Prologue
Pour plus que deux cent cinquante années, Neustrie a été sous la gouvernance de la ligne des Aemiliens. La culmination de la dynastie étant en le temps, d’Aemiliemagne, Empereur d’Austrasie, Neustrie, et tout le reste de le nord-ouest Agénorienne.
Depuis le temps après la mort d’Aymon Magnus, son Empire glorieux s’est commencé à désintégrer petit, par petit. Gaubert se disait à lui-même souvent que c’était l’ordre naturel du monde, pour que tous empires disparaissent éventuellement. Ces yeux, s’élevèrent de la mappe qu’il observait, d’un œil, critique. Ce qu’il aurait, donner pour avoir été née un siècle plus tôt, pour avoir l’opportunité de servir dessous le grand Empereur lui-même. D’avoir battu, pour une cause digne de le plus favoris des champions du Temple, le plus glorieux de tous les héros de la Deuxième Guerre des Ténèbres.
Une opinion qu’il était toujours possédé depuis son enfance, un qu’il savait que son neveu partageait avec lui. Même-ci les deux hommes avaient des différents avis, de ce que ceci aurait signifié pour eux, autant que pour les terres qu’ils régnaient dessus.
Observant les garçons, qui couraient entre les lignes de chevaliers et avant-gardes assemblés sur les plaines de Partriche. Communiquant des messages partout parmi les lignes de chevaliers, hommes à pieds, sur la part de ce noble ou celui-là. Tous savaient que, cette bataille qui venait de prendre place, était peut-être la plus importante dans la guerre pour la position, de Comes de Luçia.
En plus des jeunes écuyers et pages, courant ici et là, il y avait des servantes voyantes aux besoins personelles des hommes. Les apportant du linge frais pour une blessure, causé par la dernière bataille, ou du vin pour leur soif, ou de la nourriture pour leur faim. En tout, il y avait plus de mouvement, parmi les rangs de la force de presque quinze cents hommes, que le plus grand village de la région, à ce temps du jour.
Les éclaireurs avaient départi, avec autant d’excitation que les hommes qui sont restés en arrière. Tout ce qui restait à faire, était de déterminé s’il y avait des nobles encore en vie, qui était trop blessée pour s’échapper, et lesquelles venaient de s’échapper. Quand aux nobles capturés, ils étayent pour être rançonnés avec les cadavres, des autres nobles. Les plébéiens n’avaient pas de valeur, et pour cette raison ils n’attirèrent pas la moindre attention, des nobles et des chevaliers. Seuls les clercs, étaient attentifs à ceux qui avaient la tâche fatiguante de brûlé les cadavres.
Certains des nobles étaient prêts pour célébrer, certains qu’ils venaient de tout gagner. La guerre était terminée, les autres maisons de Luçia n’avaient plus, d’hommes, ni de ressources pour continuer de les défier. Entre ceci et la capture de cinq héritiers, et deux barons, après une bataille entre quinze cent contre une force supérieure de vingt cents. Menés par trois différents barons, à la tête d’une alliance de plus que deux douzaines de seigneurs et nobles mineures, de la région. Ils attendaient à une victoire facile, sous-estimant Bertrand, le fils ainé de Bernard de Luçia.
Grâce à sa forte personnalité et sa connaissance du terrain local, le jeune prétendant au titre de Comes, avait entouré et prit la tête de l’armée opposant. Divisant sa force en deux, en un acte aussi rusé, que rapide, pour qu’il utilise les montagnes à l’est et la mer de cette région pour coincer ses enemmies.
Plus tard, des historiens et nobles, dans le futur référaiten à cette bataille comme celle de Partriche, après les montagnes près d’où la bataille avait pris place. Pour Bertrand, la bataille aurait beaucoup plus de signification, dans les années qui venait, après cet évènement.
-Monseigneur, laisse-moi être le premier à te féliciter, Dit le seigneur de Norgrard, facilement le plus proche de tous les seigneurs au Comes, et qui se comptait un membre de son court naissant.
Jaloux de lui, plusieurs des seigneurs, ne voulant pas être ignoré par l’homme qui semblait, destiner à monter au sommet du comté, et se pressèrent en avant du gros baron.
-Non, je serais le premier.
-Moi aussi, je veux-
-D’une côté idiot-
-Qu’est-ce que vous pensez faire par vous poussant en avant de moi ? Gronda Gaubert, le seigneur qu’ils tentaient de se placés en avant de. Tous voulaient profités de cette victoire, et si cela signifiait falloir s’abaisser à un homme, aussi jeune que Bertrand, peu importe.
Calme avec ses yeux bleus sur l’horizon, il coupait une noble figure, avec son armure rayonnant dans les deux soleils. Vingt ans, avec une courte barbe aussi brune que ses longs cheveux, son casque ayant été enlevé après la bataille, pour que ses cheveux flottant librement dans le vent derrière lui. Engraver sur son armure, était le symbole de sa maison, trois étoiles bleues, un symbole qui datait presque au période de l’ère d’Aemiliemagne, cent ans plus tôt.
-Messeigneurs, calmez-vous. Commanda-t-il fortement, démontrant le même charisme et intelligence, qui avait marqué le reste de sa campagne contre les autres barons. -Nous avons encore pleins à faire. Seulement, après que Luçia elle-même, soit en nos mains est-ce que j’accepterais des félicitations pour cette victoire.
-Aussi sage que toujours, murmura le seigneur de Gaultion, l'un des hommes qui avait douté au début de cette guerre, peu de temps après qu'il eut accepté de se joindre à leur camp.
-Ce n’était pas ce que tu disais, il y’a quelques jours. Plaignit Abel de Zinan, étant le premier à avoir tenté de déloger Gaubert de sa place en avant du cheval sur lequel le jeune homme était assis.
-Paix, Messeigneurs, Dit Bertrand fermement, presque sévèrement avec eux, les traitants de manière similaire à des enfants mal agissants. Quelque chose qui n’était pas bien loin, de la vérité songerait n’importe qui avec du sens, qui les observait en ce moment.
Il semblait que personne, ne doutait leur chance de pouvoir prendre le principal fort des ancêtres de Bertrand, en plus du siège présent de son père. Ils pouvaient être excusés, pour avoir déjà conclu que la victoire les appartenait.
Ce sens de triomphe n’était pas, destiné à vivre pour bien longtemps. Car, loin dans la distance derrière eux, couvrant l’horizon d’une manière similaire, à des fourmis. Le premier à s’apercevoir des centaines d’hommes arrivant tout à coup, était Norgrard. Qui faisait face dans la propre direction, pour y faire autant. Le voir, était désormais une différente chose, que réagir ou le dire. Pendant plusieurs minutes, il ouvrit et ferma sa bouche, tel un poisson sorti de l'eau.
-Qu’y’a-t-il Gaubert ? Est-ce que tu as enfin avalé ta langue ? Questionna Éric de Lugrond, amusé par le mutisme soudain du baronqui était d’habitude la définition du mot volubile.
Souriant un peu, Bertrand était sur le point d’ajouter à la moquerie, la première remarque légère qui sort de lui, en des semaines. Cependant, il était mi-parole quand il s’aperçut de la pâleur du plus vieil homme, changeant sa remarque d’une blague à une question consternée. -Ce serait un véritable miracle pour- attends, qu’est-ce qu’il y’a Gaubert ?
Il reçut sa réponse, un battement de cœur plus tard, quand son favori éleva un seul doigt, pour pointer au-dessus de l’épaule du jeune homme. Suivant le doigt, les divers seigneurs uns et tous devenir aussi pâle, que le premier homme, à voir l’armée venir.
Sa bouche aussi ouverte, que le sien, Bertrand donnerait l’ordre après quelques minutes d’observer horrifier l’armée qui s’approchait. Ses yeux furent attirés à l’image du dragon noir crachant du feu, sur une bannière dorée flottant hautement. Une claire signale de la trahison qui avait pris place, des véritables intentions et identité de ceux derrière eux.
Seulement un mot était soufflé, du jeune en gris avec le coyote de Luçia doré engravé sur son armure après quelques minutes, par Gaubert, -Norençie…
Je ne comprands pas Francais.