas arriver, la fillette presque bondissante en place, trop excitée par ce qu’elle avait à dire, pour rester en place pour long.
-Papa est de retour, avec plus d’hommes qu’auparavant, Cria-t-elle à plein poumon.
-Quoi ? Depuis quand ? Était la réponse impatiente immédiate.
-Euh, ils devraient avoir fini de dépasser les barrières, le chef des gardes, Lothar m’a retrouvée et dit qu’ils arriveraient bientôt. Qu’il a reçu un message de Foulques, à propos de cela. Expliqua Katrine.
Impatiente avant que la princesse eût la chance de continuer de parler, elle départit de la librairie. Grognant à elle-même, la jeune fille suivit après elle, irriter par Hildegarde.
Sa jupe volante sur les pierres dessous ses pieds, la jeune dame courant, presque volante, aux escaliers qui la mèneraient, au premier étage, de Château-Hector.
Courant avec une main à travers ses longs cheveux noirs pendant qu’elle regardait partout pour de l’eau, ou quelque chose- n’importe quoi capable de la montrer comment elle regardait.
-Hildegarde, qu’est ce qui est arrivé à vous ? Vous êtes complètement essoufflée, la voix de la dernière personne qu'elle souhaitait voir, retentit derrière elle à l'instant où elle pénétra dans la salle reliée à l'entrée du château. Ah je vois, tu dois courir et chasser après les hommes puisqu’ils ne vont jamais vous chassez.
C’était Gertrude, la troisième fille d’Aymon, qui vivait encore dans le château, et la femme que la dame détestait le plus dans tout Midgard. Depuis que leurs mères se sont vues elles étaient devenues des rivaux. Même après la mort des deux nobles, leur haine avait survécu en leurs enfants. Une rivalité plus prononcée dans les années récentes, après que Foulques est venu en Hector pour la première fois.
- Si ce n’est pas ma princesse favorite, et oui je chasse les garçons, puisque je ne suis pas comme vous ma chère Gertrude, Répliqua Hildegarde, prétendante d’être remplie d’affection et amour qu’elle ne ressentait pas. Favorisante la compagnie des femmes, plutôt que des hommes.
Signalant pendant qu’elle parlait, aux serviteurs qui suivaient la jeune femme partout, perpétuellement. Le visage de Gertrude devenait rouge avec la rage, à l’implication de la plus jeune femme.
-Madame Hildegarde, Gronda une des deux servantes femelles personnelle de la princesse en même temps, qu’elle fit un point de souligner la véritable position de Hildegarde. Cela est une insulte sur l’honneur de la princesse Gertrude, excuser-toi immédiatement !
-Non merci, je ne rappelle pas quand j’ai dit oui, à prendre des ordres des servantes. Rétorqua Hildegarde aussi cinglante que possible, ses yeux sur ceux de la royale pour la laisser savoir, qui elle pensait était la véritable servante.
-Maudite chienne ! Murmura l’autre comprenant ce qu’elle disait réellement.
- Attention ! Attention ! On a juste un peu de temps, jusqu’à ce qu’Aymon arrive, maintenant je veux tout en ordre. Déclara la Reine Madeline, fière et puissante dans sa jupe bleue qui débutait à ses chevilles, et qui alla jusqu’à juste en dessous de sa gorge, sa cape de soie bouclée ensemble par une broche du faucon Aemilien. Où la vaste majorité des dames avaient des bonnets légers en couleurs sur leurs têtes, et leurs boucles bien cachées dessous eux, la reine était une différente sorte de femme. Pour elle, des différentes règles s’appliquaient, pour qu’elle porte sa large couronne dorée avec les points en la forme de petits faucons, tous avec un rubis, ou onyx, ou émeraude et d’autres roches précieuses de toutes les couleurs aidant à mieux voir la forme des faucons en question. Ses boucles étant nouées en une série de nœuds argentés et dorées derrière elle, et arrivant juste un peu en bas de ses épaules.
Elle était la héroïne de la fille, même-ci un peu grasse, elle avait quand même une certaine beauté avec ses cheveux bruns grisants et yeux étincelants. Choisis comme le consort principal à cause de sa naissance noble, et à cause de son intelligence évidente. Des qualités favorisées par Aymon qui étant un homme intelligent, appréciait cela en les autres.
À peine avait-elle fini de parler qu’elle avait commencé à mettre les femmes et enfants qui arrivaient, en ordre de précédence. Il allait sans dire, qu’elle et le frère de Gertrude étaient à la tête de la ligne.
- Aymon tu vas être à ma gauche, Hilde à ma droite, et tous les princes par séniorité de naissance au gauche d’Anaïs. Quant aux princesses, concubines et épouses, vous allez aux droites de Hilde en ordre de naissance d’enfant de noble sang, jusqu’au moins noble. Suivis par les épouses, et pas un mot ou argument au contraire, sinon c’est dans la Roirne avec vous. Menaça Madeline sévèrement, poussant et hurlant à un prince, ou princesse, tout savait qu’elle pouvait le faire et échapper des conséquences.
Pour le restant de l’attente pour le retour du Roi, les membres de la famille royal bougèrent ici et là, bousculant et se poussant en place.
- Ugh, je déteste ceci, attendre comme une fille. Mère, quand est-ce que je peux aller à l’ouest ? Je veux battre et chasser, comme un propre homme. Plaignit Aymon, sa complexion brûlée par les soleils, ajoutant à son apparence dans l’opinion de la fille de Bernard. Avec ses cheveux noirs, proche à la couleur de ceux de son père, le menton puissant de son père, les yeux bleus de sa mère, mélanger avec sa figure costaud. Aymon était un homme impressionnant, qui se tenait toujours étroitement presque deux pieds plus haut que son père. Ce qui était un raison pour pourquoi, c’était si comique n’importe quand, il se tenait à côté de sa propre femme, Anaïs. La plus grande femme, qu’Hildegarde ait jamais vît dans sa vie. La dame en question étant une princesse de Lyonesse, et fille aînée d’Élouan I le ‘Hardi’. Une femme avec des cheveux bruns, à peine attirante avec une longue face et un air sévère, des lèvres pleines et yeux noirs. Ses jupes de soie et velours jaunes étant toujours en le style Lyonessien. C’est-à-dire, débutant avec ses chevilles pour finir, à ses épaules qui étaient laissées nues, et avec ses boucles libres sans un bonnet, qui allait mi-dos pour être attachées en une série de nœud complexe. Les nœuds en question étincelant n’importe quand la lumière les frappaient par raison des nombreuses pierres précieuses attachée à eux. Ce qui était le plus frappant pour elle, était la fourrure de lion mélangé avec la soie et velours juste en dessous du dos et estomac allant jusqu’aux épaules, de la dame. Pour des raisons qui échappaient, Hildegarde, Aymon le Jeune, adorait sa femme qui était trop grande, trop frigide et trop enceinte en son avis, étant quelques jours de donnée naissance. Qui était pour sa part trop attachée à son propre royaume natal, une preuve physique de cela, étant le pendant doré du dieu des soleils Dagd, un dieu que la famille royale de Lyonesse considérait comme étant leur patron personnel.
- Quand ton père serait de retour et après le festin célébrant ses victoires dans l’Est et nord. Réprimanda Anaïs sèchement, roulante ses yeux aux plaintes enfantines de son mari.
-Ah oui, manger et danser, au lieu de donner à ces Vikings sans âmes, qui pillent nos côtes le jugement de la déesse. Maugréa le Prince de la Couronne, causant son petit frère à ricaner d’à côté de lui.
-Va-t’en, à tes Vikings Aymon, moi je vais attaquer aux femmes ici, avec ma propre ‘épée’. Répondit Gaucelin qui à dix-neuf ans de vieil, était plus hautain que son frère aîné.
-N’ayez pas de soucis, moi je pense qu’Aymon chassé des infidèles, de nos terres et punir les vassaux récalcitrants à l’ouest, est une noble poursuite. Dit Hildegarde le favorisant plus que Gaucelin, ajoutant avec un sourire narquois. Plus nobles certainement, que de chasser des femmes sans foi et bonté, avec une courte épée.
Rougissant, Gaucelin, emporté par la colère, se tourna vers la seule personne qui pourrait l'aider dans cette situation : sa mère. -Maman !
-Assez, vous trois ! Je jure que les Vikings nous donnent moins de trouble, que vous trois. Plaignit Madeline à son tour, tournante filleul elle ajouta sévèrement, à elle et l’héritier du royaume. Hilde, Aymon excusez-vous à lui !
Les deux jeunes ont soupiré en voyant ce signe évident de favoritisme, conscients par expérience de l'inutilité de le contester. Depuis leur plus lointain mémoire, Madeline avait toujours favorisé, Gaucelin et l’avait protégé d’eux, ou autrement prit son côté. Par exemple, il y avait le temps quand ils étaient onze et six ans, et l’avait barré de sa propre chambre, pour s’amuser. Rusé, le jeune Gaucelin de huit ans, a simplement couru à la Reine pour plaindre, juste pour que les deux soient battus, au point de pleurnicher pour des jours sans fin.
-Oui, madame, ils entonnèrent sans enthousiasme.
-Je vous pardonne. Répondit le prince, sa face montrant de la joie noire à les voir abaissés.
-Pardonne-moi, aussi mon cher frère. Dis le prince ajoutant dessous son souffle assez fortement pour être entendu. Pour ne pas être une sale insulte à notre famille et un imbécile.
Hildegarde faillit supprimer le petit rictus amusé qui menaçait de s'échapper de sa bouche, tentant en vain de le cacher en toussant légèrement. La regarde noire et exaspéré de Madeline la convainquant d’avaler le reste de son amusement. Et par ce temps, la famille royale bougeait vers le cours du château, alors il n’y avait rien qu’elle pouvait dire, sur le sujet.
-Maman ! Plaignit le deuxième prince, une autre fois. Cette fois le prince, fut sauvé par les barrières de la muraille s’ouvrant, pour qu’un chevalier à cheval en armure sans casque sur sa tête, puisse entrer.
-Devant vous avancez, le Roi Aymon IV de la plus sacrée dynastie d’Aemiliemagne, arrière-arrière-petit-fils d’Aymon le Grand et descendent directe de Marianne, Roi légitime et seigneur suprême des royaumes de Neustrie, Aguiane et Norençie et de tous les autres Douze Royaumes. Comes de Salazon, et de Vandaigne, Marquis de Breizh et d’Ouestria, Viscomes de Ylse et de Roigne, baron de Hamelan, Kélion, Hanévan, Neufziu, Douzefort et de Marianne-de-la-Forêt. Annonça l’homme dans une voix qui retentit à travers le cours du château.
Le chevalier se tassait d’en avant de l’ouverture offrit par les barrières ouvertes, et les gardes du corps du Roi le suivant à l’intérieur de l'immense cours. Au plaisir et joie secrète d’Hildegarde, le beau visage de Foulques, était à la tête des gardes, sans son casque, ses cheveux blonds tombant magnifiquement alentours de ses épaules.
Elle inspirait profondément, excitée et anxieuse de le revoir, la peur qu'elle avait ressentie à l'idée de le voir partir à la guerre. La possibilité qu’il pourrait être tué par un barbare du nord, l’ayant donné plus qu’une nuit d’insomnie ou de cauchemars, départit. Même-ci le beau guerrier, était réputé d’être le meilleur guerrier dans les Douze Royaumes, autre que le prince Aymon, qui pouvait prévoir comment une guerre irait. Ce n’était pas la seule source de panique pour elle, puisqu’elle n’était pas certaine que sa jupe coupée en le style Neustrienne comme les autres femmes présentes et la reine, verte était sa meilleure, son bonnet beige aurait pu être remplacé par un blanc songea-t-elle.
-Il y a personne ici, pour te tuer, autre que ceux que nous connaissons déjà, Remarqua Foulques d’une voix amusé et sèche, en même temps, se moquant de son propre position et du Roi.
-Il parle vrai, Messire, Ajouta Bernard entrant en même temps que Bernard, tous deux à cheval. Le monarque indifférent aux prétentions, de Bernard et Foulques les dépassèrent pour la chance de voir sa famille. Arrivant devant la reine, le Roi sauta de son cheval, n’ayant jamais regardé aussi heureux dans tous les souvenirs de la jeune fille, si énorme était son sourire.
-Encore plus belle que Vénus, ma chère ? Demanda-il, causant Madeline à commencer à glousser, des larmes dans ses yeux bleus.
-Ô mon cher comes, vous êtes trop bon à la comédie. Taquina Madeline en retour, son affection dans ses yeux, retournant sa caresse.
Pendant que le couple échangeait des plaisanteries, une petite armée de nobles, chevaliers et des hommes qu’Hildegarde n’avait jamais vue avant.
Observant sa famille, sa face qui était d’habitude impasse, était aujourd’hui étirée dans un sourire fatigué. Selon Hildegarde, il semblait y avoir un certain fond de vérité dans les rumeurs concernant les difficultés à la frontière est et au nord. Il était également évident, qu’Aymon avait véritablement gagné une victoire, durant cette campagne de guerre au nord, si la ligne de prisonniers était un indice.
-Ma famille, Annonça-t-il à eux, mais personne ne l’entendit, ou le payait trop d’attention, sauf pour un ou deux, alors il était forcé à se répéter, plus fortement. Ma famille.
Cette fois, ce ne fut pas un manque d’attention, ou un certain nombre d’entre eux payant plus d’attention, à Foulques, qui interrompit le Roi. Ce fut la petite Katrine, qui se tirant de sa mère Castillione, la dame Ildaria (aussi habillée en le style Neustrienne, même-ci elle coupait la meilleure figure présente de toutes les femmes) précipitant à pleine vitesse pour saluer le monarque.
-Papa ! Hurla-t-elle ignorant les soupirs et inhalations désapprouvant des royaux alentours d’elle, la tradition dictait qu’elle n’avait pas le droit d’avancer, vers le Roi avant qu’il l’eût adressé ou donner permission d’avancer.
-Ma petite Marianne dorée, Exclama Aymon heureux et ramassant sa fille et jetant dans l’air, dans le prochain instant. Criante de joie et caressant son père avec ses bras alentour de son cou, Katrine gloussait comme une hyène.
Agacée, par la fillette, qui avait une fois encore agi comme la disgrâce de la famille et échapper des conséquences de ses actions, c’était tout ce qu’Hildegarde pouvait faire pour rester silencieuse.
-Ma petite Hildegarde, vous devenez de plus en plus belle, La complimenta Bernard, la tirant dans une caresse, la surprenante car elle n’avait pas vu ou l’entendue finir de donner ses respects au Reine.
-Grand-père, c’est un plaisir de te voir sain et sauf, Répondit-elle incertaine de quoi dire, de plus pour couvrir le fait qu’elle l’avait oublié.
Riant, joyeusement il la caressa fortement enlevant son souffle avant de bouger vers son favori des royaux, Aymon le Jeune. -Aymon, préparant encore pour nettoyer l’ouest de toute la saleté qui l’a infesté ?
-Eh oui, néanmoins maman m’a dit d’attendre pour vous et papa, et de demander pour de l’aide de vous avec supporter l’armé financièrement. Expliqua Aymon exciter d’avoir la chance à pouvoir saisir le support qu’il attendait deux ans pour, avec ses rêves de conquêtes de l’ouest.
-Tu la laisses te dire quand tu peux, toi-même aller à la guerre ? Les enfants d'aujourd'hui sont de plus en plus féminisés, n'est-ce pas ? Plaignit Bernard férocement, causant le Prince de la Couronne, à rougir et baisser sa tête, honteusement.
Pendant qu’ils échangeaient des paroles, la cour avait commencé à se remplir de murmures, quand le Roi baissant sa fille la troisième plus jeune, à terre. Prenant la main de Katrine, pour retourner son attention à sa Reine. -J’espère, que vous avez un festin prêt, je veux manger et dormir avant de partir à nouveau, pour l’est.
-Mais bien sûr tout est prêt, juste une chose ; qui sont ces gens ? Des prisonniers ou otages ? Questionna Madeline lançant, aux prisonniers un regard dégoûté.
-Ils sont mes prisonniers, oui et apparemment quelques-uns sont des favoris de Norençie. Répondit le Roi, les jetant un œil spéculatif, avant de tourner son attention aux filles. -Hildegarde, Gertrude.
-Oui, Papa ?
-Oui Monseigneur ? Entonnèrent les deux filles, le plus vieil avançant du bout de la ligne de femmes, où elle murmurait avec ses deux cousines plus jeunes.
-Accompagner, les visiteurs et quelques-uns des gardes, à la salle de festin et voyer que l’homme par le nom de Rorgues, soit mis à ma droite, et sur son autre côté, Augustin, avant d’asseoir vous-mêmes. Ordonna-t-il départant avec la petite Katrine et Madeline, sa tête penchée vers la Reine pour discuter, quelque chose avec elle.
Même s’il avait dit de guider l’homme et le garçon, qui n’étaient pas laids. Pas que se changeait le fait que les deux femmes refuseraient de payer, trop d’attention à eux. Considérant comment tous deux, étaient à moitié en amour avec Foulques, les deux hommes n’avaient jamais une chance. Le Sieur Rorgues, étant le mieux habillé des deux, en une tunique rouge et une chausse de la même couleur. Une tête grise, qui devenait lentement chauve avec l’avancement du temps, une énorme barbe de la même couleur, et des yeux bruns froids et rusé. Cet homme, ne semblait guère heureux à être sélectionné pour la position d’honneur, pour le festin cependant il ne fit, aucune chose pour démontrer cela.
Quant au jeune, Augustin il était un jeune de peut-être quatorze ou quinze saisons, fortement bâti, avec des cheveux noirs courtes et des yeux durs de la même couleur. Il avait juste quelques cheveux sur son menton, de la peau bronzée par trop de temps dehors, et habiller en une tunique grise, de pauvre qualité avec une chausse de la même couleur. Sa cape étant faite de la laine fait pour des paysans, et assez long pour toucher presque ses pieds. Dans l'ensemble, il était plus attrayant que l'autre, non pas parce qu'il était sublime, mais il était plutôt musclé mais banal en apparence, du point de vue de Hildegarde. Quelque chose guère amélioré, par les uns ou deux petites cicatrices sur ses joues. Les hommes prisonniers et gardes, descendant de leurs chevaux cause les serviteurs à se précipiter pour prendre les rênes, pour diriger les animaux, vers les étables.
-Comment était la campagne ? Demanda Gertrude riante et se pressant contre le bras de Fouqlues, qui répondit par la donnante un sourire chaleureux.
Grinçants ses dents ensemble pour suffoquer le désir de tuer la princesse en ce moment, en particulier avec l’épée attacher à la ceinture de Foulques. Si c’était une bataille pour éprouver, qui pouvait être plus désirable, elles pouvaient être, Hildegarde avait une autre arme à sa disposition ; ses connaissances.
-Est-ce que vous avez vu le tombeau de Zackarie II, le guerrier champion du dieu Ziu et père de Norbert ? Questionna Hildegarde, sachant que les hommes comme le meilleur maître d’épée, du royaume serait intéressé dans l’histoire de Zackarie.
À la surprise de la jeune, Foulques n’avait aucun intérêt dans un homme déjà mort. -Non, mais tu peux demander au garçon, s’il sait où elle est.
Pointant au jeune silencieux derrière lui avec son pouce, qui les suivait silencieux comme la mort, jusqu’à ce qu’il entendît à propos du héros du nord, qui était dit d’être l’ancêtre de la maison régnante de Norençie.
-Tu connais l’histoire de Zackarie Cœur-d’Acier ? Demanda le jeune, c’était quoi son nom ? Aaron ? Non, ce n’était pas cela, ah oui elle se dit ; Augustin, excité par sa connaissance supposée du nord.
Irriter par le fait qu’elle avait tenté le mauvais homme, avec son intelligence, et le fait qu’en toute vérité, elle savait très peu sur le guerrier renommé. Juste où se trouvent, son tombeau, et son anneau signet, qui avait passé à son petit-fils Norbert et de lui, à travers les générations jusqu’à son descendant ; Charles de Norddard.
-Parfaite, pourquoi ne pas régaler Augustin et Rorgues avec les accomplissements pathétiques de leur ancêtre ‘légendaire’ ? Proposa Gertrude avec de l’affection complètement feignez. Comment était le nord, Monseigneur Foulques ? Est-ce que vous avez vu la vallée de la déesse ?
Ignorante Augustin qui marmonnait à lui-même, qu’il n’appartenait pas à la ligne de Zackarie et Norbert. Gertrude fit référence à la vallée où Armand, est mort plusieurs siècles plus tôt et où un monastère avait été fondé en son honneur. La noble jeta un regard empli de reproches à sa lointaine cousine, n'ayant pour seul réconfort qu'une pensée singulière. Le regard déçu du garde à ne pas l’avoir sur son autre bras. Pas que Gertrude allait laisser l’attention du chef des gardes, passer à l’autre femme pour une seule seconde, de plus, si elle pouvait l’aider.
Hildegarde se préparait à se lancer à nouveau dans la bataille incessante pour attirer l'attention et l'amour du célèbre guerrier, consciente qu'elle avait perdu cette lutte. Cependant ils venaient d’arrivée à la salle de festin, la princesse prise attention du regard glacial de son père qui était déjà assis au milieu de la table principale. Madeline à son gauche et deux testeurs derrière sa chaise, prêt à prendre une bouchée de son plat, avec Katrine assise sur son genou droit.
-Foulques, vous pouvez vous partir, je n’en ai pas besoin de vous toute suite. Commanda Aymon impérieusement, sa voix couverte de glace. Gertrude, Hilde quant à vous, vous allez manger au cinquième.
-Monseigneur ! S’écria Hildegarde insultée et indigner, par ce déshonneur et punition qui n’avait jamais auparavant été infligée sur elle. La cinquième table était celui la plus lointain de celle royale et était pour les serviteurs, les plus hautes en position, mais quand même trop bas pour manger avec des princesses et princes du meilleur sang.
Alors c’était une punition commune, mais ni Gertrude, ni Hildegarde n’ont jamais goûté à cette humiliation, ayant observé les autres le souffrir, et ayant appris comment l’éviter des années plus tôt. Le seul membre de la famille, qui appréciait et même aimait la punition était Aymon, qui n'avait pas été envoyé là-bas en dix ans.
Jetant un coup d’œil derrière elle aux silencieux prisonniers, qui semblaient à elle timide et peu impressionné par elle ou l’autre fille.
-Augustin, Sieur Rorgues- non vous allez vous asseoir entre moi et mon fils. Cria le Roi cette fois à ses prisonniers, qui était dans le milieu de suivre les autres prisonniers, et deux princesses, à la table pour les serviteurs. Quant à vous deux, après avoir mangé, vous allez retourner à vos chambres.
-Papa ! Protesta Gertrude, frappant le plancher avec son pied d’une manière enfantin, des larmes dans ses yeux.
Hildegarde sur l’autre main, était tombée en un silence résigné, la seule source de soulagement étant qu’au moins Gertrude ne pouvait pas monopoliser Foulques, qui haussait ses épaules et départait pour la nuit.
Cela la laissait avec deux choses à faire ; se venger contre Gertrude plus tard, puisque c’était sa faute, et se venger contre les sieurs Augustin et Rorgues, les blâmant pour comment elle venait d’être punie.
J'ai tout lu, des chapitres un à trois (4), et je voulais poser des questions sur un choix de ponctuation.
Pourquoi est-ce que lorsque quelqu'un dit quelque chose, vous commencez par - au lieu de " ".
C'est incohérent, et je suis juste curieux.
Hildegarde est une chienne