II
Ayant été pris par quelques hommes, elle avait perdu compte après les premiers quatre. Après le premier, c’est devenu simplement un long cycle de douleur, sanglot et de cris. Pour Aude, c’était la plus misérable et terrible moment, de sa jeune vie. Les guerriers de Norddard n’avaient pas écouté à leur chef, le passant entre eux, puisqu’il n’allait pas s’assurer s’ils l’avaient laissé tranquille. Quelque chose, qu’elle imaginait et qui empirait la douleur infligée sur elle, était que Judith souffrait elle-même.
Criant, pleurant et suppliant durant l’entièreté de sa violation, cessant juste quand ils, avaient cessé. Sa vie détruite, Aude de Luçia pleura davantage, comme jamais avant. Même pas, quand son père avait traversé au-delà, et Bertrand les a trahis, est-ce qu’elle avait pleuré autant, qu’elle le fit en ce moment. La violation avait cessé tôt dans le matin, laissant la fille avec l’impression qu’elle était sale, que les divers hommes qui l’avaient violé étaient encore dedans elle, et serait toujours là. Jusqu’à ce moment, elle avait été une vierge, fière de sa pureté et rêvant d’un jour trouvé l’aventure et l’amour. Pourtant qui, dans tout Midgard la voudrait maintenant qu’elle avait été déshonorée, dans une telle manière ?
-Ô, cesse de pleurnicher, ça te fait plus laide qu’avant, Grogna Arthur le député de Charles de Norençie, et le premier qui l’avait violé, avant de la donner à plusieurs de ses hommes. Étant encore habillé en son armure usée, qui était similaire à la celle qui couvrait son destrier, avec le jeune homme trop arrogant, songea-t-elle pour porter un casque.
La saisissante, pour la forcer à cheval, avant de le monter lui-même, il était venu à son secours, juste après que ses amis, étaient plus intéressés en elle, le lendemain après que Luçia fut saisie. Ayant pris le temps durant sa violation, pour préparer pour le voyage à Norddard comme il, avait été ordonné de faire plus tôt, par Charles. Ce qui le laissait, avec la tâche de s’occuper de la fille noble, couverte de larme et sans une bonne jupe et corsète, pour la couvrir. Départant à travers le village, et les barrières ouvertes, les joues de la fille de treize saisons, commencèrent à brûler d’humiliation. Car, elle était exposée à tous les villageois, qu’elle avait à un temps, achetés de la nourriture, du linge de et autrement vît chaque jour.
-Cesser cela, c’est agaçant. Ordonna Arthur après qu’ils avaient laissé le château derrière eux, irrité par comment Aude n’avait pas cessé de pleurer pour les, dernières trois heures. Est-ce que tu es incapable de fermer ta gueule pour plus que deux secondes ? Par Ziu, tes une pleurnichant vaurienne, cesse de crier dans mes oreilles, c’est agaçant ! Pourquoi, par le seigneur de guerre, fallait que je sois forcé à t’endurer, au lieu de la Vénus que le Comes a gardée pour lui-même ?
Cela empira les larmes de la douce fillette, qui sentit le malheur et cruauté de ces paroles percer son cœur. La séparation de ses sœurs, et petit frère, en particulier sa plus vieille sœur, Judith la hantait.
La mention de sa sœur, la rappela comment sa sœur l’aurait pris dans ses bras, pour la conforter. La jeune femme était tout ce qu’Aude, voulait être ; elle admirait sa sœur, la considérait presque comme une déesse vivante. Alors, pour être dite que son idole serait salie dans une telle façon, était plus douloureuse qu’une dague dans le cœur.
Elle crachait, prise par une vague de nausée, ses mains s'envolant vers son estomac en proie à la douleur.
-Oie, ne vomissez pas sur moi, petite salope ! Sinon je vais te donner une raison à pleurer et vomir. Mugis Arthur paniquant, pendant que la fille maigre, perdait son dîner négligeable d’hier soir.
Hennissant, l’animal secourait sa tête en même temps que son maître était saisi par le dégoût, envers la fille. Qu’il avait été donné, la tâche de protéger et apporté hier soir, à Château-Norddard. Il lui a fallu plusieurs minutes à Arthur pour reprendre le contrôle de sa monture, car ni elle ni l'animal ne lui accordaient beaucoup d'attention.
Une fois cela fut accompli, il détourna la fille dans ses bras pour la donner une claque à la face, avec sa main couverte par un gant de fer. Ce n’était pas un coup de pleine force, mais le cavalier pressé laissa quand même une marque bleue, sur le visage de la fille minuscule.
Quand à Aude, le coup tira des larmes de douleurs d’elle, et la fit voire des étoiles, la réduisant au silence. Goûtant du fer dans sa bouche, crachant un peu de sang, elle se demandait ce qu’elle avait fait pour mériter toute cette souffrance.
-Ah, finalement du silence, peut-être si j’arrive à Norddard avant le Comes, il me laisserait goûté ta sœur, Pensait Arthur à haute voix. Son regard, voyageant d’un côté de la forêt à l’autre, à la recherche pour la source de l’eau, qu’ils entendaient, pas qu’elle donnait l’eau beaucoup de penser.
La pensée elle-même la poussait à crier, et recommencer à se battre contre lui. Le frappant futilement, frétillante et ne cessant pas de bouger et de crier d’une manière, inarticulées. Aude épuisait sans le savoir du dernier de la patience, du chevalier.
-D’accord, tu veux m’agacer, ça veut simplement dire que le voyage à Norddard, va juste prendre un peu, plus longtemps. Arthur reçut l'information, descendit de son destrier de guerre pour faire une pause près de la rivière qu'il venait de découvrir. L’enlevant du cheval, pour la jeter quelques centimètres de l’eau, avec autant de délicatesse qu’un sac de patate. Essouffler par sa douleur, autant que la surprise qui vient à elle, par le choc d’être jeté par terre.
-Après que vous, avez lavé ton visage je vais avoir un peu de sexe aquatique, pour la première fois de ma vie. Remarqua-t-il ajoutant à l’horreur de la fille essoufflée, C’est ta punition, pour avoir été aussi misérable compagnie que tu es laid.
-Nooooon ! Hurla Aude aussitôt, quand elle le sentit séparer ses genoux.
Pleurant comme un bébé, elle doublait ses tentatives à s’échapper de lui. Ses pieds étaient incapables de l’aider, à cause de l’engourdissement, que les violations de plutôt l’avaient laissé avec. Alors, elle fendit l’air avec ses mains, jetant des claques et coups de poing futile, sur son visage.
-Arrêter cela, Ordonna-t-il furieux, plus agacé par ses coups, que blessé.
Cependant Aude ne l’entendit pas, si affolé et terrifier était-elle. Dès qu'elle sentit la pression contre ses jambes, elle redoubla ses efforts. Ses larmes tombant avec assez de force, qu’elle ne pouvait plus le voir.
Élevant ses mains, elle essayait présentement de pousser sur la tête du guerrier avec ses mains, et ongles. C’était purement par chance qu’Arthur avait baissé sa tête, vers elle pour préparer à la lécher, pendant qu’il utilisait ses mains pour enlever ses chausses, que l’accident pris place. À l’instant où, sa tête l’approchait, la fille noblement née, essayait de couper son front, juste pour sentir après deux coups. L’ongle de son pouce percé, quelque chose doux et dégoûtant pour la toucher, puisqu’elle ne pouvait pas voir ce qu’elle faisait, elle ne vit pas qu’elle avait coupé son œil droit.
-AAEEEEIIIIIAAAAHHHHH ! Maudite chienne ! Mon œil ! Ma précieuse maudite œil ! Cria Arthur dans sa face, son visage déchiré par la douleur.
Enlevant son ongle de son œil, l’homme insensé oublia son désir et saisit les bras de la fille pour les mettre en haut d’où sa tête se trouvait, d’une grosse main forte. Ses doigts resserraient autour de sa gorge délicate presque entièrement, il commença d'ailleurs de l'étrangler avec plus qu'un peu de rancœur.
-Je vais te TUER ! Cracha-t-il son front presque pressé contre la sienne, son visage déchiré par son rage et douleur.
-Auugggghhhhnnnnggg, Suffoqua Aude, sa gorge incapable d’apporté assez d’air, à ses poumons.
C’était une éternité pour elle, si incapable de bouger, de se sauver et de respirer était-elle. Aude pouvait sentir sa gorge commencer à s’écraser. Elle ne le savait pas, mais sa face était présentement bleue et violet, pendant que sa vision devenait de plus en plus noircie.
Comme s’il comprenait finalement comment mal, c’était de tuer une jeune fille sans défense. Ses doigts lâchèrent la gorge traumatisée d’Aude, qui commença immédiatement à remplir sa gorge avec de l’air. Après ce qui semblait comme des années sans oxygène, Aude pouvait dire avec confiance, que l’air avait un goûteur. C’était délicieux, et si, si rafraîchissant qu’elle avait des larmes de soulagement, dans ses yeux.
Ouvrant ses yeux, elle entendit un cri étrangler, un grondement semblable à celui d’un ours enragé, suivi par un grand craquement retentissant. Frottant ses yeux, des restants de ses larmes la jeune noble était surprise à découvrir debout au-dessus d’elle, deux filles. Une était à peu près le même âge, qu’Adalbert, avec des cheveux et yeux bruns, presque la moitié de la taille, du nouveau Comes de Luçia. Quant à l’autre, elle avait des cheveux noirs, de la peau noircie par beaucoup de temps pris dessous le soleil, avec des yeux auburn. Judith aurait dit que ses seins sont deux fois plus gros que ceux d'Aude, entre des hanches idéales pour donner naissance. En tout, elle semblait être juste une année plus vieille, que la noble et déjà presque aussi mature physiquement que Judith.
Confus, incapable de comprendre pourquoi Arthur avait cessé sa tentative de la tuée, simplement à cause de ces nouvelles arrivées. Réalisant qu’elles regardaient quelque chose une petite distance d’elle, où les sons venaient de. D’abord, suivant les yeux des deux filles, la fille d’une descendance pure, mit ses yeux sur Arthur et son sauveur.
-Henri ! Cria la plus vieille des deux paysannes, alarmées par sa violence.
Arthur avec son nez brisé, avait évidemment été frappé dans la face par cet Henri, qui tenait ce qui semblait être un tronc d’un arbre si épais était la branche, qu’il utilisait comme une massue. L’homme appeler Henri, avait surpris Arthur pour l’attaquer de derrière, ensuite en plein visage.
-Aaaaagh ! Cria Arthur sa face craqué et couvert de sang. Sur son dos, il tremblait, son corps tremblant et tortillant avec chaque coup de bâton, à la tête, qu’il recevait.
Ses cris s’arrêtant soudainement, après dix secondes des derniers coups. C’était juste par la chance, que son épée avait été laissé attacher au cheval, au lieu de sa hanche, Aude pensait soulager.
De la tête qui rassemblait de plus en plus, à un morceau de pomme écarlate écrasé, coulaient des liquides de cerveau et du sang. Les yeux verts d'Aude se levaient, la stupéfaction l'envahissait immédiatement. Des cheveux noirs sales, court avec une petite barbe encore, quelques jours de jeûne, Henri était habillé dans une tunique brune sale et une corde servante comme une ceinture, avec une chausse la même couleur. Une cape de fourrure longue entourait ses épaules, mais laissait ses bras poilus, libres. Son nez était trop long, son menton sévère par nature, et ses muscles partait, encore mais donnait l’impression qu’il était, probablement encore plus fort, qu’Aude l’était. Il était à sa surprise, beaucoup plus maigre elle notait une deuxième fois, que l’homme qu’il venait de meurtrier. En tout, il n’était pas du tout, le plus bel homme qu’elle ait jamais vu, néanmoins en ce moment il était parfait, dans ses yeux. Car, à ce moment, Aude voyait un héros, tirer directement des contes et chants que le jongleur du court de son père, avait toujours racontés à elle avant qu’elle départe pour s’endormir.
La rage sur sa face, démontré par ses dents jaunes qu’il grinçait et ses narines ouvertes et évasée. Henri hurlait, crachait et salivait partout, tel un chien sans raison, regardant à peine comme un héros de légende, qu'elle à ce moment le croyait être.
Présentement, après cinq minutes de continuellement attaquer le crâne d’Arthur, qui était en pièces, avec sa cervelle écrasée et son sang partout. Les restants par ce temps, c’est-à-dire le liquide du cerveau et sang couvrant la main droite du paysan.
Le paysan- non le héros continuait à brutaliser le corps inerte, du scélérat pour plusieurs moments. Ne réalisant pas il semble, que l’homme monstrueux à ses pieds, était déjà mort.
-Henri arrêter- cesse cela ! Il est déjà mort ! Mort ! Supplia fille aînée, regardante Aude avec pitié, juste pour tourner à sa sœur pour l’ordonner. Et Maria ferme tes yeux pour l’amour de Ziu !
Mais Henri était trop possédé par sa fureur pour l’écouter, et c’était juste après que la plus jeune des deux filles, éclata en larmes. Témoin de l'impact que ce geste violent avait sur la jeune fille du même âge qu'Adalbert, la fillette suppliante poursuivit sa tentative de le raisonner en se jetant contre sa taille.
-Arrêter, on ne sait pas qui il était à elle ! Plaidait la fille aînée une deuxième fois, ce foie Aude allait expliquer pendant qu’elle secouait sa tête, juste ce qu’Arthur était à elle. Mais sa voix, ne sortit pas de sa gorge, assumant que c’étaient ses émotions qui, la prévenaient de parler, elle réfléchit aux paroles de l’autre fille.
Elle pense, que j’aimais, ou était famille à ce-ce monstre ? Réalisa Aude regardante la fille avec, de la haine en ce moment, de la haine qui disparut une minute plus tard.
Arthur avait pris toute d’elle, sa pureté, sa place dans le monde, son honneur et plus que cela, sa famille. La haine passa aussi rapidement que, c’est venu. Car la fille se corrigea et s’excusa immédiatement, si paniquée était-elle.
-Cesse cela Henri, je sais qu’il était probablement un faux chevalier, mais juste cesse cela, Insista-t-elle ne remarquant pas l’expression d’Aude, des larmes coulantes de ses yeux.
Finalement l’homme ralentit ses coups, fatigué il commençait à haleter, hors de souffle. C’était juste à ce moment, qu’il prit un bon regard à ce qu’il venait de faire, à l’autre homme.
Penchant en avant, il vomit sur la place exacte où, la tête du chevalier mort, était quelques minutes plutôt. Frottant et nettoyant sa bouche, avec le derrière de sa main, juste pour secouer et la frotter sur ses chausses avec une moue de dégoût. Se relevant à sa taille maximum, il était peut-être double la celle d’Aude, qui était un peu intimidée par cela.
C’était aussi la première fois, qu’elle vit ses yeux. Les yeux, d’Henri étaient noirs comme la nuit, et sans la caractéristique destructive qu’Aude avait auparavant associée avec la nuit. Ils révélaient un océan entier d’émotions, plus de passion et d’esprit, que n’importe quelle d’autres yeux qu’elle n’ait jamais vus dans le passé. Ils lui rappelaient ceux de Judith, et cela lui faisait penser aux océans à côté desquels Château-Luçia avait été construit.
Aude pourrait se perdre en eux pour toujours à ce moment, si gratifier envers lui, était-elle. Elle était encore plus distraite par le fait que ses jambes ne peuvent plus supporter son poids. Si fatiguer et affaiblis était-elle à cause d’un évènement après l’autre, pour les dernières deux jours.
-Est-ce que je peux rouvrir, mes yeux maintenant ? Demanda la plus jeune fille, les ayant fermés plus tôt et couverte avec ses mains.
-Non, je t’ai dit déjà, de ne pas les ouvrir avant qu’on soit départi d’ici, stupide. Grogna la sœur de Maria avec impatience tout en détournant les yeux du cadavre, pendant qu’elle se tenait le ventre. Debout à côté d’Aude, qui voyant le liquide rouge et blanc parterre à côté d’elle, devina que l’autre fille avait vomi à cause de la vision du crâne en pièces d’Arthur.
-Celui, qui m’appelle stupide est celui, qui est stupide ! Dit la Henri, que je ne suis pas stupide. Plaignit l’enfant appelant à son frère pour de l’aide dans, son argument enfantin.
-Ne l’appelle pas stupide, et prenez la Ildé, hors de cette place horrible, ordonna celui appeler Henri, d’une voix rauque mais ferme. Et voyer à nos affaires.
-Mais, Henri- Protesta la fillette nommée Ildé, irrité par le favoritisme démontré envers la fille plus jeune, quand sa parole fut coupée.
-Toute suite, Cria-t-il à pleine poumon à ses deux sœurs.
Piétinant son pied gauche, d’une manière furieuse, Ildé prit la main de la plus jeune sœur, départant du clairet pour retourner à leurs camps.
-Viens, t’en Maria. Commanda Ildé, prenant la fillette qui souriait d’une manière narquoise, par sa main droite.
-Et Henri, qui est cette fille ? Est-ce qu’Henri, va être puni pour avoir meurtrier un chevalier ? Demanda Maria en retour, dans le prochain battement de cœur, pendant que sa sœur l’ignorait.
Une fois que les deux filles étaient parties pour voir à leurs possessions, Aude gardant ses yeux méfiants sur son sauveur, attendirent pour qu’il fasse quelque chose de mal. Méfiante car même s’il l’avait sauvé, ce ne garantissait pas qu’il ne l’abuserait pas à son tour. Ses soupçons furent confirmés quand il sortit un des couteaux du fourreau attaché, autour du milieu de l’homme mort. Avançant vers Aude, élevant une main vers elle pour la saisir.
Déjà prête pour le pire, elle se préparait à paniquer, sachant qu’elle avait juste une chance à se sauver, Aude essaya sans succès de bouger ses jambes. Mais, elle était encore consumée par la fatigue, et d’abord complètement incapable d’aider elle-même.
-Aaaaaaaauuuuuuuugguuggghhh ! Aude tenta de crier pour de l’aide aux autres filles, juste pour qu’un son rauque sort de sa bouche craquée suivie par une explosion de douleur de sa gorge.
Mais Aude avait encore ses larmes, elle décida si elle ne pouvait pas plaidoyer, puisque pour une raison ou une autre, sa parole l’échappait. C’était humiliant et horrifiant pour elle, de comprendre qu’elle ne pouvait pas parler en ce moment. La vague de panique qui vint à son esprit, était aggravée par le fait qu’elle ne pouvait, peut-être plus prononcer un autre mot pour le restant de sa vie.
Avant que la noble pût comprendre, ce qu’il faisait, les cordes qui avaient tenu l’armure d’Arthur ensemble, furent coupées au lieu d’elle.
Se souvenant d’elle, il prit sa cape de ses épaules, puis le jetant à elle disant doucement, si un peu brusquement. -Tien, met cela.
Aude était stupéfaite par cet acte de générosité, si surprise était-elle, par cet acte et quand elle sentit d’autres larmes tombez de ses yeux et nez. Peut-être c’était la joie, ou la tristesse, peut-être c’était les deux, après une éternité sans compassion, elle était totalement écrasée par son propre sens de gratitude envers lui. Se faisait aucune différence, elle supposait car Aude était juste heureuse à avoir été sauvé, d’Arthur.
-Oie, il est mort, mort alors ne pleure pas, je t’en supplie, Murmura Henri d’une voix à la fois implorant et rassurant.
Ses mains sur ses épaules lui causèrent une telle frayeur qu'elle en vomit sur ses jambes, ne désirant plus être touchée par un homme pour le reste de sa vie. Songea-t-elle, avec une autre vague d’horreur et mortification. Frissonnante, de terreur elle pouvait seulement entendre son propre souffle haleter, et lui murmurer d’un ton rassurant. Qui, il essayait de rassurer, lui-même ou elle, elle ne savait plus puisqu’il semblait avoir des difficultés à ne pas pleurer, lui-aussi, si grave était son propre sens d’horreur.
-C’est correct, tu es saine et sauve maintenant, Continua-t-il à dire, sa voix était naturellement confortant, tant qu’elle sentit ses larmes, cesser. La prenante dans ses bras, lentement il frottait son dos d’une geste à la fois paternel, rassurant et doux. Tu es correct, je t’ai ! Tu es saine et sauve.
Il continuait à chuchoter pour quelque temps, la caressante d’une main, pendant que l’autre, commençait à frotter le derrière de sa tête. Si émue par sa simple gentillesse, était-elle qu’après quelques minutes de tension, Aude se relaxa dans ses bras. Son sens de terreur à être touché par lui, évaporant petit à petit. C’était encore là, quelque part en elle, c’était juste que c’était plus aménageable maintenant, songeait-elle.
Plus tard, quand elle penserait à l’exact moment où il est arrivé qu’elle fût tombée en amour avec Henri le fermier, elle dirait que c’était à ce moment-là. La première fois qu’il l’a tenu, quand il a chassé toutes ses peurs, la laissant avec juste la sensation d’avoir quelque part de sauve, dans un monde cruel et sans pitié.
Il prit des heures, pour que les larmes de la fille viennent à un arrêt. Et par ce temps, c’était l’après-midi. La fille par ce temps était à peine consciente, ses yeux présentement rouges, ses joues portant encore des marques de souffrances en plus des lignes, où ses larmes étaient.
-Aummnnngghh, Murmura-t-elle sa tête tombant contre son épaule, d’une manière épuisée.
Qui est cette fille ? Son linge regarde comme si c’était fait d’un matériel riche, mais cet homme la traitait comme une esclave sans droit ou valeur. Songea Henri, pensant à la valeur que la jupe maintenant trop sale, pour vendre aurait pu avoir été vendue ou acheter pour. Le linge en question, avec sa laine et fourrure d’une superbe qualité, remplacé avec une des jupes brunes de pauvre qualité et bien usée d’Ildégarde (la jupe étant fallue être coupée pour qu’elle ne fût plus trop grande pour la petite fille).
Il n’y avait rien qu’il pouvait faire maintenant à propos de cela sauf, recouvrir ce qu’il pouvait. Sachant que c’était juste une question d’heures ou jours avant que l’absence de ce chevalier, soit remarquée par quelqu’un. Henri se mit, à la tâche d’enlever et autrement voler tout ce qu’il pouvait de valeur, du guerrier mort. Il fit cela, un peu contre son gré sachant que maintenant qu’il était mort, qu’il n’aurait plus besoin d’eux. Autant que parce qu’il haïssait encore l’homme pour avoir tenté de faire une telle vulgaire action contre la pauvre fille à côté de lui.
Commençant par l’armure, ce qui le prit seulement cinq minutes à arracher du cadavre. Quant aux ceintures et cordes qui étaient censées garder la cuirasse en place, ou pour attacher la selle au cheval, cela prit un peu plus long. Ensuite, le fermier dévoua son temps à chercher la ceinture et les poches, de l’homme mort.
Ce qui l’amenait ensuite à son prochain problème, maintenant qu’il avait fini d’organiser et enlever, les armes, l’armure et de prendre pour lui-même, les trente-quatre pièces d’argents. Quoi faire, il se demandait, avec la fille derrière lui ?
On n’a jamais été si riche, j’avais dit à père que je savais quoi faire, pour la famille, Se félicitait Henri, heureux d’avoir trouvé tant d’argent. Son humeur tombant un second plus tard, lorsqu’il se pausa assez long pour qu’il se souvînt de son père, et ce qui l’était arrivé.
Se forçant à oublier cela, et de se rappeler qu’il pourrait probablement vendre son armure, armes et le cheval pour au moins cent cinquante faucons d’argent. C’était principalement son armure et cheval qui coûtait cela, pendant que ses armes consistant d’une épée et une hache valaient quinze pièces de cuivre.
Le jeune homme qui réjouissait par ce soudain coup de fortune déjà, étudia la petite fille longuement. Se souvenant de la haine qu’il avait sentie le moment où il avait entendu les sons, du chevalier essayant de la violer. C’était au moment où cette pensée avait entré dedans sa tête, qu’il avait rappelée, ce qui avait bien proche arrivée à Ildégarde. Ceci était ce qui l’avait poussé en avant pour sauver, la pauvre fille. Les larmes de la jeune, avaient aussi touché quelque chose au tout fin fond de son âme, où sa rage se cachait. Pensant à comment proche, ses sœurs étaient venues à être traité de cette façon, le donnait l’impression qu’il avait fait, quelque chose de bon. Qu’il avait d’une façon ou d’une autre effacée, ou expier son crime de parricide et matricide.
Voyant que la fille, qui par ce temps était endormie gémissant encore, cette fois dans son sommeil, probablement à cause de ce qu’elle venait de souffrir. Et lorsqu'il a vu à quel point elle était petite et sans défense, son cœur s'est brisé.
Elle ne survivrait pas la nuit, par les dieux je ne sais pas si nous allons survivre, Remarquait Henri dans son for intérieur. C’est stupide et bête de même considéré de l’apporter. Il allait tourner les talons sur elle à jamais, juste pour comprendrer qu’il avait déjà fait sa décision, même si ce n’était pas la plus rationnelle chose qu’il ait fait dans sa vie.
-Merde, merde, merde ! Cracha-t-il jurant et détestant cette fille, la ramassant il était surpris par comment légère elle était.
Une fois qu’elle était sur le cheval, il mit le chevalier sur le derrière du destrier, pour le transporter avec eux. Pour cacher son crime, en dépit du dégoût que le cadavre inspirait en lui.
-Maudite sotte, c’est seulement jusqu’à ce que nous arrivions au prochain village, Promit le jeune homme furieusement, la mettant sur la selle du cheval avant de le tirer en avant.
Quittant le clairet, s’arrêtant brièvement pour jeter le cadavre parmi la forêt où il espérait, qu’elle serait oubliée ou ignorer pour assez long que possible. Il était bientôt plus qu’un peu content de retrouver ses sœurs, déjà prêtes à partir. Maria comme c’était dans sa nature, ne le questionna pas, quant à Ildé, elle était une différente histoire.
-On continue vers le nord, et dans le prochain village, je vais chercher pour un métier, pour nous supporter, et vous allez utiliser l’argent qu’on a pour acheter une bonne maison. Dit Henri prévoyant une dispute enflammée avec Ildégarde, et voulant l’éviter sans succès.
-Attends une minute, qu’est-ce que tu vas faire avec cette fille étrangère ? Demanda-t-elle irritée, signalant d’un doigt indexe, à la fille dormante sur le cheval.
- Elle ne serait pas un problème, dans le prochain village, on trouverait quelqu’un qui la reconnaît, ou une place qu’elle peut rester, et la laisserait là. Expliqua son frère hochant sa tête dans la direction de la fille, et ramassant Maria pour la mettre derrière elle, sur l’énorme cheval.
-Et si on ne les trouve pas, ou elle ne veut pas partir ? Persista la plus obstinée des deux sœurs, douteuse comme toujours de ses plans.
-Alors, on confrontera ce problème quand, elle se présente. Répondit-il, maintenant un œil sur Maria, pour s’assurer qu’elle ne tomberait pas, de la selle.
Après avoir gaspillé plusieurs minutes, à calmer le cheval qui ne les reconnaissait pas encore, ou était surpris par le ton élever de sa petite sœur. Henri sentait plus fatiguer et sans énergie, que quand il avait originalement découvert l’étrangère.
-Cheval bête, Maugréa le paysan, détestant l’animal et jurant de l’échanger à la première opportunité.
Pendant les prochaines heures, Henri s'efforçait de se concentrer sur le fait de mettre un pied devant l'autre. Ses pensées sur la question d’où la fille aux cheveux écarlate, était venue de. Et sûr, s’il devait continuer vers Château-Luçia. Ne sachant pas que la guerre, avait récemment inclus le château. Mais il pouvait voir, par les pas du cheval, que c’était la direction d’où le cavalier était venu de. Incertain, et ne voulant pas être surpris il choisit de simplement avancer vers le nord, et ne pas admettre à lui-même qu’il était fermement perdu. Ce qu’il ignorait aussi, était qu’il n’avançait plus vers le nord, désormais vers l’est (ceci était quelque chose qu’il découvrait plus tard).
Trébuchant, et venant proche à tomber de ses pieds, à cause de la noirceur de la nuit, sa tunique se saisit sur ce qu’il pensait au début, était une branche, d’un arbre. Se tirant d’elle, le son du linge déchirant était entendu ce qui était, rien en comparaison au juron, qui échappa de ses lèvres.
-Par les dieux, tabarnac, Criant à moitié à cause de la surprise, que la colère car il avait seulement une autre tunique. Et celle-là était en plus pauvre condition que celui, qui venait de déchirer sur l’arbre.
Regardant au-dessus de son épaule, il était insensé par la découverte que sa tunique, n’avait pas déchirée sur un arbre, mais avait été attrapé par la fille de plus tôt. Il était irrité par la réalisation qu’elle avait probablement, saisit le derrière du linge, pour l’aider avant qu’il puisse se trébucher comme un maladroit idiot, déchirant le linge lui-même. Le restant de sa tunique était encore dans sa main, une expression de culpabilité et soucie sur son visage.
-Qu’est-ce que tu penses que tu fais, idiot ? Tu as déchiré ma tunique, j’ai juste une autre. Plaignit Henri agacé, poussé autant par cette émotion, que par sa propre fatigue.
-Aaauughh. Murmura la fille à peine, comme-ci elle voulait dire quelque chose, mais ne pouvait pas le dire.
Serrante sa gorge, d’une main aussi petite que c’était délicat, et tremblante avec une expression d’horreur grandissante sur sa face. La voyante dans l’acte de paniquer, le paysan stupéfait était bouche-bée par la surprise et confusion sur sa face.
A-t-elle perdu sa voix au choque ? Pensa-t-il surpris, ne sachant que faire, pour elle.
Des larmes commençaient à échapper à nouveau, des yeux de la petite fille. Voyant cela, et conscient du fait que ses sœurs avaient depuis, quelques heures tombées endormis. Assises sur le cheval de guerre, elles étaient derrière la muette, et penchés en avant.
- Arrêter cela toute suite, tu vas les réveiller ! Ordonna le criminel ne voulant pas éveiller les filles, désormais c’était trop tard. Car quelques secondes plus tard Maria, qui grognaient dans son sommeil gémir, avant de laisser échapper une petite crient.
-Qu’est-ce que-Henri, pourquoi est-ce que ta tunique a été ruinée ? Est-ce que tu l’as déchiré ou quelque chose ? Questionna Maria maintenant complètement éveillé, la première chose qu’elle vît étant son dos nu, ensuite les restants du linge dans la main, de la fille pleurant. À l’alarme d’Henri, la pire chose qui ait pu prendre place, pris place ; Ildégarde était éveillé.
-Henri, qu’est-ce que tu fais ? C'était un présent de maman, et tu l'as gâché. As-tu la moindre idée du temps que cela prendrait pour le réparer ? Ildégarde avait aperçu la condition de sa tunique, et le blâmait déjà. Et qu’est-ce que tu as fait, pour réduire cette pauvre fille à des larmes ?
- Vous inquiétez trop, c’est juste un, tu sais quoi ? Je vais juste fermer ma gueule. Répliqua Henri sincèrement peur de sa sœur des fois. Il y avait des jours où il se demandait s'il était réellement le chef de famille ou si c'était elle, la figure dirigeante de la famille.
-C’est probablement pour le mieux, dit Maria, se moquant de lui.
-Auugh, la fille essayait encore de parler, néanmoins elle ne remportait pas plus de succès que plus tôt. Agitant ses bras, avec le morceau de linge encore dans sa main, elle voulait évidemment leur dire quelque chose, tandis qu’ils ne pouvaient pas deviner pourquoi elle était si frénétique.
-Qu’est-ce qu’il y a avec elle ? Pourquoi, est-ce qu’elle ne parle pas ? Est-ce que c’est contagieux ? Je ne souhaite pas l'attraper ! Exclama Maria exclama, surprise par les actions de leur nouveau compagnon et effrayer pour elle-même.
-C’est typique, que tu inquiètes seulement pour toi-même,” Grommela Ildé durement, recevant un regard dur de leur frère ainé.
-Je crois qu’elle ne peut plus parler, ça doit avoir quelque chose à faire, avec ce que le salaud de plus tôt ait fait, à elle. Théorisa Henri fasciné en dépit de la situation terrible, de la jeune fille à cheval.
-Pauvre fille, Souffla Ildé la tirant dans une caresse sympathique et maternelle, d’où elle était assise derrière elle.
-Tu m’étrangle ! Plaignit Maria, piégé entre les deux filles plus vieilles.
La fille muette, fermante ses yeux, était apparemment confortée car elle n’offre aucune résistance, au contraire car elle fit une bonne imitation d’une chatte perdue, par se pressante contre l’autre.
Une fois de plus, après avoir secoué elle-même visiblement, la fille agita ses bras, dans la direction de l’ouest, essayant de capturer leurs attentions.
-Quoi ? Est-ce que tu veux aller à l’ouest ? L’enfant de milieu de la famille devina juste pour sourire fièrement quand sa nouvelle amie, hochait sa tête excitée de finalement trouver quelqu’un qui la comprenait.
-Pas pour l’or, du Roi ou de Fufluns. Répondit Henri référent au dieu de fertilité favorisé par les fermiers d’Agénor-du-nord, et dieu des marchands de tous biens naturels. Même s’il ne savait pas beaucoup à propos de lui, il se rappelait un marchand qui était venu d’aussi loin que les îles de Gernavie parlant de lui. Un marchand de laine si son mémoire, le servait.
La fille rouge, devenir furieuse, et élevant son nez à lui, agir d’une manière hautaine qui agaça l’homme presque instantanément.
-Henri ne soyez pas une brute, Le réprimanda Ildégarde, aussitôt heureuse d’avoir quelqu’un de son côté, c’est-à-dire une autre fille contre lui. Et, es-tu certain que nous allons dans la bonne, direction ?
-Oui, nous allons dans la bonne direction pour le mille et une fois, Répondit Henri exaspéré, continuant dans la direction qu’il était certain mènerait hors de la forêt. Il ne voulait pas l’admettre, mais il commençait à se douter et priait qu’il rencontre quelqu’un, n’importe qui (sauf un bandit) bientôt. Quelqu’un qui pourrait, les pointer dans la bonne direction, même s’il ne voulait pas admettre, qu’il n’avait aucune idée, d’où il allait. Il se souciait de, à ce moment, ses pensées sur les réserves de nourritures qu’ils consumaient rapidement, trop pour son goût.
C’était le prochain jour, après qu’Henri avait fini d’aider Maria, du cheval par la prenante, d’au-dessous des épaules pour la mettre par terre. Qu’il fût introduit, à la réelle nature impulsive de leur nouvelle amie.
Dans le milieu d’attacher les cordes du cheval à un arbre. Pendant que derrière lui, Ildégarde et la fille essayaient de se baisser du cheval, avec la fille aux cheveux noirs accomplissant cela facilement sautant par terre d’une manière similaire à un garçon. Quant à l’autre fille, n’ayant pas encore grandi de sa taille enfantine, elle rencontrait avec plus difficulté qu’Ildégarde. La paysanne ayant passé trop de temps à monter sur le dos des vaches, dans son enfance, qu’il aurait préféré qu’elle fasse.
Sa sœur âgée de treize ans lui posa la question pendant que l'autre semblait davantage intéressé à partir. -Henri, où sont tes manières ? Ajoutant un battement de cœur plus tard, le moment exact où il venait de trouver un arbre, assez épais pour son goût. Elle va se briser le cou.
Soupirant, d’une manière qui semblait à peine dissimuler son irritation envers la fille qu’il avait sauvée, moins d’un jour plus tôt.
-Attends-y-vous un peu, Réprimanda-t-il quand la fille quand il vit, qu’elle le donnait le même regard hautain, qu’hier. La tentation de la laisser faire était forte, désormais il savait que sa sœur ne le pardonnerait jamais. Il avait réussi à calmer le trouble, quand elle se pencha pour attraper l'animal, toute seule, sans son aide.
-Bien fait, Dit-il, juste pour recevoir une grognon montrant peu d’appréciations pour son compliment. Ne me donnez pas cette attitude.
Elle était néanmoins déterminée à l’ignorer, et il était bientôt, distrait par le fait que Maria, qui jouait par elle-même, commençait à s’éloigner trop pour son goût. -Maria, n’aller pas trop loin.
-Oui, je le sais, Rétorqua-t-elle, dans la façon distraite que tout enfant de six ans utilisait, quand dans le milieu de leur jeu. Elle manifestait davantage d'intérêt pour la course et l'exploration de son environnement que pour lui prêter attention, notait-il avec irritation.
-Ildé, garde un œil sur elle, Commanda Henri tournant son attention, à leurs sacs, qui avaient survécu les attaques des bandits, de la forêt. Déterminer comme il était à commencer, un feu il ne payait pas la propre attention à ses environs, qu’il aurait autrement faite.
-Oui, oui, je dois me soucier toujours à propos de Maria, comme si je suis sa mère et non sa sœur. Était la réponse de la fille aux cheveux noirs.
-Ildé, Henri devenir furieux, la faisant face et grondant à elle avec ses yeux autant que sa voix.
La sœur aînée, grognant et râlant, s'en alla pour garder un œil sur Maria pendant qu'elle commençait à faire cuire les fruits qu'ils avaient. La nourriture qui restait, avait été amenée, acheter, chasser ou échanger pour, dans les dernières semaines. Même si chasser dans une forêt, était de légalité questionnable, puisque Bertrand le Bâtard voulait bannir la chasse, dans les forêts sans sa permission. Et si le fils aîné de Bernard, gagnait, Henri supposait, cela signifierait qu’il avait agi d’une façon illégale, pas qu’il allait confesser la vérité. Pas quand il avait des filles à prendre soin de.
Jetant un coup d’œil, dans la direction de la fille qu’il a sauvé, la seule des filles qui restait près de lui. Henri sentit de la sympathie saisir son cœur, quand il la vit regardante ses genoux, qui étaient tirés contre son menton, sur l’autre côté du feu il tentait, de commencer. Assis contre un arbre, Henri réalisa soudainement à sa propre surprise, comment jeune elle l’était. Pas plus âgée qu’Ildé, elle était si minuscule comme une poupée, qu’elle pouvait passer pour la moitié de l’âge de sa sœur. Pendant un bon moment, il avait été tellement pris par la panique de prendre soin d'une autre personne qu'il avait commencé à la blâmer, sans raison, se rendant compte qu'il l'avait déçu en lui-même.
-Petite, Appela-t-il après elle, mais il ne reçut pas de réponse. Soupirant, retournant son attention vers le feu, qui venait d’être débuté avant de prendre un petit morceau de son oignon, le dernier qui restait.
Agenouillant devant elle après avoir assuré que la nourriture était correcte, délivrant un petit coup de pied sans force, au pied de la jeune fille. Maintenant habiller dans une des dernières jupes de voyages d’Ildégarde, une jupe trop grande pour elle, par presque deux pieds. Il pouvait la regarder sans sentir embarrasser, pas qu’il le faisait trop souvent. Elle le faisait toujours mal à l’aise, pour une raison ou une autre.
-Manger, tu te sentirais beaucoup mieux après avoir grignoté sur quelque chose. Instruisit Henri dans sa voix, le plus doux, celui qu’il utilisait d’habitude seulement avec des animaux enragés.
Jetant un regard surprise à lui, ensuite à l’oignon offert. La jeune fille au grand amusement de l’homme agenouillé à côté d’elle, prit le morceau, si vite que qu’il n’avait pas le temps à même, froncé ses sourcils.
L’observant dévorer son repas de pain, oignon et tomates, inspira un certain amusement, mélangé avec un sens de paix pour la première fois en des semaines. C’était probablement le plus paisible qu’il était dans des semaines, se relevant à ses pieds avec un sourire. Satisfait d’avoir aidé la fille à sortir de sa carapace mélancolique, même-ci ce n’était que pour quelques secondes.
Henri aurait adoré cela, si ce moment paisible pouvait continuer pour une éternité. Si heureux et paisible sentait-il qu’il pensait déjà à cette fille minuscule, comme-ci elle était une nouvelle petite sœur.
Le moment était ruiné par des cris perçants. Il le prit quelques secondes pour les deux à reconnaître les cris, qui perçaient le silence, si soudainement. Désormais une fois que la reconnaissance, avait entré dedans la cervelle d’Henri, s’était suivie par un sens de panique et horreur instinctive.
-Ildé ! Maria ! Exclama-t-il saisit par ses émotions, il prit un flambeau, avant de courir dans la direction de ses sœurs.
Les deux filles arrivant de retour de la forêt, au même moment que lui et la muette, arrivaient armées avec des flambeaux.
La première chose qu’Henri, aperçu c’était qu’une partie de la jupe d’Ildé était déchirée. La prochaine était que les deux filles courraient vers lui, avec quatre hommes les poursuivantes.
-Henri, Criait Maria des larmes dans ses yeux et sa main tenue par la celle, de sa grande sœur.
-Quoi ? Un homme ? Exclama un des bandits, déçu et agitant sa vieille épée de fer, dans sa direction. Son moment de brève surprise, était tout ce que le voyageur enragé avait besoin de.
-Oui, je suis un homme, maintenant laisse mes sœurs, allez. Ordonna Henri avançant avec son flambeau prêt, ses sœurs cachant derrière lui.
Plusieurs secondes d’hésitations suivirent, après qu’il avait délivré son ordre. Pour qu’il, commençait bêtement à croire que les bandits allaient faire ce qu’il venait de, les dires par les laissant vivre. Il allait sans dire, qu’il fut bientôt déçu.
-Tue-le, Dit le plus grand des quatre impatients, interrompant le silence.
C’était aussi ce que le grand frère, attendait pour ; plongeant en avant avec son flambeau. Son assaut était un succès, à un point. Le bout enflammé plongeant dedans l’œil du gros homme. Son cri perçant les environs, pour des kilomètres à la satisfaction sauvage du voyageur effrayé.
Les trois autres brigands, pour quelques seconds bouche-bée par la vision de leurs amis, perdant sa poignée sur son épée. Sa main, allant à son visage présentement défiguré et brûlant.
-Aide-moi, de l’eau ! Eau ! Hurlait le bandit blessé d’un ton urgent et remplis de douleur.
-Crapaud ! Jura le deuxième bandit, avant de couper avec sa hache, le milieu de la torche d’un coup décisive.
Le bâton une fois coupé, mit la terre proche d’eux en feu avec Henri laissant tomber ce qui restait du bâton. Henri expira bruyamment sous la force du coup de pied, suivi immédiatement par le bandit et son arme. Son pied connectant directement, avec l’estomac du jeune homme qui tomba en arrière, avec des larmes de douleur dans ses yeux. Aussitôt qu'il fut sur son dos, à la merci des bandits, Henri sentit la terreur l'envahir.
Au moment, où il fermait ses yeux, si terrifié qu’il pouvait presque goûter son souper d’hier, montée à sa gorge. À ce moment, une autre épée fendit l’air, celle-ci utiliser par la fille qu’Henri avait sauvée le jour avant.
La jetant un regard quand son épée avait coupé à travers le poignet du bandit, juste pour être piégé là, elle laissa échapper un cri affolé. Son coup était néanmoins arrêté par une combinaison, du maladroitement construit métal, et des muscles du brigand et le manque de muscles de la fille.
Hurlant lui-aussi, à son tour le bandit saisit l’arme par le pommeau. Avec peine, le bandit grimace de douleur en arrachant la lame de sa chair. Son moment d’être distrait par la fille était toute la chance qu’Henri avait besoin de, pour se sauver. Donnant un coup de pied, entre les jambes, du criminel avec toute la force dans son corps. Il avait juste assez, de temps à rouler à ses pieds pour éviter la hache de son prochain assaillant. L’homme blessé au poignet entretemps, se doublait en avant, tenant son bras couvert de sang, complètement conquiert par sa douleur. Pas que l’exile de Partriche avait le temps, à se dévouer à lui. Il entendit Maria crier, suivi du hurlement triomphal d'un autre brigand à ce moment-là.
-Je l’ai ! Le troisième bandit célébrait, n’ayant pas entendu le petit sifflement de douleur de son ami.
-Nooon, Reniait Marai secouant sa tête, pleurant et effrayer. Au gauche plus loin d’elle, Ildégarde dans le milieu de s’échapper, risqua une regarde derrière elle.
-Maria ! Appela-t-elle avant de mettre le nouveau cheval de leur famille entre elle et le bandit, avec la hache, qui avait choisi de la poursuivre en place de quereller avec le fermier.
Cherchant pour l’épée de son premier ennemi, Henri sentit un peu de panique l’envahir. Où dans le nom, du dieu du nord était ce maudit morceau d’acier ?
-Auummff. Il entendit le murmure, apercevant du coin de son œil, l’arme dans la main de son sauveur, qui l’offrait le pommeau de l’arme qu’elle venait de ramasser.
Avec difficulté, il éleva l’épée presque complètement au-dessus de sa tête. Juste pour la laisser, tomber vers la terre pour décapiter d’un coup singulière le bandit, agenouiller devant lui. Les cris de celui avec l’œil blessé, disparaissant dedans la forêt.
Figer où il était, Henri vit que le sang commençait à se verser en tant de quantités, d’où il venait de couper le brigand, pour la moitié d’une minute. C’était aussi horrible, que la première fois qu’il vît quelqu’un mourir.
La simple idée que cela puisse lui arriver provoquait une nausée presque insupportable chez lui. Cependant, lorsqu'elle croisait le regard de sa nouvelle amie, une expression mêlée de haine et de satisfaction à la mort du criminel lui donnait des frissons, partant de la base de son dos jusqu'à son crâne, la paralysant brièvement.
Ce n’est pas normal, Pensa-t-il en passant juste pour être, préoccuper par une autre crie de Maria.
Ramassant la hache à côté de lui, le jeune homme ne le réalisait pas le cri qui fût déchiré de sa gorge en ce moment, était plus semblable à celui d’un animal enragé, que celui d’un homme. La rage, la peur de perdre sa famille, tout cela avec tout le sang dans son corps semblait à lui, avoir voyagé à travers sa bouche.
L'homme menaçait sa sœur, la fille qui il criait à plein poumon, le nom de la fille qui était tenu, ayant été jeté brutalement d’un côté pour qu’il puisse avancer vers le souper, de la famille. Il a promis de protéger sa sœur depuis sa naissance tumultueuse, jurant de le faire jusqu'à son dernier souffle. Il ne pouvait pas tolérer ou pardonner à ce brigand pour l’avoir traité de cette manière.
Dans l’instant où il planifiait, déposer la hache dans le crâne, de son ennemie, il sentit ce qui semblait comme une langue de feu, trancher son côté droit. Son propre coup manquant l’homme devant lui, qui l’avait entendu crier à sa sœur. En même temps qu’il faisait cela, le bandit bougeait pour éviter le coup amateur, de son attaquant. Ce qu’il avait fait, c’était quand il détournait expertement, il avait réagi par pointer son épée et fallait, simplement attendre pour qu’Henri saute sur la lame, lui-même.
La douleur et le métal le paralysèrent en place, mettant une fin à sa rage. Il pouvait sentir que le coup n’était pas profond, ça n’a pas frappé des os, de cela il était certain. Cependant la peur et la réalisation, qu’il venait d’être frappé mirent une fin aussi, à son courage et défiance.
-HENRI ! Hurla Ildégarde ses yeux grands et des larmes déjà tombante d’elle.
Reculant un peu, son regard sur l’homme qui l’avait percé avec son épée. Pendant qu’Henri souffrait encore du choc d'avoir été tranché par une lame, le bandit semblait satisfait, sûr de sa sécurité. Les deux hommes, étaient tous deux distrait un battement de cœur, plus tard par comment le feu changea de forme, métamorphosant soudainement à leurs terreurs.
Quelque chose de surprenant qui fit plus peur, aux hommes que des épées ou des haches prenant place. Le feu si ordinaire et petit quelques seconds plus tôt, grandit rapidement pour prendre la forme d’un homme. Et pas juste n’importe quel homme Henri réalisait haletant à cause d’un mélange de douleur et terreur, cet homme était Barthélémy. Le spectre de feu, ne resta pas immobile pendant, que les deux hommes terrifiés haletaient d’horreurs. Il bondit en avant, vers le brigand avec une rapidité stupéfiant.
-Aiiee ! Restez là, non ! Tirant sa lame de l’intérieur d’Henir, il tenta de se défendre contre, le fantôme enflammé sans succès, coupant à travers de, lui juste pour que la lame soit ignorée.
-Non, ne tuez pas Henri ! Criait Maria ne bougeant pas, d’où elle avait ramassé elle-même, ses yeux étant étrangement jusqu’aux pupilles la même couleur, que les flammes.
Est-ce que c’est Maria, qui ait fait cela ? Se demandait le jeune homme blessé confus, ses mains pressées sur la blessure qui commençait à tourner le linge en dessous de ses mains, et alentours de cet endroit écarlate. Tombant à ses genoux, il agit avec autant de certitude qu’il le pouvait, sous ces circonstances, par pressants avec autant de force possible, contre sa blessure.
Apparemment il n’était pas le seul qui réalisait, que c’était Maria, qui était la cause de ce phénomène alarmant. Car le bandit, après avoir jeté lui-même parterre pour éviter les flammes qui sauta vers lui, élevant son arme dans sa direction. Tentant une dernière fois de se défendre futilement. Il fut récompensé pour ses efforts, avec sa chair brûlante et fondant dessous la chaleur des flammes, pendant que son compagnon près d’Ildé regardait, bouche-bée d’horreur.
Réprimant ses sentiments de choque à voir, son père encore, Henri aussi rapidement que possible, ramassa la hache. Il avait seulement une chance, à sauver sa petite sœur, il le savait mieux que n'importe qui d’autre au monde.
Alors avec toutes ses forces, dans son corps avec son bras droit il jeta dans la direction du bandit, vers le milieu de son dos avec la lame.
-Ouf ! Échappèrent des lèvres de lui, si Henri s’attendait à le voir tomber, il était bientôt désappointé avec lui-même. Tournant sa tête, le brigand avait déjà commencé à tourner son corps, son épée tenue haut en l’air encore, le coup le manquant par des centimètres. Tombant par terre près du postérieur du cheval, avec tous ceux présents notant comment mal viser était son coup.
-C’est une démone, était entendu quand les flammes tournèrent leurs attentions pour faire face au dernier bandit effrayé. Qui ayant figé où il était debout, quand les flammes avaient pris la forme du fermier. Incapable d’arracher ses yeux, du spectre de feu, jusqu’à ce moment, il fit la plus intelligente chose à faire, sous les circonstances par ; s’échappant pour la sécurité de la forêt.
Quant à Henri, il se figea le moment où il vît le spectre tourner vers lui. Fasciné et paralysée par l’horreur, le jeune homme, sentit la peur et la culpabilité monter, en lui de son estomac déchirer par l’acier et la nausée.
-Non, tu es mort, je- tu es mort. Souffla-t-il avec autant de force qu’il le pouvait, la sueur couvrant son corps. Sa blessure saignant librement durant ce temps, le vieux regard hautain de son père apportant des larmes, à ses yeux noirs. La monstrueuse image, de son père avança vers lui, pour le punir pour son crime, se dit-il, ayant oublié que c’était une image conjurée par sa sœur. Si horrifié était-il, qu’il essaya en vain, de se protéger des flammes, avec ses mains. Criant et pleurant un peu, le moment où il brûla ses mains.
-Henri, laisse le spectre, tu saignes ! Exclama Ildégarde pointant à sa blessure, se mettant entre lui, et le fantôme.
-Henri va mourir ? Waaaahh ! Pleurait Maria, sautant à cette conclusion, ses mains sur ses yeux, des larmes coulantes le long de son visage.
-Nmmaaggnn, la muette essaya de crier d’une voix rauque, avant de regarder partout pour un bâton. Elle mit un bâton de l'autre côté de la flamme d'où 'Barthélémy' était venu. Quant au spectre, il disparut en ce moment, avec une petite explosion avant de s’effondrer dedans lui-même, pour qu’il n’y ait plus de feu sauf pour celle, du flambeau de la muette.
Son esprit rempli de douleur, son côté blessé et la prise de conscience qu'il avait presque aucune chance de survie. Henri tombant à ses genoux, incapable de faire beaucoup plus autre que de laisser Ildé enlever sa tunique, son regard figé sur la place d’origine du sang. D’un moment à la prochaine, il vit un bâton enflammé l’approcher.
Élevant son regard pour rencontrer celui déterminé de la fille qui l’avait déjà sauvé de deux bandits. Réalisant l’intention de la fille, juste avant que ce fût trop tard, Henri qui sentait sa conscience partir. Soudainement, regagna ses sens grâce au panique et terreur de voir le feu, moins qu’un souffle de loin, de son côté droit.
-Non ! C’étaient les derniers mots qu’il prononça avant que son cri perçant fût entendu pour des kilomètres et partout dans la forêt.
Quelle ironie. De victime de viol à infirmière en un seul pas.
La noble Aude essayant de sauver son héros.
Et que Maria invoque un esprit du feu... génial.
Bonne chapitre