III
-Quoi ? Souffla Guillaume, restant immobile à l'endroit où il se trouvait, sa tunique et ses chaussures étant souillées de sang de cochons, de poules et de chevaux après avoir été pris par surprise.
-Qu’est-ce que tu fais Étienne ? Questionna Michel incrédule, par cet acte de son ami et ce qu’il venait de faire au boucher.
-Je corrige notre problème, Rétorqua Étienne agacer il enleva la lame juste pour la repousser dedans Guillaume qui saignait trop, s’affaiblissant de plus en plus. Deuterie poussant un cri terrifié en même temps qu’Henri à l’horreur d’Aude, se jeta en avant.
Ramassant une des couteaux énormes utilisée pour couper des cochons, le jeune comme était sa nature était perdue à ses émotions. Un rugissement féroce tiré de sa gorge pour que dans la prochaine minute, il trancha le poignet gauche d’Étienne, avant de retirer la lame, pour l'égorger ensuite dans la poitrine, l’assaillant à mort. Voyant ce qu’il avait fait, les villageois étaient sincèrement intimidés par cet homme intimidant.
-Il est fou !
-Coure !
-Meurtre ! Meurtre ! Meurtre !
Les gens alentour d’eux crièrent, horrifié et terrifié par le jeune qui venait d’agir pour protéger son maître, regardant dans leurs yeux, plutôt comme un loup qu’un homme. Sa métamorphose imprévue a pris les serpents par surprise, et même les plus courageux d'entre eux ont vu leur peu de courage disparaître. Courants ici et là dans la nuit sans, regardez derrières eux laissant le corps de leur copain derrière eux. Pendant qu’ils criaient 'meurtres !’, à tous ceux qui pouvaient les entendre, en dépit du fait que c’était eux qui avaient jeté le premier coup.
Avec Guillaume saignant parterre à ses pieds, les cris des autres filles dans ses oreilles et ceux, de la victime d’Henri, qui tomba par terre, saignant à mort lui-même. L’adrénaline oubliée, un moment plus tard, il prit un coup d’œil alentour de lui, comme-ci il venait de se réveiller, cherchant pour quelqu’un d’autre qui menaçait sa famille ou amis. Son regard tombant, au lieu sur son maître saignant et mourant, au droit de lui, à son horreur pendant qu’Aude l’observait bouche-bée. Piégé entre être intimidé par lui et vouloir le remercier pour les avoirs sauvés des villageois qui étaient devenus des brigands.
-Guillaume ! Dit-il paniquant et saisissant le bras de son maître, pour l’aider à ses pieds. C’était un acte futile pour tout deux, puisque Guillaume était en train de perdre trop de sang, trop vite. Il n’était pas encore mort mais il n’y avait aucun espoir, de vivre s’il continuait de perdre tout ce sang, dans l’opinion d’Aude.
-Faite quelque chose, quelqu’un n’importe qui ! Supplia Deuterie à tous ceux alentours d’elle, ayant finalement traversé la distance entre eux.
-‘Térie il n’a pas de chance, il n’y a rien qu’on peut faire. Dit Henri faiblement, regardant comme-ci, il était encore en choc par comment rapidement tout ce déroulait.
-S’il vous plaît, Henri ! Le cri de la jeune femme, fit la décision pour lui.
-Isabel, Ildé aide-moi, Ordonna-t-il poussant Deuterie d’une côté, retrouvant son amour pour son sauveur appelant ses femmes à ses côtes pour l’aider à relever Guillaume et pour déchirer sa tunique de lui. Voyant la blessure et comment grand elle était, il perdit un peu de son espoir. -Il y a une limite à ce qu’on peut bruler pourtant Ildé allume, et donne-moi un flambeau, Isabel aide-moi à panser sa blessure. Et ils se jetèrent dedans leurs tâches appointées, déterminé à sauver Guillaume, après avoir cautérisé sa blessure. Aude, Ildé et Henri utilisèrent la tunique du gros homme pour panser la blessure.
-Deuterie ne perdez pas d’espoir, on va le sauver. Rassura Ildégarde, frottant la derrière de sa main, pour la conforter.
Désespéré, après qu’il avait pansé la blessure, avec l’aide de la jeune fille muette de treize ans, Henri tournerait son attention à nouveau à Deuterie. Réfléchissant rapidement, en même temps que la noble, à quoi faire et comment le sauver, tous deux du même avis, sur qui tourner à, pour de l’aide. -‘Térie, où est-ce que frère Thomas est départi pour ?
-Je ne sais pas, c’est-à-dire que je- Répondit-elle, bafouillant et incapable de trouver des mots.
-Deuterie, concentre-toi ! Où est le temple ou monastère où Thomas s’est départi pour ? Pressa-t-il impatient avec elle et son hésitation verbale, quand la vie de Guillaume coulait au néant avec chaque seconde qui se passait.
Réfléchissante rapidement Deuterie pris une énorme respire avant de répondre, -Il est peut-être allé à la cellule du monastère d’Armand, à l’est d’ici, celui de Tarantin- je ne sais pas pour certains, car il l’a juste mentionné comme une place d’importance, une semaine avant aujourd’hui.
Comment saura-t-elle cela ? Et Thomas est départi une semaine plus tôt, Songea Aude soupçonneuse, confus par cette révélation où les paysans alentour d’elle ne payaient pas attention à ce détail.
-Bon, si c’est le cas ; on part immédiatement pour Tarantin. Décida Henri réfléchissant presque visiblement, tournant vers les filles, il ordonna. Va retrouver Maria, Ildé. Deuterie prépare le chariot de ton père, Isabel et moi allons le remplir avec du foin et s'occuper de la préparation de la nourriture pour le voyage.
Hochant leurs têtes, aucunes d’entre elles ne remirent en question ses ordres, chacun paniquant et se satisfaisant d'avoir quelque chose à faire, n'importe quoi d’utile pour sauver l’homme blessé. Si vite bougeraient-elles, qu’ils étaient prêts à partir dedans l’heure, pendant que les autres villageois étaient encore en train de décider que faire.
Il n’y avait aucun autre clerc ou personne prêt à les aider avec Guillaume. La plupart des villageois, prétendaient n’avoir rien vu, remarqua-t-il une fois que le chariot fût prêt. Par le temps, qu’ils furent prêts à partir il y restait seulement à attendre pour Ildégarde. Henri était impatient d'envoyer Isabel pour les retrouver quand il les vit revenir avec l'enfant du milieu de Barthélémy, habillé d'une nouvelle jupe. Pendant que Maria, avait une joue écarlate et lançait des éclairs avec ses yeux vers sa grande sœur. Les deux étaient suivis par quelques enfants qui riaient et jetaient de la boue et besogne de parterre après la fille aînée, qui portait une différente jupe que plus tôt.
-Qu’est-ce que vous faites, vous là ! Mugit-il le moment qu’il vît les autres enfants poursuivant, ses petites sœurs, en particulière Ildégarde qui était visiblement humiliée. Les enfants étaient pour réagir par l’ignorant, juste pour qu’il ramasse une roche, visant et le jetant vers un enfant qui hurla le moment, qu’elle le cogna dans l’épaule. Va-t’en petits vauriens !
-Laisse les Henri, Supplia Maria, tout à coup gagnant des larmes dans ses yeux, Elle m’a pris tout à coup, me faisant mal et me giflant et insistant que-
-Je t’ai dit d’aller la chercher, et non pour la faire mal, Grogna-t-il n’attendant pas pour entendre le reste, avant de tourner sur la fille de treize ans.
Le visage de la fille aînée de Barthélémy était aussi horrifié que furieuse, -Comment peux-tu prendre son côté sans m’écouter ? C’est elle qui a convaincu ses amis pour jeter de la merde sur moi, et déchirer ma jupe !
-Menteuse ! Accusa Maria aussitôt.
Perdant patience avec elles, puisqu’il était certain qu’il ne pourrait jamais arriver à la vérité entre elles. -Silence, et précipitez-vous au chariot, on part pour l’Est maintenant, est-ce clair ?
-Oui, Grommela Ildégarde, pendant que la fillette la donnait un sourire victorieux, qu’il choisit d’ignorer, préférant ne pas adresser. Ce n’aiderait personne en ce moment, de rouvrir l’argument entre eux.
Remontant sur le chariot lui-même, il était gratifié que Guillaume avait un bœuf, déjà prêt et en bonne santé, avec l’idée d’utiliser l’animal pour une tour du nord de Norstrieux. Pour vendre de la viande, au prochain grand festival, celui de Zackarie le demi-dieu fils de Ziu célébré à Varviens. Au derrière du chariot, les filles sauf pour Isabel aidaient à prendre soin de le boucher blessé, ou garder Deuterie calme. La seule à s’asseoir à côté de lui étant Isabel qui le regardait d’un œil désapprouvant, le laissant savoir ce qu’elle pensait de comment il avait résolu l’argument. La jetant un regard agacé, il choisit de l’ignorer pour les prochaines heures, se convainquant qu’elle ne comprenait pas ce que se signifiait falloir maintenir l’ordre et discipline entre deux filles obstinées. En plus de cela, comme l’aînée Ildégarde était la plus forte et féroce, et d’abord la plus capable de faire du mal, que la petite fillette qui était vulnérable par nature dans son avis. Tous les membres de leur famille et groupe de voyageurs, se calmeraient seulement après des heures de voyage sans événement, aucuns d’entre eux payant attention à leur départ aux villageois. S’ils avaient fait cela, ils auront remarqué le fait qu’il y avait plus qu’un regard noir les suivants. Pas qu’ils avaient beaucoup de raison à payer attention, à leurs alentours considérant que le prochain évènement pris place seulement une fois que la noirceur de nuit était tombée. Par ce temps, ils entendirent des cris, en plus du son de multiples pieds en arrière d’eux.
Surpris mais payant peu d’attention à cet évènement puisqu’il y avait deux autres familles qui les avaient dépassés deux heures plus tôt, sur la route principale pour l’Est.
Alors c’était avec immense alarme qu’Isabel risquerait un coup d’œil derrière eux, juste pour trouver un Ogre avec une boîte et des sacs sur ses épaules gigantesques courant vers eux. Ayant vu seulement une ou deux Ogres, dans le passé elle était prise par une sensation de panique. Alors elle fit la première chose que son être la poussait à faire instinctivement ; crier. Ce qui causa tout le monde à sursauter et pour Henri à la regarder d'une manière confuse, avec la muette pointant derrière eux.
Les Ogres étaient originalement du royaume de Korax, un royaume au sud de la péninsule d’Hyspanie, en Agénor-du-sud. Avec leur pays envahis par des Mardukiens et Elfes-Noirs, durant les Guerres de Noirceur, des siècles plus tôt. Pas que les Ogres seraient du tout intéressés d'aider les gens d’Hyspanie, puisqu’ils étaient eux aussi des ennemis de la foi de Quirinas. Étant des croyants en une différente foi, une qui incluait de la noirceur et une étrange déesse de guerre, gouvernant au-dessus des douzaines de dieux et déesses de guerres, en plus d’un énorme panthéon de dieux.
Suivant après eux, l’Ogre était costaud avec un flambeau en main, et courait un peu avec deux enfants derrière lui. Une certaine urgence sur sa face, pendant qu’il les poursuivit l’urgence se transforma lentement en le soulagement une fois qu’il les vit.
-Pourquoi est-il ici ? Cria Ildégarde à son frère qui haussant ses épaules, tentant de pousser le bœuf en avant davantage. Cependant, c’était trop tard ; car l’Ogre, avait déjà rattrapé à eux.
-Arrêter ! Appelait-il au groupe d’humains, d’un ton désespéré. J’essaye de vous aider imbéciles !
L’insulte servait à irriter Henri, qui perdit espoir, en échapper les non-humains à cause de la lenteur, de l’animal, épuisé. Derrière lui ses enfants, haletaient et le suivaient aussi bien qu’ils le pouvaient. Un garçon et une fille, tous deux habillés en le style Norençienne, avec leur linge déchiré et sales en certaines places, preuves de combien ils jouaient et travaillaient.
-Pourquoi es-tu ici Ogre ? Demanda-t-il une fois que le non-humain avait rattrapé, haletant à côté de lui pendant que ses enfants venaient à une halte un peu derrière lui.
-Des hommes du village planifient, faire quelque chose de néfaste à vous, Expliqua l’autre homme une fois qu’il avait regagné son souffle.
-Qu’est-ce que tu parles de ? On ne les a rien faites monstre ! Hurla Deuterie, sa face grimaçant pour former un masque de haine jeté contre leur poursuiveur. Sa haine surprise Isabel autant qu’Henri, qui incertain de comment interprété sa réaction.
-Oui mais, ton maître as ordonné à cet idiot de me payer alors tu les as insultés, en plus de cela, ils ne sont pas certains qu’il est mort. Répondit-il fermement sans donner un centimètre à cause du ton furieux des humains.
-Cela n’était pas fait pour toi mais pour les autres marchands et pour le commerce, Rétorqua la fille, avec l’étranger haussant ses épaules pendant que ses enfants rattrapaient finalement à lui.
-Papa pas si vite, Plaignit le garçon plié en avant, essouffler et rouge ou plutôt jaune dans son cas, dans la face par l’effort de se rattraper à son père qui sourit à ses jeunes embarrassés.
-Je le sais vous deux, pourtant ils vont quand même t’attaquer, Expliqua-t-il, changeant son attention de son fils à eux mi-phrase. -Moi, je vais partir pour trouver d’autre travail, dans le Sud de Norstrieux.
-Pourquoi as-tu chassé après nous pour nous prévenir de cela ? Demanda Henri fasciné et confus, se méritant un sourire qui démontrait des énormes dents qui aurait pu peut-être croquer ses doigts sans efforts. Désormais, ce sourire n’était pas aussi effrayant qu’il aurait, autrement penser, au contraire elle le semblait chaleureuse.
-Ton maître m’a sauvé, peu importent ses raisons, j’ai une dette envers lui. Rétorqua-t-il simplement.
Sans un autre mot à eux, l’Ogre partit. Rempli d’amertume, il détestait à ce moment ceux qui les poursuivaient, tu ne verrais jamais lui ou sa famille chasser après quelqu’un pour les tués. Pas pour une raison aussi bête que pour les punir pour avoir défendu un autre.
-Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? Questionna-t-il curieux.
-On devrait chasser après ce monstre et l’offrir aux villageois, si juste pour les convaincre de laisser mon père tranquille ! Grogna Deuterie passionnément, crachant parterre où l’Ogre, avait été debout pendant qu’il parlait avec eux, juste deux minutes plus tôt.
-Et les enfants ? Demanda Ildégarde tremblante de peur, de l’autre fille, pas que la noble pouvait la blâmer, puisqu’en ce moment elle, le terrifiait.
-On est juste quelques femmes, et un homme alors on n’aurait aucune chance de le prendre dans une bataille. Dit-il sans force, ou joie, ou même énergie. Il voulait plus que tout autre en ce moment, éviter une querelle avec elle, particulièrement puisqu’il était plus qu’un peu gratifier envers le non-humain. Il avait agi avec considérable courage, pour les prévenir de ce qui pourrait arriver à eux.
*****
Pour le reste de la nuit ils voyagèrent durant la nuit avec Henri donnant les rênes éventuellement à Isabel, pour dormir lui-même. Ensuite, il les reprit après quelques heures, avec le voyage pour le monastère allant en cette façon, pour presque deux jours et deux nuits. Comme elle était presque complètement au milieu de Norstrieux, ils comptaient presque entièrement sur Deuterie pour les dirigés, et voyageaient vers l’est, durant la majorité de ce temps.
À l’entour du boucher inconscient, étaient Ildégarde et Deuterie, avec Isabel assise à la droite d’Henri. Sa présence calme et féminine un confort pour lui, puisqu’elle le faisait rappeler ses sœurs, quand elles étaient paisibles, et pas dans le milieu de vouloir étrangler une et l’autre. Leur querelle de plus tôt du village, continuant pour l’entièreté du voyage.
Incertain par ce temps, si Guillaume allait survivre, ou s’ils avaient dépassé le monastère en question, Henri était presque prêt à tourner vers le nord pour y trouver un à Ziu.
-Où est-ce monastère ? Demanda Ildégarde après des heures, ses yeux sur le boucher qui respirait à peine.
-Je- il devrait être ici ! Dit Deuterie en retour, un peu de panique dans sa voix.
La regardant comme-ci elle était un peu folle, l’apprenti était alarmé par comment choqué elle était, ce qui le surprit le plus était la nature de sa panique. Elle parlait, comme-ci elle s’attendait pour qu’il ait quelqu’un qui les attendait, au lieu de chercher pour le monastère.
-Qui ? Ce foie c’était Maria, qui semblait aussi mystifiée que le reste d’eux, sauf pour Isabel, qui donnait la fille du boucher une regarde dur et soupçonneuse, qui agaçait l’apprenti. Ce n’était pas sa faute, se dit-il bannissant sa première réaction envers la panique de la fille de Guillaume.
-Frère Thomas ! C’était lui qui m’avait donné les directions, Gronda-t-elle en retours, encore saisit par la panique.
Il ne savait pas quoi la dire, ni quoi pensé lui-même. Encore nerveux, à être dans la compagnie du douvard aux cheveux noirs qui ressemblait tant à un loup noir. Il ne savait pas s’il devrait, être soulagé ou déçu à ne pas avoir rencontré avec lui. Il allait dire quelque chose, quoi exactement il ne le savait pas, seulement qu’il voulait la calmer. Ou peut-être la demander, pour des directions plus précises, quand une voix pénétra le matin.
-Un peu de patience, Grogna cette voix hors d’haleine, soupirant un peu. Retournant son attention à la route devant eux, Henri était ébahi à découvrir, précipitant vers eux avec les jupes de sa robe élevée, était Thomas de Daupine.
Réagissant avant les autres, elle se précipita à supplier avec lui, -Aide mon père, frère Thomas. Il a été poignardé, et a besoin de tes pouvoirs de guérisons.
Circulant alentours du chariot, pour la regarder dans l’œil, avec une expression grave. Le fils du moulin de Daupine, répondit franchement, -Il n’y a rien que je peux faire pour lui, moi-même.
-Quoi ? Mais tu as guéris Henri, avec de la magie- Dit Ildégarde, ne comprenant pas pourquoi, comme le reste d’entre eux, pourquoi il ne pouvait pas aider Guillaume.
-Attention, jeune fille ce que tu dises est une insulte contre les dieux ! Tous savent que ce n’est pas de la magie, mais un miracle accompli avec la bénédiction de la Déesse Dorée. Coupa-t-il.
-Alors fait-le encore. Dit Maria à son tour.
-Je ne peux pas.
-Pourquoi pas ? Demanda Henri frustrer.
-Parce que nous les suivants des dieux, peuvent seulement guérir une personne par année. C’est une des règles passées par les dieux. Rétorqua-t-il, haussant ses épaules pour démontrer qu’il ne comprenait pas pourquoi, il y aurait une telle limitation sur ses pouvoirs.
-Donc tu vas l’abandonner ? Tu ne peux pas faire cela ! Protesta-t-il désespéré, et en proie au panique lui-aussi.
Le regard sombre que le douvard lui lança était tellement en colère, tellement agacé qu'il retint ses paroles et sentit son cœur se serrer de peur. -Je n’ai aucune intention de faire une telle chose, imbécile. Il y a tout un monastère rempli de moine derrière moi, qui puisse l’aider.
-D’abord qu’est-ce qu’on attend pour ? Demanda Ildé impatiente, tournant vers Henri pour le presser en avant. Il est déjà très pâle, et n’a pas beaucoup de temps de reste, je pense.
Secouant les rênes, puisqu’il n’avait pas besoin qu’elle se répète, il ne gaspilla plus de temps à pousser l’animal en avant, à sa vitesse maximum. Dans le milieu d’une forêt, depuis un jour passé, il se considérait chanceux qu’il n’y avait pas eu d’attaque par des brigands. Le jeune homme pensait avoir entendu le bruit de la rive, même s'il n'y avait pas vraiment prêté beaucoup d'attention, étant donné qu'il était soucieux pour son maître.
Alors, par le temps qu’ils arrivèrent à l’éclairer où le monastère était, il sentit son cœur presque s’arrêter à cause, du soulagement.
Le monastère était divisé en quatre bâtisses de bois ; le temple avec son toit pointu, qui était presque quinze mètres de haut en une forme presque rectangulaire (similaire à ceux de Ziu, sauf ceux-là regardait toujours plutôt comme des forteresses), pendant qu’au gauche d’elle était une plus modeste bâtisse. Un qui était plus long, et allait du côté du temple presque jusqu’à la forêt, étant à peine neuf mètres de haut. Quant aux deux autres, un était fait de bois, et presser contre celui qu’il devina était, où les moines restaient et dormait d’habitude. Celui-ci avait du foin à l’intérieur, et était sans porte, en dépit d’être placé presque entre le temple le deuxième qui captura son attention. Bien entendu, il s'agissait d'une écurie, tandis que le bâtiment à droite était plus petit que les trois autres (celui-ci, ils découvrirent plus tard, était la crypte).
-Attends ici, je vais aller voir si Jules ou Pépin sont présents. Ordonna Thomas, partant pour l’intérieur du temple d’un pas déterminé, les laissant à l’attendre dehors.
Une fois que le chariot, venir à une halte Henri était pour débatter l’écouter, donc il resta là pour deux minutes avant de soupirer et sauter par terre. Les filles le suivirent avec leurs yeux pour un bref moment, sans dire un mot. Ayant foi en lui, pour rapporter Thomas et prendre soin de la situation.
Marchant vers le temple, où il soupçonnait que les moines étaient probablement dans le milieu de prier. Il arrêterait le moment du coin de son œil, il croyait avoir vu une figure habiller en brun, qui venait de se précipiter à l’intérieur de la porte à la bâtisse au gauche.
Réfléchissant brièvement, il choisirait d’y aller pour le temple après Thomas, en place de chassé après l’ombre d’un étranger. Tout pendant, qu’il se demandait qui et pourquoi un monastère dévoué à une déesse du sud avait été fondé en un comté, qui était dans la majorité des cas fidèle au dieu de guerre. Mettant sa main sur la porte pour l’ouvrir, il était bientôt surpris par l’arrivée d’un autre moine, de la bâtisse à gauche. Celui-ci marchant avec des seaux en main, avec une expression irriter et parlant à quelqu’un derrière lui.
-Un moment, Arthur ! J’y vais, Ajoutant dessous son souffle, Gros bébé. Son attention était présentement fixée sur le nouvel arrivé, Ah, il y’a quelqu’un. Pardonne-moi, je ne m’attendais pas à voir quelqu’un ici.
-Tu dois nous aider, nous avons quelqu’un de blesser, et ont besoin de vos pouvoirs ou du moins d’un physicien pour- Précipita-t-il à dire, juste pour que le moine, qui avait le centre du sommet de sa tête rasé, en un style qu’il n’était pas familier avec, les moines de Ziu rasait après tout, toutes leurs têtes. Quant à ce moine, il avait une face bien lignée, un physique maigre et une robe brune l’interrompent.
-Calme, mon fils. Je suis frère Marellus de Tarantin, Marellus s’introduisit, aimablement. Et toi ?
-Je suis Henri de Partriche, un-ben ce n’est pas important, je suis venu pour que quelqu’un puisse sauver mon maître, Guillaume. Pourtant, Thomas a disparu à l’intérieur à la recherche de quelqu’un pour faire exactement cela.
Son explication prise Marellus par surprise, -Tu connais l’Abbé ? Et moi qui pensais, qu’il était dans le Nord parmi ses autres abbayes et temples. Dans ce cas, va chercher ton maître et je vais chercher mes frères.
-Oui, frère Marellus ! Acquiesça Henri tournant pour courir vers sa sœur réjouissant dans la connaissance que son maître survivrait.
À ce moment, il croyait en l’espoir pour la première fois dans ce qui le semblait comme une éternité. Une fois qu’il était devant les filles et la chariote, il leur informa à plein poumon. -Ildé, ‘Térie il y a de l’espoir ! Il y a des moines ici, qui peuvent aider Guillaume !
Ses nouvelles étaient reçues par Ildégarde et Deuterie qui sourires soulagés celui de la fille de le boucher causant son cœur à sauter et battre plus fort qu’auparavant. Cela durer jusqu’à ce qu’il réalisât qu’Isabel et Maria avaient disparu de là, pendant qu’il avait été préoccupé avec retrouver Thomas.
-Où est-ce que les deux autres ont disparu ? Interrogea-t-il, son cœur tombant de sa poitrine à ses pieds, à la pensée de sa sœur la plus jeune quelque part sans supervision.
-Quelque part, Maria voulait voir alentour du temple et a convaincu Isabel à l’apporter de le voir, Expliqua Ildégarde aidant l’autre à lever le plus vieil homme de la charte, avec apparente difficulté.
-Quoi ?! Hurla Henri résistant la tentation de l’étrangler pour sa négligence des deux autres filles.
-Je vais admettre que c’était stupide pour notre part, alors est-ce que tu pourrais dans le nom de tout ce qui est sacré sous la protection du roi des dieux. Henri, nous aidez à transporter mon père ! Explosa Deuterie, perdant contrôle de sa colère envers les deux embarrassés. Le frère bougeant alentour du chariot, pour aider à enlever le boucher gras, par prenant les pieds en ses mains, pendant que sa sœur prenant un bras en main. Et l’autre fille était pour le prendre par le bras gauche.
Frère et sœur bougèrent immédiatement en avant pour l’aider à ramasser et amener l’homme d’âge de milieu, pendant que Marellus ouvrir la porte au temple, et les signalait à le suivre.
-D'accord, mais après, on-oouufff- aller chercher pour elles ! Dit Henri coupant sa propre parole quand il avait laissé échapper un sifflement de souffle quand il prit Guillaume par son corps supérieur pour le supporter.
-Je-euf-le sais ! Grogna Ildégarde en retour, ayant autant de difficultés que lui, à porter le gros homme à l’intérieur du temple. Les portes déjà ouvertes grâce à Deuterie qui pleurait ouvertement, tout à coup, les précipitant vers la bâtisse.
-Précipitez-vous, il saigne-saigne encore ! Les pressait la fille hystérique, son cœur brisant dans ses yeux, d’après Henri pouvait voir au-dessus de la tête d’Ildé.
Ce qui le surpris une fois à l’intérieur du temple, était comment grand ce l’était. Il y avait deux rangées de bancs de bois pourris et trop vieux pour être proprement assis dessus, menant à une statue derrière l’autel. Qui était élevée et faite de marbre, avec un linge rouge vieux et perdant sa couleur, jeté au-dessus d’elle, devant la statue de bois d’une déesse qu’Henri ne reconnaissait pas. Avec une balance dans une main, et une épée dans l’autre, elle semblait vaguement importante. Devant l'autel, il y avait presque une douzaine de moines, beaucoup plus de moines qu’Henri s’attendait à trouver, ici considérant la taille du monastère, et comment vieillissante elle semblait. Parmi leurs nombres, dans le milieu de discuter avec deux moines, notablement un vieillard et un homme peut-être une quinzaine d’années plus vieil qu’Henri, lui-même. Tous deux ayant des têtes rasées dans le même style que Marellus.
-Voilà, Frère Thomas, allez-vous l’aider ? Dit-il au-dessus de son épaule, s’adressant au clerc, qu’il était familier avec, Guillaume balancé avec quelque difficulté en ses bras.
-Oui, alors si vous pourrez nous laisser tous seuls avec le boucher, on pourrait commencer à le sauver. Dit l’homme entre le vieillard et Thomas, un homme robé avec son capet élevé au-dessus de sa tête.
La première des deux à réaliser que Deuterie n’avait pas bouger, était Ildégarde. Préoccupé par son inquiétude à propos de Maria et Isabel et de leurs sécurités, il le prit quelques secondes de plus.
-Henri, Deuterie ! Murmura Ildégarde à lui, hochant sa tête dans la direction de l’autre fille, une fois qu’elle avait venu à une arrête, prenant son bras, pour l’empêcher d’ouvrir la porte.
-Quoi ? Ah, je vois. Dit-il, sa voix à peine un soupir, embarrassé qu’il avait complètement oublié l’orpheline potentielle dans son propre moment de terreur pour sa propre famille. Um, ‘Térie qu’est-ce que tu fais ?
-Je-je ne peux pas le laisser tout seul, Répondit-elle sans tourner pour les faire face ses épaules tremblantes, la faisant sembler si petites qu’elle tirait directement, au cœur d’Henri. Devant-elle les moines avaient commencé à dérober le corps pour l’examiner échangeant des murmures entre eux.
-Tout serait correct, on ferait ce qu’on peut pour lui, Rassura l’homme à côté de Thomas, son ton aussi gentil que Guillaume l’était.
Rassurer lui-aussi, le fermier hochant sa tête choisit de tirer la jeune fille de là, ce qui la causa à tenter de se tirer de lui. Une série de ‘non !’ sortant de sa bouche, une fois que la porte fut fermement fermée derrière lui, il devint exaspéré. Sachant, qu’il fallait retrouver son autre sœur, et la muette.
- Ildé reste avec elle, je vais aller chercher Maria et- Disait Henri tenant la fille de Guillaume dans ses bras, juste pour entendre une crie étrangler qui froidit le sang dans ses veines. C’était si terrifié qu’elle n’était presque pas reconnaissable, même à ses oreilles. Dans un battement singulier de son cœur, il ne tenait plus Deuterie, et était entre la crypte et le temple plus rapide dans ses mouvements que Mercure lui-même. ISABEL !
Son cœur dans ses oreilles, sang glacé et vision rougissant le plus proche qu’il venait au cries des filles. Sautant au-dessus d’une partie démolie d’une ancienne muraille en arrière du monastère, ramassant un bâton pendant qu’il courrait dedans la forêt derrière le petit temple. Quand une autre crie fut relâcher, cette fois Henri reconnaissait la voie de sa plus jeune sœur.
-Maria ! Cria-t-il paniqué, par cette crie de sa sœur innocente, doublant la vitesse de ses jambes ne voulant pas les laissez seules avec leurs assaillants pour un seul moment de plus. Sautant à nouveau, cette fois au-dessus d’une des branches. Juste pour éviter des arbres et branches pour quelques d’autres secondes avant, qu’il arriva devant une rivière ou lac, qu’il n’avait pas sût était là, auparavant. Où il trouverait les filles, devant la rivière avec une main, sortant de la rivière avec une tête chevelue noire, des yeux frénétiques et noirs, concentrés sur les filles. Sa main, ayant saisi et ne lâchant pas le pied de minuscule Isabel.
Soudaine et surprenante même pour lui, c’était la rage qui l’envahit à la vision d’Isabel saisie par un autre homme. Le fait qu’il pourrait la tirer dedans le corps d’eau, s’il le voudrait noter seulement dans le prochain battement de cœur. Voyant presque juste la couleur rouge, Henri sautant en avant ses mains, allant pour celle de l’homme, abandonnant le bâton qu’il avait ramassé en route, au secours des filles. L’homme, qui forçait centimètre par centimètre Isabel, vers la rivière, aussi paniqué dans la face que la jeune fille qui paniquait visiblement, avec ses bras alentours d’un arbre, pas que ce l’aidait du tout.
-Lâche-la, meurtrier ! Hurla Henri à l’homme la menaçant.
-Non, je-bllulb-était la réponse qu’il reçut quand il avait mis ses mains alentours du poignet du homme et de la cheville de l’adolescente et commençait de la tirer de lui, travaillant aussi fortement que ses muscles pouvaient aller dans cette direction.
-Ung agh ! Isabel comme toujours essayait de parler et faillit de faire cela, mais il semblait à son sauveur qu’elle plaidait pour de l’aide. Comptant sur sa rage, à ce moment il sentit, quand la main relâchait la cheville, la satisfaction évidente d’Isabel, qui était saine et sauve.
-Sauve-moi ! Cria l’homme en métal à eux, pleurant et battant pour ne pas se noyer.
Surpris et ne comprenant pas ce qui venait d’arriver avant que c’était trop tard pour lui, Henri avait juste commencé à se sentir soulagé et à se féliciter d’avoir sauvé Isabel. Quand la sensation des doigts alentours de son poignet le prit par surprise.
-Henri ! Exclama Maria qui jusqu’à maintenant s’était concentrée sur battre pour garder Isabel de tomber dessous l’eau de la rivière. Sautant en avant pour essayer d’aider le boucher, de tomber lui-même dedans la rivière.
Plantant ses pieds dans la terre et son autre main sur le poignet de l’autre homme qui avait sa tête dessous la surface de l’eau, des bulles d’eau flottait au-dessus d’où sa tête y était. Grognant et grinçant ses dents contre un et l’autre, de la sueur tombant comme de la pluie de sa peau et de son visage. Essayant de tirer sa main de l’homme dans l’eau ne lui fit aucun bien, alors il choisit d’utiliser toute la force dans son corps et la rage dans son cœur, pour le sauver, une prière échappant de ses lèvres.
-Ô Ziu de l’aide, Ziu ! Ziu, plus tard, il se convaincrait que c’était une terrible prière, pourtant, à ce moment, il le semblait comme le meilleur qu’il pouvait faire.
-Anhgh ! Grogna Isabel entourant la taille d’Henri avec ses bras pour mettre toute son aide et son poids derrière lui.
C’était lent, au début il croyait sincèrement qu’il allait tomber dedans la rivière lui-aussi, sentant comme-ci ses bras allaient tomber de ses épaules. La situation commença à changer, ses yeux fermés forcément, des larmes de douleurs tombantes d’eux. Ce changea encore une fois qu’il reculerait centimètre par centimètre, jusqu’à ce qu’il rouvrît ses yeux.
Ce qu’il trouverait devant lui était un homme en armure, le causant à se demander s’il voyait correctement ou s’il imaginait l’homme à moitié dans l’eau et sur l’herbe devant lui.
Haletant, Henri tomba de ses pieds sur son derrière, épuisé et abattu par ses efforts de se sauver et sans avoir pensé sauver cet homme, qui était inconscient à ses pieds.
- Henri ? Es-tu bien ? Le demandait Maria touchant son épaule doucement, la gagnante une regarde fatigue, jetant au-dessus de l’épaule mentionnée, sa face rouge et ses poumons brûlants.
-Je-euhf-ouf-bien, Gémit-il, finalement rattrapant son souffle après une longue minute d’haleter comme-ci il allait mourir n’importe quand, dans les prochaines secondes. Il sursauta quand il sentit une main sur la sienne, élevant son regard de l’homme à ses pieds, de la main sur le sien, pour trouver les yeux d’Isabel, qui lui donnait un regard soucieux.
Elle bougea son regard de ses yeux à l’homme devant lui, l’expression sur son visage douce changeante d’une expression de compassion à une de haine. Enlevant sa main de celle d’Henri, Maria suivit avec son regard. Le moment de paix, inspiré par sa main contre le sien, et le feu de joie créé quand leurs regards avaient croisé, s’épartant de lui, laissant derrière elle une flamme d’incertitude.
Penchant devant le guerrier, elle chercha sa ceinture avec ses yeux, avant d’abandonner sa recherche pour une arme. Se penchant en avant de l’autre homme, pour un bref moment, elle ne fit rien, juste pour, tout à coup, commencer à étrangler l’homme inconscient.
-Isabel ! Arrête ! Qu’est-ce que tu fais ? Hurla-t-il, surprise, n’ayant pas prédit qu’elle ferait une telle chose.
-Aaaaaahhhhh! Cria-t-elle à plein poumon, alors Henri, sautant à ses pieds, battit pour pouvoir la tirer du guerrier qui avait venu si proche de se noyer.
-Lâche-le ! Ordonna-t-il fermement à son amie.
Dans un effort de séparer Isabel, ce deviendrait une guerre pour la distancer du guerrier. La conclusion de cette ‘guerre’, leurs danses finirait avec l’homme qui gagnerait, en dépit de comment ses bras brûlaient à cause de l’effort de sauver le chevalier et elle. Succédant dans son but d’enlever Isabel de sa victime potentielle. Qui toussait, crachait de l’eau à côté de lui, tournant sa tête pendant qu’il crachait, mais autrement restant inconscient.
-C’était quoi ça ? Siffla Henri d’entre ses dents, une fois qu’il avait rattrapé son souffle d’où elle avait échappé.
-Ungrvrr ! Grogna Isabel remplie de rage, secoua son corps pour le déloger et ses bras l’entourèrent d’elle, lui jetant un œil venimeux qui la terrifiait. Personne dans toute sa vie n’avait jamais lancé un tel regard, rempli avec de la fureur et de la haine, pas même son ancienne femme. Si terrifié et surpris était-il qu’il la relâcha instinctivement, ses bras allant de sa taille où il l’avait saisi à ses côtes bouche-bée.
Libre maintenant, la jeune fille enfouit aussitôt le laissant tout seul avec une petite fille, un homme possiblement mourant, et des bras qui brûlaient comme s’ils étaient véritablement en feu, au lieu de trop torturer pour une journée.
-Qu’est-ce qu’on fait maintenant, on l’aide ? Questionna Maria, incertaine, n’ayant pas vu le regard meurtrier de la courte fille aux cheveux rouges, qui les avait abandonnés là.
Soupirant, son grand frère la lançait un regard sans énergie et sans joie. Tournant vers l’homme de guerre, il commença à chercher pour un couteau ou une lame. N’importe quoi pour l’aider à couper et enlever la cuirasse de l’homme qu’il venait de sauver.
Trouvant un couteau minuscule sur la ceinture du guerrier, poussant son soulagement et sa joie de côté, pour se concentrer sur la tâche devant lui. Une fois l’armure enlevée (ce qui le prit une bonne dix minute à figurer comment faire), il le jetterait dans la rive, n’ayant aucune utilité et étant incapable de tout amener sans risque de les perdre. Du moins, c’est ce qu’il se dit une fois qu’il avait ramassé l’homme jeté au-dessus de son épaule droite. Ses épaules et ses bras criant contre cet acte, d’une façon ou d’une autre, il réussit à marcher en avant, même s’il avait le sens que son bras était presque aussi mort que ses parents.
-Es-tu bien ? Demanda-t-elle, inquiète pour lui et marchant en avant de lui de reculons, pour l’observer proprement, pendant qu’il avançait.
-Oui, Siffla-t-il d’entre ses dents, se demandant pourquoi il fallait qu’il transporte un autant grand nombre de gens ou d’hommes aussi pesant que Guillaume et cet homme aujourd’hui.
-Tu ne regardes pas si bien à moi, Rétorqua-t-elle soucieuse, ne payant pas d’attention à où elle reculait.
-Regarde où tu marches, Maria. La recommanda-t-il, avant qu’il vienne à une halte pour rattraper son souffle.
-Je regarde où, je-iaaah ! Murmura la petite fille défiante, trébuchant sur une racine et en tombant sur la racine d’un arbre, et en tombant sur son derrière. Waaaaaahh !
Les larmes commencèrent à tomber de sa face à cause de sa douleur, son frère soupirant à sa gaffe. La jeune fille pouvait être maladroite, cependant il n’avait pas exactement l’habileté en ce moment pour être patient envers elle.
-Lève-toi, j’aimerais retourner au monastère avant qu’Isabel fasse quelque chose comme nous abandonner. S’il le pouvait, Henri aurait retiré ses mots aussitôt, puisque souffler ses mots était une erreur de la plus grande magnitude.
-Mais- !
-D’accord, soupira-t-il une deuxième fois, défait par les larmes de l’enfant déposant l’homme qu’il transportait. Il la prit dans ses bras impatients, détestant la voir en larme à cause de la douleur. Chuuuut, c’est correct, tout va aller bien, ma chère, ne t’inquiète pas.
Et encore, elle continuait à pleurer avec Henri, courant sa main droite à travers ses cheveux pendant que sa main gauche frottait le derrière de son dos minuscule. Il ne savait pas comment longtemps ils restèrent comme cela, éventuellement, le moment était fini, lentement, plus lent qu’une tortue hors de l’eau, dans son opinion.
-Est-ce que tu te sens mieux ? Questionna-t-il, son ton exaspéré et douceur mélangés ensemble, la fille interloquée reniflant son nez et hochant sa tête.
-Oui, Henri ne l’entendit presque pas, sa voix étant si douce et silencieuse.
-Quoi ? Hein ? Je ne peux pas t’entendre, Demanda-t-il, persistant dans son aventure, pour un sourire d’elle, un sourire qui combinait les meilleures parties de gratitude et de joie en un.
-Oui, un-hunnh, répondit-il finalement, transformant son visage en celle qui l’avait gagné tant d’amie et d’affection de sa famille dans le passé.
-Prête pour continuer ?
-Oui.
-Et qu’est-ce que tu vas faire ?
-Regarde où je marche, Rétorqua l’enfant un peu embarrassé et un peu heureux, même si sa derrière faisait probablement encore mal, dans l’opinion de son grand-frère.
-Bon, déclara-t-il, ramassant à nouveau l’autre homme, pour continuer en avant pour le temple avec Maria suivant derrière lui.
Il prit presque une heure de faire leurs retours au monastère, personne ne les attendait. Balançant son ‘bagage excessive’ d’un seul bras, Henri était positivement surpris de découvrir que les autres filles n’était pas devant la porte. Ce qui le surprit davantage était comment, Maria voyant son manque de confort et de difficulté avec l’homme occupant son épaule brûlant de douleur et de fatigue, ouvrit la porte pour lui.
Jetant un regard gratifié, son épaule le tuant, il croisa l’ouverture pour une fois à l’intérieur, laissant le deuxième homme qu’il fallait transporter dans ses bras ce jour tomber sur un banc. Notant que les moines n’étaient plus présents, ayant partis pour laisser les filles toutes seules et Guillaume sur l’autel, où il était originalement déposé. Plus loin, près de l’autel, était Isabel avec son dos à eux, quelque distance à gauche où elle était debout étaient les deux autres filles. À côté de ‘Térie était Ildégarde avec ses bras entouré d’elle, c’était elle qui vit sa famille première.
-Henri, nous avons un problème, viens ici. Fit Ildé d’une voix rauque à cause des larmes qui menaçaient de sortir.
-C’est quoi le problème ? Demanda-t-il la rejoignant, observant d’une expression surprise.
-Ils ne sont pas capables de le sauver sans l’aide de la Déesse. Expliqua-t-elle avalante d’une façon malheureuse, on doit prier qu’elle accepte nos offrandes et supplications.
Ils prièrent pour un peu plus long, même Henri offrant des supplications ses yeux sur la statue. Ô Déesse-Dorée, aide Guillaume, il est trop bon pour juste mourir comme un chien sans mérite et sans dignité. Pensait-il ses yeux mouillés quand il regardait cette statue d’une déesse, qu’il n’avait jamais priée dans toute sa vie, avant ce jour. Les moines qu’il découvrait plus tard avaient fait tout correctement, le saigné, lavé ses blessures et couvert ses blessures avec des bandages et du linge béni avant de prier à la déesse pour sauver la vie du boucher.
-Térie, Dit Henri doucement, frottant son dos pendant qu’elle pleurait contre Ildé, qui murmurait doucement à elle aussi. Sachant, avec un certain sens de perte dans son estomac, que toutes les prières du monde n’allaient pas aider Guillaume.
Ce jour changea tout pour eux, pour le mieux et pour le pire.