III
Lorsque Judith retrouva ses esprits, elle eut une envie irrépressible de pleurer pour la perte de son innocence, et pour tout ce que Charles de Norençie lui avait pris. À l’horreur de la jeune fille de quatorze ans, elle pouvait encore sentir l’ombre des actions du vil noble. Comment il l’avait pris, de la puanteur de bière sur son souffle, de la pua…