III
Le siège de Chateau-Norstrieux était lent, prenant trop longtemps dans l’avis d’Augustin. Après presque trois mois de siège… Et encore rien. Un château de bois, qui datait presque à l’ère de Pépin, le père d’Aemiliemagne, bâtis par Norbert de Guilladon. Elle était bâtie sur une colline, équipée avec un fossé rempli d’eau, avec une énorme palissade de bois qui avait un tour à chaque dix mètres et avait cinq tours entourant le donjon. Les tours étant chacun plus que vingt mètres de haut, avec le donjon ayant deux mètres sur eux, tous avec des toits curvés spécifiquement pour ‘secouer’ la neige ou pluie d’eux. Construit originalement des siècles plus tôt avec l’objectif de garder le nord, pour Pépin contre les menaces des seigneurs féodaux du nord. Plus tard, les châteaux du nord furent bâtis et dans ce cas rebâti deux fois, pour combattre les Vikingrs venant de l’autre côté, de la Mer Glacé aussi.
Par ce temps, après presque deux siècles depuis que ce château fut originellement bâti, elle avait été prise seulement trois fois, et attaqué peut-être huit fois. À un temps, Norstrieux était partie de Norençie, avant de devenir partis de Neustrie. Alors, pour l’attaquer était, une attaque directe contre un vassal féodal directe, du Roi. Tout le monde était nerveux, s'attendant à voir les armées du Roi Aymon IV apparaître à l'horizon pour les chasser de là.
Trois mois, et encore rien, de Comes Maugis en plus de nos hommes à Norvions. Pensa Augustin observant, le château et ses murailles d’un œil attentif. Le Comes ne va pas soumettre, et on ne va pas pouvoir pénétrer, le fort de cette façon.
Il savait aussi que s'ils échouaient à saisir Norstrieux, ils ne pourraient pas maintenir ce que leur ‘rébellion’ avait acquis. Songeant à ceci pendant qu’il, traversait d’un pas rapide le camp, vers la tente d’Ulf. Le repas, de l’homme qu’il était l’écuyer de, en main ramassée de juste à côté de la tente d’Eudes. Ce qui l’avait donné l’opportunité pour voir, si Eudes avait un plan, juste pour départir déçu par son ennemie jurer.
En arrivant à la tente de son maître, il se réconforta avec la notion que, le baron d’Uldidier haïssait Eudes, autant que lui. D’abord pour cette raison, il refusait de coucher près du cousin, de le Comes de Norençie. Alors, il avait envoyé un de ses écuyers, pour chercher ses repas. Une haine, qui avait grandi énormément après qu’il avait souffert une blessure dans la dernière tentative, de prendre le château.
Une fois, qu’il était arrivé, c’était pour retrouver le sieur Ulf nettoyant son épée, pendant qu’un physicien prenait soin, de sa jambe. Élevant sa tête de ce qu’il faisait, la minute qu’Augustin rentra, il l’observa. Un homme presque quarante, gras et barbu, avec une tête, presque chauve habillé, comme Augustin en son armure qui se composait d’une cuirasse et une chausse faite de métal. Où Augustin portait un tabard fait de laine, avec l’image d’un ours brun l’image traditionnelle de sa maison, son oncle refusait d’y porter un tabard, les considérants plutôt un irritant. Tous deux portants des capes de fourrure d’ours, pour les gardés chauds en dehors de la bataille.
-Où sont Géraud et Charles ? Questionna Augustin, déposant l’assiette de viande et pain sèche, sur la table à la droite du seigneur gratifié.
Référant aux deux autres écuyers, d’Ulf, Géraud était le deuxième fils du baron Albéron de Neuffort, quant à Charles. Il était simplement, le troisième fils, d’Ulf, un fils illégitime de huit ans, et le plus jeunes des trois écuyers. Tous deux étaient des amis d’Augustin, un était presque comme un petit frère pendant que l’autre, était quelque chose d’un rival amical.
-Je les, aie envoyé pour apporter mes respectes à Eudes, et l’autre pour retourner rapporter notre progrès au Seigneur Lothar. Juste en tout cas, qu’Eudes a ‘oublié’ d’envoyer un messager à lui. Expliqua Ulf indifférent, offrant l’épée à l'écuyer pour qu’il puisse finir de le nettoyer, laissant son pupille à deviner lequel avait allé où. Charles était sans doute avec Eudes, pendant que Géraud, étant dix-sept ans, et le plus habile homme qu’il connaissait avec des chevaux, il agissait comme messager.
S’asseyant, sur un des chaises, au gauche du Baronet, l’épée fermement en main. Il dit à son seigneur, qui étendit sa main pour la bière avant la viande, et le pain. -On ne va pas survivre, une attaque du Roi.
Ulf qui prenait une longue gorgée, de son gobelet l’étudiait du coin, de ses yeux. Répliquant après avoir avalé son alcool. -Peut-être, mais seulement s’il arrive ici.
-Oui, il va nous ignorer, après que nous avons, envahis les terres d’un de ses cousins, et vassaux. Répondit Augustin avec autant de sarcasme qu’il pouvait, conjurer.
Ricanant un peu, Ulf prenant un morceau de mouton bien cuit, était bientôt plus préoccupé avec dévorer, sa nourriture aussi vite que possible, pour répondre davantage. Il fit cela, jusqu’à ce que le physicien qui était occupé avec coudre, sa jambe perçât sa peau avec l’aiguille qu’il tenait, soudainement tirant un peu de sang par accident. Résultant en un gémissement pathétique, du baron, qui perdra toute forme d’amusement, en échange pour de la colère.
-Par les Douze dieux est-ce que tu es un physicien, ou un enfant jouant avec un bâton ? Cria l’homme furieux au physicien.
Le physicien, étant un homme qui semblait presque double l’âge d’Ulf, avec une longue barbe grise, répondit au ton impatient, de son patient d’une voix égale. -Si tu étais pour cesser, de bouger autant que tu le fais, tu serais déjà guéri.
-Mais qui sais où le Roi, est en ce moment. Commenta Ulf optimiste, gémissant tout au long du temps qu’il parlait, après quelques minutes de jeter des éclairs à son physicien indifférent. Visiblement en douleur, il concentrait sur la conversation de son mieux, pour pouvoir ignorer sa douleur, sans trop de succès.
Écoutant d’une oreille, attentive pendant qu’il travaillait sur l’épée. Cessant seulement ses efforts, un instant plus tard, pour écouter aux paroles de son supérieur. C’était en ce moment, qu’il sentit une idée le frapper comme un coup de tonnerre, illuminant son esprit. Car, les paroles de son maître donnaient à Augustin, une idée brillante.
-Peut-être, cela est la clé à entrer à l’intérieur, du château. Réalisa le jeune homme, un sourire narquois venant à ses lèvres.
Sautant à ses pieds, prêts pour traverser le camp, pour aller plaidoyer pour permission, de voir Eudes au sujet de son idée. Même s’il haïssait le noble, ce ne changeait pas le fait, que dans cette situation, si Eudes mourait, Augustin mourait lui-aussi.
-Qu’est-ce que tu as en tête ? La question était grognée par, le vieux guerrier qui avait finalement cessé de gémir sous l’attention du vieillard à côté de lui.
-Je dois, parler avec Eudes, sinon on va jamais prendre le château, Rétorqua l’écuyer de quinze ans de vieil.
Prenant le garçon, par le bras pour le forcer à reprendre sa place, sur la chaise à son gauche. Sa main était, presque aussi grande que la tête, de l’écuyer. De descendance mélangée, à cause d’une union entre son grand-père et la fille, d’un marchand du nord, qui était renommé pour ses richesses. Résultant, en une famille également Norençiens qu’Arnien, et en le seigneur étant un homme incroyablement précaire et haineux envers, ceux de sang purement noble. Ceux comme Augustin, Ulf et d’autres avait eu ample raison, pour l’éviter autant pour cette raison, que leur dédain pour lui.
Où Norençie était le morceau de territoire le plus au nord des Douze Royaumes, composé originalement des terres au nord de Neustrie, Folkmaringie et Mabillon à l’est. Au fil du dernier siècle, elle avait été coupée en trois ; entre les terres de l’ouest, absorber par Neustrie. Ceux d’Haldièrne qui avait été absorbé, par Folkmaringie, et ceux le plus à l’est, par Mabillon. Quant à Arnrige, c’était un groupe de terres mystérieux en dehors des Douze Royaumes, loin au nord-est. Allant du nord, jusqu’à la frontière d'Almanion.
- Eudes me déteste, et a peur de toi. C’est lui, qui a aidé son beau-frère Pierre de Varviens, à usurper tes châteaux, de ton père. Même si Ziu, était à nos côtes quand on présente ton plan mystérieux, nous serions ignorés. Dit Ulf rappelant au jeune, le détail clé qui était au cœur de la rivalité entre eux et Eudes. La mention du dieu de guerre, était une que son écuyer aurait autrement fait lui-même, pas qu’il était certain, qu’il choisirait de favoriser leur côté. Il n’aimait pas les traîtres ou usurpateurs, comme Eudes.
Enrager, par comment il l’avait rappelé de ce que le cousin du Comes de Norençie, et Varviens avait volé d’Augustin. Le jeune homme, était en réalité, l’héritier véritable des deux châteaux, Brussion et Zinord. Cependant dans le temps de son père, Walaric qui avait marié l’héritière, Floriane de Zinord. Les détails de comment Walaric ont perdu son château, étaient incertains. Car il fut accusé, du meurtre de sa propre femme, Floriane une cousine, de la femme principale du Comes de Norençie. Sa mort, était un grand scandale, qui était ce qui résulta en Walaric perdant ses châteaux. Avec Charles de Norençie, enlevant Brussion de lui, pour donner Brussion à Eudes, puisque ce château se trouvait en le principal comté de Charles, Norddard. Pendant que Pierre de Varviens, le frère de l’épouse d’Eudes, était donné les terres de Floriane, même s’il était techniquement le vassal de Maugis de Norstrieux. Grâce à l'alliance entre Eudes et Pierre, l'armée de Charles a réussi à pénétrer les terres centrales de Norstrieux en premier. Quelque chose qui avait causé, les joues d’Augustin à brûler avec de la rage et humiliation à peine réprimer, depuis qu’ils ont déclenché cette guerre. Puisque pour battre sous la commande de sa pire ennemie, en alliance avec l’autre, était l’ultime déshonneur imaginable en son avis.
Alors, Augustin avait plus qu’une raison pour les vouloirs morte, il y avait l’usurpation de ses terres légitimes. En plus, du mort de ses parents, avec les fausses accusations contre, son père. Si ce n’était, pas pour le fait qu’il était un bébé au temps, de ces meurtres. Sauvés, par l’homme d’armes, Robert et Ulf, qui était un cousin paternel distant d’Augustin, et un vassal de Norençie. - Et je vais le tuer, un jour. Il ne s'agit pas que je souhaite que nous perdions nos vies avant ce jour. Répondit Augustin calmement, baissant sa voix avec un regard anxieux vers l’ouverture de la tente. Comme s'il guettait le moment où ses ennemis entreraient soudainement dans la tente pour le capturer.
-Partez, Ordonna Ulf au physicien, qui était proche à finir sa tâche. Soupirant, visiblement agacé par son patient non coopératif, une fois, que les deux guerriers, furent tous seuls, le vieux guerrier s’adressa à nouveau à l’écuyer. Dites ce que tu penses, et si c’est valable je vais le considérer. Si c’est une très valable idée, je l’apporterai directement à l’attention, d’Eudes.
- Nos ennemis, comptent sur le Roi pour les sauvez, puisque les barons de cette région manque de courage, pour cette raison tout ce qu’on a besoin de si nous voulons gagner ; ce sont des aiguilles, et des tailleurs. Informa Augustin l’homme qui l’avait protégé de ses ennemis, toute sa vie, pausant avant d’expliquer le restant de son plan. Par le temps qu’il finit de parler, son cousin était si émerveiller et emporter par son plan, qu’il cria pour un tailleur et des servantes.
Il prit deux autres semaines pleines de travail, les hommes d’Ulf travaillant pour des heures, avant que tout fût prêt. Cependant la récompense pour leurs efforts, était mieux qu’ils auraient pu espérer pour même, après deux autres mois de sièges.
Le résultat de leurs travaux était visible presque immédiate, avec les deux cents hommes sous la commande d’Ulf, se tirant de la force principale d’Eudes. Juste pour que les armées de deux milles hommes, du cousin du maitre du nord, soit chassé par les armés du Roi deux jours plus tard. Les bannières du faucon noir sur jaune, volant dans le vent défiant ouvertement, Eudes qui éveillé tôt, dans le matin par ses gardes. Était un des premiers hommes à paniquer, faillissent de rallier, ses hommes avec l’armée du nord, enfuyant terrifiée du roi. Car, l’armée royale était visiblement, plus énorme que la leur.
Quant aux hommes affamés, sur et derrière les murailles du principal fort du seigneur du comté, leurs réactions furent un de perplexité. Ébahissement qui métamorphosait lentement, en triomphe quand ils virent, les bannières du Roi, combiné avec plusieurs des barons de Norstrieux apparaître. Les bannières des maisons de Norstrieux étant, ceux qui avaient tenté sans succès de relever le siège ou étaient parmi ceux qui avaient refusé de les aider auparavant.
-C’est le Roi ! Il est finalement venu à notre, secours ! Hurlait un des hommes sur les murailles, le second qu’il vit l’approchent graduelle de deux cents des hommes du monarque de Neustrie. Des hommes qui se tirèrent de la forêt de bannières qui avait été planté aussi loin qu’ils pouvaient voir au sud.
Des cris de joies, montèrent bientôt aux ciels des gorges de paysans, gardes et nobles avec égale ferveur. Leur soulagement sincère remplissant le château, comme des fleurs dans l’été.
Ce seraient des heures avant que le Comes Maugis eût assemblé ses hommes, pour les envoyés sous la commande de son fils aîné ; Réginar. Les barrières, ouvrant lentement mais férocement pour laisser sortir les quelques centaines, d’hommes contenus à l’intérieur du château, après l’armée enfuyant. Pendant, qu’un messager départir pour appeler pour le Roi, pour l’inviter à entrer dedans Château-Norstrieux.
Accompagner par quelques centaines d’hommes, resplendissant mais fatigue, couvert de sang et saletés. Les guerriers royaux, étaient visiblement heureux et plus qu’un peu intimidant au messager, en plus des gardes sur les tourelles et murailles du fort. Le Roi bougeant vers le fort, les semblait plus vieil, plus gras qu’ils s’attendaient à. Considérant sa réputation, pour son manque d’appétit et le fait qu’il n’était pas plus vieux que trente-six ans, ils pouvaient être excusés pour leur ébahissement.
Bougeant du château vers la cour, pour les recevoir, la voix du Seigneur Maugis de Norstrieux pouvait être entendue, hurler à ses hommes. Sa voix ancienne, résonnant avec plus de force qu’il semblait, capable d’utiliser physiquement lui-même.
-Ouvrez les barrières pour l’amour des dieux ! Nous sommes sauvés ; le dieu, Ziu a entendu nos prières ! Disait-il courant pour accueillir, l’homme gras assis sur le grand destrier blanc, avec la sorte d’excitation qu’un enfant avait seulement quand il voyait ses parents ou un chien.
Le regard admiratif sur le visage du vieillard, était amusant. En particulier pour ceux, en avant de l’armée minuscule, car le Roi habillé en de l’armure argentée, bien maintenu. Un tabard blanc avec le soleil, taillé dans le milieu d’elle, avec des cheveux gris courts. Il était le seul, qui n’était pas sale, avec les visages des habitants de la région, et château presque tous dans le cours. Pour accueillir, le Roi, avec les douteurs probablement réduit au silence, par la manière impressionnante, que leur sauveur se portait avec.
Redressant son dos, pour s’adresser au chef du royaume proprement, Maugis dire d’une voix profonde qui semblait féminine, en comparaison à la voix de son seigneur. -Bienvenue, messire nous sommes éternellement à vos services.
-Bien sûr vous aller devoir réalimenter, mon armée qui partira à la poursuite, des hommes du nord demain. Était l’ordre du plus haut seigneur de Neustrie d’une voix si ferme, que personne ne le questionna.
-Oui Monseigneur, Acquiesça Maugis, tournant immédiatement à son fils, pour déléguer cette tâche à lui. Fiston, voyez au cheval du Roi, et quand tu aurais fini, envoyer Balian pour voir aux besoins de l’armée royale.
Hochant sa tête, le jeune garçon courra au cheval, pour prendre les rênes du guerrier à cheval. Quant à lui, et ses généraux ils se baissèrent de leurs chevaux. Avant de suivre le Comes, à l’intérieur du château, échangeant un regard narquois avec quelques-uns de ses généraux.
La fête qui attendait le petit ‘armé’ du Roi à l’intérieur du château, était probablement la première dans des mois qui ait été célébrée par, les habitants du château. L’impression que Maugis fit sur ceux, qui venaient d’arriver à l’intérieur, n’était pas nécessairement une bonne. Il était crédule, stupide et indulgent. Préférant fêter que vraiment travailler ou voir à ses vassaux, pour s’assurer qu’ils étaient encore en ligne. Ceci était l’impression, qu’il fit sur les visiteurs qui pouvaient voir pour la première fois, avec leurs propres yeux comment Pierre de Varviens était devenu si puissant.
Dans le milieu de conter une histoire, sans doute fausse, de sa bravoure sur le champ d’une bataille, qui avait pris place vingt-ans passés. Il agitait ses bras pour ajouter, à ses descriptions de son conte, pendant que le Roi écoutait sans un mot.
- Il fallait y avoir, trente, non plutôt quarante mille guerriers contre nous, quand j’ai vit que Pierre avait, des problèmes. Disait le seigneur qui partageait le même nom, que le père d’Augustin, assis au centre de la table centrale, où la noblesse était assise. Habillé en son meilleur linge, notablement une tunique (maintenu en place par une ceinture de cuir) et chausse de soie vert légère de Lyonesse, une cape de fourrure d’un ours et loup noir mélangé. Des bijoux dorés et argentés avec des onyx sur leur sommet, sur ses doigts, avec le même symbole sur certains d’eux comme sur sa tunique d’un tour dorée.
Sa femme, affaiblie par des mois de siège, était assise à sa droite. Ayant des lignes sur son visage, et des cheveux grisantes, elle était sensée d’être seulement trente-trois ans. Pourtant, son apparence était presque assez pour convaincre ceux l’étudiante qu’elle était, double cet âge. Elle buvait que rarement, et observait les visiteurs d’un œil perçant.
-Je vois, Répondit l’homme qui était supposé, d’être le monarque sans enthousiasme tournant ses yeux à son écuyer, puis au chevalier à la droite de l’homme de l’autre côté, du Comes. Il coupa une figure presque impressionnant avec une cape écarlate lignée avec de la fourrure de loup, et une chausse fait du même matériel et une large tunique noire de laine, avec le faucon doré tissé dedans le fabrique couvrant à peine son énorme estomac.
Le chevalier départit en ce moment, pour l’autre bout de la salle, à la recherche pour une partenaire pour la prochaine danse, ou du moins ceci était l’excuse que les Norstriens se dirent. N’ayant pas vu comment il avait positionné ses hommes d’armes partout, dans la salle. En particulier, près des portes présentement fermées pour garder les gens de naissance, à l’intérieur et ceux de naissance négligeable de la salle de festin.
Les trois tables, furent arrangées avec deux aux côtes et un contre le mur opposé, aux portes. Avec la place, entre les tables et les portes laissée libre, pour que les gens du fort et les guerriers ivres, puissent danser.
Ce que les Norstriens ne virent, pas était que leurs visiteurs ne buvaient presque pas. Échangeaient de nombreux regards remplis d’anxiétés ou d’excitations, avec leurs armes encore en place à leur côte. Avec, les nouveaux arrivés prenant des places, alentours de la salle pour qu’ils entourassent les habitants de Norstrieux.
La nervosité qui grippait Augustin, était pire que la bataille elle-même, car ceci était son plan. Sa chance, à éprouver sa valeur à son maître. Si ce plan était pour faillir il serait mort ou pire, déshonorer. Et plus jamais confié de telles responsabilités.
Une partie de lui voulait juste s’enfuir, si nerveux était-il. De sa position derrière le ‘roi’ et le Comes, il pouvait observer tout, et proprement superviser l’exécution, de son plan. Tout pendant qu’il prétendait être un écuyer trop attentif avec, un gobelet de bière en main.
‘Cesse de t’inquiéter,’ Augustin se dire, fermant ses yeux pendant que la sueur tombait de son cou, vers le bas de son dos. Si ce n’était pas l’inquiétude, c’était la culpabilité qui menaçait de l’écraser, le moment qu’il mit yeux sur les enfants de Maugis ou ses hommes.
En particularité, les deux filles, de Maugis et trois garçons qui entourait le châtelain. Assumant que ces jeunes étaient ceux, de cet homme physiquement mieux bâti que Maugis. En possession d’un regard barbare dans ses yeux, il avait une certaine ressemblance aux trois jeunes. Ces cinq, étaient les plus jeunes enfants qu’Augustin pouvait voir dans la salle, d’où il était debout.
Avec impatience, il attendait le signal de Robert, le chef des armes d'Uldidier. Le fort d’Ulf, et celui qui avait entraîné tous les jeunes hommes et garçons, du château dans les arts de guerre. Assis, à la droite d’Ulf qui était déguisé comme un Roi, Robert réclinait dans sa chaise, buvant un peu de son gobelet. Une expression polit sur son visage, bronzé par tant de temps passé dehors, des cheveux auburn, des yeux noirs, grands et puissants. Il avait une petite barbe pointue, qui le donnait l’air d’un des grands guerriers, des contes des Paladins d’Aemiliemagne. Une impression accentuée par l’armure bien usée qui le couvrait de ses pieds à son cou, avec un casque sur sa tête. En tout, il regardait aussi féroce que sa réputation le suggérait. Il y avait des rumeurs, qu’il avait été offert une position à Château-Norddard, par Charles lui-même, juste pour le refuser. Pour des raisons, qui étaient encore un mystère, et que les autres jeunes d’Uldidier, aimaient encore discuter entre eux. ‘Cesse de t’inquiéter,’ Augustin se dire, fermant ses yeux pendant que la sueur tombait de son cou, vers le bas de son dos. Si ce n’était pas l’inquiétude, c’était la culpabilité qui menaçait de l’écraser, le moment qu’il mit yeux sur les enfants de Maugis ou ses hommes.
À sa droite, la fille jolie de Maugis, ou d’un de ses nobles, bavardait avec Robert. Essayant visiblement de capturer, l’attention du dur guerrier qui payait peu d’attention, à elle. Son bonnet qui couvrait ses boucles élevées en des nœuds sur le sommet de sa tête, qui bondissait en haut et bas tellement elle hochait sa tête, à chaque parole du chevalier.
Augustin, jaloux, regardait discrètement la jolie fille, à peu près de son âge, essayant de ne pas l'étudier. Si jolie était-elle, qu’il le prit quelques minutes pour se rappeler d’Alice, la fille d’Ulf, qui était la fille de ses rêves.
Si préoccuper avec ses pensées, était-il que le jeune venir proche à manquer, le signale de Robert. Qui venait, de voir quelques-uns des guerriers de chaque côté, de la salle de festin signalés par prétendant de gratter leur barbe avec leur gobelet presque en même temps. Ils étaient en positions, et attendaient pour que Robert leur donne permissions de bouger. Pas du tout patients, les autres chevaliers auraient préféré bouger plus tôt, que plus tard. Alors, quand Robert prit son gobelet de bière pour le jeté en avant, son épée apparaissant presque instantanément, en sa main. Tous ceux dans la salle sursautèrent, peu importe s’ils étaient Norençiens ou Norstriens.
-Qu’est-ce que tu fais ? Gronda Maugis, sa voix n’était désormais pas entendu par tout le monde, à cause du cri de guerre qui échappa de la bouche, du guerrier.
-Sale barbare ! Était tout ce que la Comtesse dire, avant que la lame de l’homme d’arme fendît à travers l’air, décapitant l’homme à la droite, de la fille à côté de lui.
-À l’ATTAQUE ! Hurla Ulf avant de sortir une dague, et son épée de leur fourreau pour trancher la côte du Comes, d’un geste enragé.
L’entièreté de la salle en ce moment explosa, avec violence. Robert saisit la jolie jeune fille, pour la pousser d’un côté, pendant qu’il engageait un des hommes ivres, de Norstrieux en combat. Son bouclier qu’il avait pendu, sur le derrière de sa chaise de bois, était bientôt en main avec son épée en l’autre. Bloquant les coups maladroits de ses ennemis, pendant qu’il coupait l’homme devant, lui en pièces.
Augustin avait du mal à sortir son épée de son fourreau, ce qui l'humiliait énormément. Frustré, puisqu’il le prit une longue minute avant qu’il la sortît, pour se joindre à la bataille confuse. Par chance, à cause de sa position contre le mur, il ne fut pas attaqué par l’ennemi ou par ses propres alliés.
Voyant Ulf, bougeant pour attaquer, un des fils adultes de Maugis. Un jeune homme, avec une douzaine d’années sur Augustin, qui était quand même plus jeune qu’Ulf, par presque vingt ans. Né sans doute du premier mariage de Maugis, ce qui le faisait le cousin de Varviens. C’était une bataille, unilatéral avec le jeune homme n’ayant pas bu, choisissant au lieu de danser avec une des jeunes femmes dans la salle.
-Ulf ! Cria Augustin précipitant en avant, son arme finalement en main. Terrifié, en ce moment s’il était demandé comment manier une épée, il ne saurait pas comment répondre. Grâce purement à ses leçons depuis sa plus lointaine jeunesse, il transperça la côte du jeune homme. L'expression sur le visage, du jeune homme le moment il fut percé par la lame, était une de la plus profonde douleur et choc imaginable.
Pour Augustin, c’était juste à ce moment, qu’il sentit de la confiance, monté en lui. Dans les dernières batailles, il avait été gardé en arrière, puisque les hommes d’Uldidier étaient partis des réserves, et non l’avant-garde. Alors ceci, était sa première réelle bataille, sa lame qu'il retira aussi vite que possible de la peau du jeune noble.
-Bien, fait fiston ! Complimenta Ulf, sa voix venant de la droite de lui, visiblement soulagé. Se relevant, il finit la vie du jeune près de lui, avant de se jeter contre le prochain homme.
Augustin sentit sa confiance retournée, à ses paroles.
Ce massacre, car ce ne pouvait pas être, décris comme une bataille, était rapidement conclu. Avec les hommes dans la salle, étant jeté ici et là juste pour être coupés en pièces. Leur sang, coulant pour que le plancher de pierre du château fût, presque complètement couvert de sang. Les musiciens, qui un moment plus tôt jouaient un chant victorieux, célébrant la bataille de Verland d’Aemiliemagne, couraient ici et là. Juste pour être coupé et autrement meurtrier, à leurs tours. Un grand nombre de personnes ont tenté de s'échapper en se précipitant vers les portes, mais ont échoué à les ouvrir. Barrer de l’autre côté, par des hommes d’Ulf, ils étaient piégés, dans la grande salle du château. Quant aux enfants, ils étaient traités de la même manière sauve, pour un ou deux. Les filles, et femmes du château étaient bientôt tirées d’où elles étaient tombées, trébuchez ou pousser contre les murs de la salle. Pour être pressé parterre, leurs linges déchirés pour que leurs seins, et jambes montrassent, ou qu’elles étaient aussi nues que le jour elles étaient nées, pour que les hommes puissent les violées.
Pour Augustin, qui avait été élevé par Robert, sur les contes valeureux des Paladins du plus grand roi dans leur histoire cette scène était une qui inspira que de l’horreur.
En toute vérité il n’avait, jamais été avec une femme, le plus proche qu’il était venu à goûter une, était quelques baisés avec Alice. La fille d’Ulf, qui jolie et espiègle le faisait toujours sentir trop nerveux pour vraiment dormir, la violé ou autrement faire plus que l’embrasser ou la caresser. Un jeune, idéaliste et naïf, il était bouche-bée sentant comme s’il était minuscule, en ce moment. Une sensation, qu’il détestait.
Bouche-bée, et confus avec son épée couvrit avec son sang innocent encore en main. Il avait coupé une longue ligne, à travers la poitrine de la jeune femme qui, tomba par terre. Ayant jamais, tué une innocente et maintenant que l’excitation de la bataille départait de son sang. Augustin rempli de culpabilité sursauta lorsqu'il sentit une main sur son épaule, tournant sa tête il vit les yeux pleins de tristesse de Robert.
-Viens, concentre-toi, sur le fait que tu as survécu, ta première bataille.
-Ouais, j-je suppose, Répondit-il tremblant, un peu énervé par l’expression surprise sur le visage de la fille. Arrachant ses yeux, pour se laisser être tiré de devant le corps par Robert, son estomac encore dans sa gorge.
-Tu vas t’habituer, Augustin. C’était sa faute, pour t’avoir surprise si soudainement. Mais, n’oublie pas comment tu te sens, en ce moment. Conseilla Robert entourant ses épaules, d’un long bras costaud et couvert d’armure.
Hochant sa tête, son cœur dans sa gorge, ils vinrent à un arrêt à la droite d’Ulf. Qui claquait ses lèvres ensemble, d’une manière victorieuse satisfaite par leurs succès. Maugis, était à ses pieds, saignant de sa tête d’où il avait été cogné par un des hommes d’armes, du baron. Le Comes avait une expression de terreur et étourdi sur son, visage gras.
-Père, fait quelque chose ! Supplia la jolie fille qui avait flirté avec Robert plus tôt, pathétique n’ayant, pas été violé à la surprise d’Augustin, qui aurait gagé de l’or qu’elle serait une des premières à être abusé.
- Augustin, Dit Ulf, en dépit de seulement murmurer son nom, l’écuyer se tenir plus étroitement. Le baron tournant à lui, l’offrant sa propre épée. Nous avons nos ordres, de prendre la tête de Maugis, pour son manque d’obéissance à notre lige.
-Oui, Monseigneur.
-C’était ton plan qui nous ait apporté cette glorieuse victoire. Félicita Ulf le jeune, signalant d’une main à la salle couverte de sang, les tapisseries de Norstrieux déchiré et ensanglantés. Et finalement aux femmes, filles hurlantes et pleurant partout, dans le milieu d’être violés où se presser contre les murs. Ensuite, aux nobles et jeunes à genoux devant eux, pressés contre le mur derrière la table centrale. Alors, tu devrais avoir l’honneur de cette punition.
- Tu m’honores trop, Monseigneur. Murmura Augustin jetant un coup d’œil à la captive qui, l’observait malicieusement. En particularité, le Comes lui-même et ses enfants, qui pleuraient presque uns et tous, le moment qu’ils entendirent ce qu’Ulf avait commandé son, écuyer de faire.
-Je le sais, alors fais-le. Ça te ferait beaucoup de bien, de mettre du sang sur tes mains, mon jeune. Expliqua Ulf fièrement au jeune, qui prit l’épée de lui. Voulant sembler plus confiant et décisif qu’il le sentait, dans son for intérieur. Où il tremblait, car cet homme était un Comes, un Seigneur féodal du Royaume de Neustrie. Un cousin du Roi, et quelqu’un avec un grand nombre de relations, mariés partout en Neustrie.
-O-oui, Monseigneur. Rétorqua Augustin, maudissant dans ses pensées sa voix faible et pathétique, il aurait préféré projeter une image de force et fierté. Une image, plus semblable à celui que son père aurait projeté, s’il était là.
La mémoire, que c’était la faiblesse de ce maudit Seigneur, qui avait donné à Varviens, le courage d’agir comme, il le voulait et d’abord meurtrier son père. Remplis l’écuyer de la rage nécessaire, pour faire ce qu’il fallait.
-Prenez de la pitié sur moi, je t’offre, Agnès la fille de mon châtelain, juste laissé moi vivre ! Supplia le Seigneur pathétiquement.
-Il est, trop dangereux lui et ses fils, Augustin. Rappela Robert au jeune.
L’épée du jeune bougeait déjà. Poussé par sa colère à l’idée de ce crapaud l’offrant la fille de son servant, d’une telle manière barbare, était trop pour lui. La lame, trancha à travers le crâne du vieillard, pour que les liquides de son cerveau et son sang, versassent sur le plancher.
-Tu as un vrai talent là. Complimenta Ulf sincèrement, pendant que la famille du mort criait, angoissés par la perte de leur paterfamilias. Pas que leur perte, l’affectait trop, puisqu’il était le conquérant.
Mais, si c’était nous, serait-il si indifférent ? Se questionna Augustin, fasciné par ce qui restait de la tête de sa victime, et par l’indifférence de son mentor.
-Quant aux autres, on attendrait le retour, de seigneur Eudes pour décider quoi faire, avec eux. Déclara Ulf réjouissant. Alors, pendant qu’on attend, on les enfermerait dans le donjon.
Et ceci était exactement ce qu’ils firent avec leurs prisonniers qui semblaient diviser entre la haine, la mélancolie et pleurer.
Les prochains jours virent, les deux cents hommes d’Ulf, piller les environs de Château-Norstrieux. Avec Ulf prenant résidence dans, la chambre personnelle de Maugis avec une des filles de le Comes. Pendant, qu’Augustin divisait son temps entre s’entraîner dessous la supervision de Robert. Et être un des gardes sur les tourelles du château ou transmettre, des messages des hommes et Ulf.
Robert pour sa part, maintenait les hommes dessous sa commande fermement en main, les niant les plaisirs des prisonnières. Les donnants au lieu de cela permission, de visiter les prostitués encore en vie, du château sur leur temps. Même Augustin, était agacé par ce refus, ce n’était pas comme s’il planifiait les visités, il était simplement agacé envers l’idée d’être niés les récompenses de victoire. Pendant, que les autres officiers, avait donnés permissions à leurs hommes, de piller les environs, et de violés une ou deux des filles nobles de la région.
Son refus de les laisser faire comme ils voulaient, causait beaucoup des hommes, à plaindre entre eux, du maître d’armes, pas qu’ils avaient le courage, de le faire à en personne à lui. Ils le respectaient trop, pendant que d’autres étaient trop intimidés par lui.
Sur le troisième jour, après qu’ils avaient saisi la capitale de la région, leurs chefs dans ce envahissons les avaient envoyés un message. Il semblait avoir souffert un autre défait, juste pour qu’un de son subordonné ait posé une embuscade au, héritier de Norstrieux. Une embuscade qui, avait mis fin à sa vie. Dès que son maître lui donnait la permission, le messager se reposait jusqu'au jour suivant, vantant le succès de son maître.
Le Seigneur de Paniseux, Hagen un homme du même âge que le Comes de Norençie, avait pris sa propre force de trois cent. Derrière les deux cent et cinquante hommes de Norstrieux, juste pour les attaquez de derrière. Dans une tentative de poser une embuscade contre Balian de Norstrieux, sans succès.
Une bataille que le messager, lui-même avait participé en, et ne cessait jamais de vanter de. Augustin entendit ces nouvelles, tard dans la nuit, quand il tendit une visite au pub comme la plupart des écuyers, qui avait fini leurs tâches, pour le jour.
-C’était tôt dans le matin, quand Eudes est arrivé à la région de Venclair, tentant encore de ramener de l’ordre, à ses hommes. Pendant que le jeune fils de Maugis se rattrapa à lui, apportant ses hommes à un arrêt. Cela prit deux jours, pour que les deux armés cessent d’essayer d’intimider un et l’autre, pour finalement faire quelque chose.” Dit le messager, pausant pour effet et pour prendre, un long gorgé de bière. Presque l’entièreté du pub respirait et attendait pour, un autre mot de l’homme barbu. Le premier à avancer, était le jeune Balian de Norstrieux, qui ne choisit pas d’attaquer Eudes, directement. Avec le haut terrain, il choisit de monter un assaut contre, le flanc droit sous la commande d’Isaac de Survon. Le châtelain incompétent a presque cédé face à l'assaut de seulement cinquante chevaliers et vingt-cinq fantassins. Eudes répliqua avec son propre assaut, sauf Balian a prévu cet acte, ayant envoyé ses réserves alentour de l’armée du cousin de Charles. La combinaison de cette réserve et de la férocité du maître d’armes de Norstrieux a contribué à repousser l’attaque au centre. En même temps que le flanc droit s’écrasait contre, le flanc central. Pendant que la celle au gauche, qui avait repoussé l’embuscade, juste pour être complètement submergé par leurs ennemis. Alors, pour cette raison, Eudes s’est enfui vers le nord, pour les terres de Varviens, avec l’héritier de Norstrieux chassant après lui.
L’histoire était une d’incompétence militaire, sur la part d’Eudes, qui avait tendit une bataille contre un ennemi avec le haut terrain. Après avoir presque omis de prévoir une embuscade prévisible, Augustin était quant à lui horrifié par ses nouvelles. Essoufflé, par ses propres émotions causées par son désarroi et peur de ce qui arriverait, si l’héritier du comté ne tournait pas son armé alentour. Il demanda la question, qui était sur le bout de la langue, de tout le monde présent, dans la pub à ce moment, après avoir assis lui-même près de l’entrée quelque distance du messager. -Et Eudes, qu’est-ce qu’il a fait ?
Cette question était importante, pour les guerriers de Neuffort et Uldidier car, si Eudes était complètement écrasé par Balian, cela mettrait Ulf et ses forces dans une position inconfortable. Coupé de leur van d’approvisionnement, ils seraient anéantis facilement par le jeune homme, qui ne pouvait pas les laissés restés en ses terres ou fort.
-Il a ordonné, Ulf du château après qu’il est fini de la piller, pour apporter des renforts pour attaquer Balian d’en arrière. Dis le messager avec un sourire, réjouissant visiblement de l’attention qu’il recevait des hommes de Neuffort et Uldidier. Qui payait, pour sa bière par ce point, sans même réfléchir au fait que cet homme ivre prenait avantage d’eux.
Mélancolique, dans son coin, Augustin ignorait les cris heureux et ivre de ses amis. Demandant, le dieu de guerre, Ziu ce que ses parents avaient fait, ou ce qu’il avait fait, pour être forcé à battre avec les meurtriers de ses parents. Au commencement, c’était Eudes, et maintenant il faudrait faire plus que juste combattre avec lui. En plus de le sauver, il faudrait travailler avec l’homme qui avait probablement violé et meurtrier sa mère, Pierre de Varviens.
-Augustin, Dit Robert pour capturer son attention, deux choppes de bière en mains, le plus vieil homme signalant avec sa tête, au jeune pour changer de chaise. Pour le laisser, s’asseoir à côté de lui, quelque chose que l’écuyer, fit aussitôt sans réfléchir. Si habitué, était-il à écouter au maître d’armes de Neuffort. Tu as déjà entendu ce qu’Eudes veut, de nous.
-Oui, Marmonna le jeune homme, trop déprimé pour verbaliser ses pensées déprimées, pendant que Robert l’étudiait avec ses yeux perçants.
Un homme intelligent, et le meilleur guerrier qu’Augustin ai, jamais vit dans toute sa vie, il adorait Robert. Qui avait, jouer un plus grand rôle, dans son enfance, qu’Ulf, il admirait et voulait un jour devenir aussi honorable, que le guerrier silencieux. Il savait que, s’il y avait quelqu’un qui comprendrait, son manque d’enthousiasme à participer, dans cette guerre. Ce serait le maître d’armes.
Alors après quelques secondes, d’hésitation couvrit par quelques gorgées, de bière. -Je déteste cette guerre, c’est humiliant de combattre pour ces crapauds ! Ils ont meurtrier ma mère, ont noirci le nom de mon père et on voler mon héritage. C’est ridicule et pas juste !
-Il n’y a pas de justice, dans ce monde. Répondit Robert, d’un ton indifférent, Si c’est la justice qui t’intéresse, va devenir un moine d’Orcus.
Abasourdi par cette réaction, sans compassion Augustin voulait étrangler, l’homme à sa droite, qui était plus intéressé à boire, que ce qui troublait l’âme de son ami. Car, l’écuyer savait que sa querelle avec Eudes et Pierre, était juste. Et que de faillir, de réclamer son héritage, le condamnerait à une vie d’humiliation. En plus, d’être forcé à s’abaisser à des hommes, qui étaient supposé d’être dessous lui. Par exemple, Eudes et le seigneur Pierre, ou même des paysans, quand il était né avec du sang noble, à une des meilleurs héritages du nord.
-Bien sûr, tu ne comprendrais pas, mon humiliation. Tu es, rien plus qu’un homme sans querelles ou naissance respectable. Pendant que j’ai du bon sang, qui serait probablement versé et gaspiller dans le service, de mes ennemis. Plaignit-il sa voix presque aussi noire, que le regard qu’il envoyait à, son ami plus que double, son âge.
-Peut-être, peut-être pas. Répliqua Robert roulant ses yeux, irrité par l’humeur et attitude désespérée du fils de Floriane. Mais considéré ceci, juste parce que je n’agis pas comme une princesse insultée, ne veut pas dire que je suis heureux par ces nouvelles.
Furieux, Augustin avala son alcool, arrêta une des femmes de la taverne, pour demander pour d’autre bière. Déterminé à devenir ivre, avant de retourner au château, pour ce coucher. Il pouvait imaginer comment se sentirait, de donner un bon coup de poing, au guerrier assis à côté de lui. Même quand complètement ivre, il savait mieux que de le frapper, c’était soit ça, soit, il n’était pas assez ivre, pour le faire. En tout cas, il jurait qu’il le ferait si, son ami insultait son honneur une autre fois.
-Augustin, tu as assez bu. Déclara Robert quelques minutes plus tard, après que le jeune avait finis une autre coupe, son visage devenant rouge.
-Qu’est-ce que tu sais ? Gronda-il irrité, par les plaintes constantes du plus vieil homme.
Soupirant, l’homme costaud répondit d’un ton plus doux. Je sais que ce n’est pas une situation idéale, si tu veux, ta vengeance ayez un peu de patience, mon ami. Juste un peu plus, et tu aurais bientôt, ta chance de les punir, je sais que ta chance viendrait bientôt.
Satisfait par les remarques, apaisant de son menteur, Augustin continua à boire. Si ivre était-il, qu’il ne donna plus de considération à Eudes ou Pierre, son humeur s’améliorant avec chaque coupe qu’il prenait. Jusqu’à ce qu’il tombât endormi à cause, de la bière.
Par le temps qu’il s’éveilla c’était pour se découvrir, parmi les autres chevaliers et guerriers dans le quartier du château, réservé pour les chevaliers. Ne sachant pas comment, il était arrivé là, hier soir, il était hautement conscient de la migraine qui assaillait sa tête.
-Je suppose, que ce n’est pas un bon temps pour te dire, que tu n’aurais pas dû boire. Remarqua Robert d’en avant de lui, ayant sans doute couché parmi les autres guerriers, dans la grande salle.
-Je suppose, qu’une fois de plus je devrais te remercier, pour m’avoir rapporté au château après avoir, trop bu ? Demanda Augustin agacé avec sa propre stupidité, mais les nouvelles qu’Eudes avait survécu et que ses choix étaient de l’aider ou de mourir, l’avaient choqué hier soir.
-Ulf t’attend. Répondit Robert tranquillement, une note subtile d’amusement pauvrement caché dans sa voix. Et ne t’inquiète plus de tes ennemis, d’accord ?
-Je le sais, je le sais, cependant le jour viendrait quand je me vengerais, Augustin jura d’une voix craquante, à cause de la douleur dans sa tête.
-Et je serais là, pour t’aider, maintenant va-t’en. Dit Robert l’aidant à ses pieds, pour le pousser vers la porte, de la salle où la multitude d’hommes, était tombée endormie.
Précipitant de là après l’avoir, remercier pour son aide. Le jeune fut discipliné à pleine voix, par Ulf qui l’envoya transmettre des messages, partout dans la ville. Transportant un message, au garde sur les tourelles, ensuite un aux marchands du village derrière les murailles, ensuite il transmit des messages à l’autre bout du village. Son premier souci au fil de cette journée de travail, était comme toujours de ces jours, la bataille qui venait, et pourquoi le Roi n’avait pas encore apparu.
C’était tôt dans le matin, le prochain jour, quand Augustin fut éveillé par les cris, des gardes. Couché dehors de la chambre d’Ulf, il était alarmé et surpris grimpant à ses pieds du plancher où il était tombé endormi. Parce qu’il attendait pour l’ordre de partir au secours d’Eudes, l’ordre de se préparer avait déjà été donné, tôt le jour auparavant.
Ulf, voulait garantir que le château ne poserait plus une menace à eux. Ce qui laissait Augustin impatient, le désir d’oublier ses peines par se joindre à une bataille encore et s’éprouver à ses supérieurs le remplissant.
Les cris des autres hommes retentirent, à travers les halles du château. Augustin se réveillant presque aussitôt, quand les cris commençaient à retentir près d’où, il était tombé endormi. Terrifié et embêté, le jeune homme venait juste de grimper, à ses pieds quand le messager, criant était arrivé près de, la chambre du châtelain.
-À l’attaque ! Le Roi nous attaque ! Réveille le seigneur ! Hurlait-il, causant l’écuyer à peine éveillé à sauter en avant, presque trébuchant sur lui-même, pour jeter la porte ouverte.
-Monseigneur, le Roi est arrivé avec son armée ! Annonça Augustin saisit par la panique et les nouvelles, qui retentissait partout dans le château, et le cours du château.
-En plus de cela, il a les bannières de Blêmer, Ilçon et plusieurs des seigneurs de Roumandois ! Ajouta le messager, les deux hommes essouffler se figèrent d’embarras, une fois que leurs cerveaux se rattrapèrent à leurs, yeux.
Car le baron, était encore dans son lit, presque totalement nu, avec la fille de le Comes qu’il avait pris, comme concubine à côté de lui. Dans le lit, sur son estomac avec son visage, tourné d’eux, pendant qu’Ulf s’élevait de son lit, avec les draps tombant de lui. Révélant sa masculinité aux deux autres hommes, qui fit de leurs mieux, pour le regarder, en l’œil.
-C’est quoi, ce bruit incessant ? Demanda Ulf confus et effrayé, par les cris de ses hommes et ceux de l’ennemi.
-C’est le Roi Aymon, il est apparu soudainement, avec la plupart de ses vassaux. Informa le messager des gardes, causant le seigneur à devenir pâle.
Réfléchissant rapidement, il ordonna. -J’ai une idée, appeler les hommes à ordres et prépare-les pour un siège.
-Oui, Monseigneur, répondit Augustin et le messager, en même temps, le jeune homme avait juste une question qui lui trottait dans la tête à cet instant.
Comment dans Tartare, est-ce que le Roi avait voyagé du sud-ouest, au nord, si rapidement ?
Incroyable!
Incroyable!