Chute d'Innocence Chapter I-II: Meurtre & Mensonges
Comment Henri a ruiner sa vie
II
La première chose, qu’il fit après qu’il avait fini de vomir, était de rester debout là, bouche bée. Paralysée par ses propres actions comme un idiot. Car, toute à coup ça lui frappait, à pleine face ce qu’il venait de faire. Et aussi soudainement, que son vil acte, était toutes les bonnes mémoires de son père, qui l’assaillait sans merci dans le prochain battement de cœur. Le forçant à ses genoux, ne comprenant rien de ce qu’il était, ou serait. Dans le futur, comprit-il, sa vie débuterait et finirait avec cet horrible acte, ce terrible crime, car il savait que pour meurtrier ta famille était la pire chose que quelqu’un pouvait faire.
Il y avait le temps se rappelait-il quand son père, l’avait enseigné comment nager, quand ils avaient visité Réona (un village de l’autre côté des montagnes), dix ans plus tôt. Ou il y avait le temps, quand ils ont partagé leur première bière comme des hommes, devenant soûl ensemble. Ou le temps, ou Barthélémy l’avait calmé avant son mariage. Ou quand il l’avait conforté, après que son premier fils est mort, nouveau-né. Ou le temps où…
Henri cria et sanglotant comme un bébé, rempli de désespoir par ce qu’il venait de faire, avait perdu tout contrôle de lui-même. C’était vrai, que Barthélémy avait devenu un monstre, envers ses filles disant une chose, et faisant une autre. Tandis qu’il était ce monstre, il était quand même, son père et avait à un temps, été son papa.
Henri réalisa avec un frisson d’horreur lorsqu Osbert apprendrait de cela. Le seigneur voulait Ildégarde, et pour cette raison il n’hésiterait pas de meurtrier son frère. Il se souvenait aussi de la promesse faite par Barthélémy au seigneur et à sa famille. Ces craintes n'étaient pas importantes en comparaison de ce qu'il avait juré au moment où Ildégarde et Maria étaient nées : qu'il les protégerait pour toujours de tout mal et de toute peine, et qu'il leur garantirait les meilleures vies possibles.
Une promesse, qu’il avait l’intention de garder à tout prix. Il savait que Barthélémy, avait voulu passer la ferme, à lui. Son premier instinct était d’honorer le désir, de son père. Désormais, il savait mieux que cela. Pour protéger la famille, les filles et lui-même, il faudrait s’échapper.
Il se dire cela, pendant qu’il bougeait le corps de son père de la route principale, vers la forêt. Une route qui n’était pas comme les routes pavées du sud, qui avait été établie par les Romaliens des siècles plus tôt. Celle-ci était, simplement couverte de poussière et simplement celui favorisé par ceux, venant du sud vers ou à travers Partriche. De cette façon, il pouvait mieux cacher le corps, au lieu d’être surpris avec elle, et falloir répondre des questions, qu’il ne savait pas comment répondre.
Je vais le pardonner, pour tout ce qu’il ait fait, jura-t-il grondant à lui-même, et grinçant ses dents. C’était bon, il supposait, mieux peut-être à se souvenir tout le mal, que son père avait et allait faire. Pour éviter, la perte de sa résolution, il ne pouvait pas risquer de penser au bon côté de l’homme de quarante-trois ans. Je dois, aussi éviter de penser à ce qui m’arriverait, se rappela-t-il quelques secondes plus tard, lorsqu’il réprima des larmes.
Ceci était ce qu’il se disait, pour qu’il puisse retourner chez-lui, sans proprement enterrer son père. Il allait initialement l'abandonner, là où il était, simplement pour échouer à se convaincre de le faire. Barthélémy était un terrible homme, en même temps, qu’il était son père. Et comme un fils, il avait un devoir filial à l’enterrer proprement, et pour mettre une pièce dessous sa langue. Pour payer Charon, le marin de la rivière Styx, pour traverser la rivière, mentionnée. Le trajet à la ferme, était d’habitude courte, sauf ce fois elle ne l’était pas pour le cœur d’Henri. Présentement pour lui, c’était le plus long voyage de sa vie. Le bras de son père jeté au-dessus de son épaule, pour le transporter plus facilement.
Au cours du retour, il crémaillère son cerveau pour une histoire de comment, son père était mort. Peur de ce que sa famille penserait de lui, si elles étaient pour découvrir la vérité, il choisit de cacher sa gaffe, son secret au lieu de le confesser. Alors, pour cette raison, il choisit de la cacher ou du moins de ne pas laisser la vérité sortir, car il croyait sincèrement qu’elles ne le suivraient pas si elles savaient la vérité. Se persuadant qu’il connaissait ce qui était mieux pour elles, il avait presque succédé à se convaincre de ce fait, par le temps qu’il fit une pause.
Certain que personne ne serait là, il déposa le corps de son père, en dehors de la maison. Avec l’intention, de l’enterrer dehors, dans les champs comme la majorité de leurs aïeux avait été enterrez dans le passé. Dans le temps avant, que cette pratique était venue pour être considéré sale et barbare dans les yeux, des douvards. Oui, il n’avait pas de douvard pour bénir la place, où Barthélémy serait mis. Il pourrait toujours prier, à Orcus directement lui-même, et demander à un douvard plus tard pour bénir l’âme de son père. C’était après tout ce que les chevaliers, faisaient n’importe quand ils perdaient un collègue ou tuait quelqu’un ; demandait pour le pardon plus tard, ou pour la bénédiction du dieu des morts.
Quand il se rentra, poussant le drap qui agissait comme une porte, Henri s’attendait à trouver la place désertée. Avec, les femmes dans les champs, ou chez la famille de Faustine. Puisqu’il les avait demandé de se dissimulés, et ne pas rester chez eux il fut d’ailleurs stupéfait de les découvrirent toujours là.
-C’est quoi ceci ? Hurla Henri à pleins poumons, sa face écarlate avec la colère. Pourquoi est-ce que vous ne vous cachez pas ?
-Parce que Papa, a dit qu’il n’y a pas de raison, de se cacher, puisque tu l’as convaincu de ne pas me donner à Osbert, et sa famille. Gronda Ildégarde en retour, juste pour jeter Maria un regard sympathique. Et voyer ce que tu as fait, là ? Tu as fait Maria pleurée, gros barbare que tu es.
-Ne hurlez pas après ton frère, Ildé, ce n’est pas très féminin. Et calme-toi, Henri. Réprimanda Isabel sereine en la face des différences entre ses enfants. Tu n’es pas le patriarche de la famille, d’abord si Barthélémy dit qu’il ne faut pas cacher, ça signifie qu’il ne le faut pas.
-Il y’a une maudite armée dehors, juste dehors à côté du village ! Hurla-t-il à pleins poumons.
-Tu n’as pas le droit de me traiter de façon, ou de contredire les ordres de ton père. Réprimanda Isabel, toute gonflée de sa propre importance, pour que ses mots causa les joues de son fils à se rougir. Et quand ton père retournerait, il-
-Père est mort ! Explosa Henri brutalement, regrettant ses paroles immédiatement. C’était trop tard, réalisa-t-il un second plus tard pour reprendre cette admission, alors il ajouta. Son corps est juste dehors !
Il sortit pour ramasser, le corps de son père pour l’apporter à l’intérieur pour le mettre, sur la table dans le milieu de la maison. Les trois femelles, le regardaient durant ce temps d’un air stupéfait et incompréhensible. Comme-ci, le jeune homme avait grandi une deuxième tête, aucune d’entre elles capable de croire ce qu’elles voyaient. Après quelques minutes, remplies de tensions, les femmes n’étaient plus figées en place. Avec Ildégarde posant sa main sur sa bouche, des larmes traversant ses joues. La jeune fille se précipitant en avant presque aussitôt, pour sangloter devant le corps, pressante son front contre celui de son père.
-Ce n’est pas vrai, n’est-ce pas Maman ? Demanda Maria suppliant, des larmes grandissantes dans ses énormes yeux.
Tandis qu’elle parlait Isabel, cessa de l’écouté. Son attention, étant complètement fixée sur son époux mort, sur la table de la famille.
-Ce n’est pas bien de raconter de telles bêtises, Henri. Murmura-t-elle si silencieusement, que l’homme présent, venir proche de ne pas l’entendre.
-Papa ! Cria Ildégarde, sanglotant à pleine force, sur ses genoux.
Prenant Maria dans ses bras, il fit ce qu’il pouvait pour la calmer, avec la jeune fille pleurant inconsolable. Elle pressa sa face contre l’épaule de son grand frère, sans falloir être encouragée. Elle gémit, pour son papa, pendant que sa mère commençait finalement à accepter, la réalité du mort de son mari après plusieurs minutes, de renier cela et secouer sa tête.
-Mère, on doit partir d’ici, Dit Henri impatient et attristé lui-aussi, avalant de l’air il se préparait, pour son deuxième mensonge. Maman, père a changé d’idée, ne voulant plus offrir Ildé à Osbert. Alors, il a ordonné le meurtre de Barthélémy, pour cette raison il n’y a pas de temps à gaspiller. Car le seigneur, va comme tu le sais traiter Ildégarde comme un prostitué, par la prenant pour lui-même. Juste assez longtemps, pour l’essayer, avant de, le passé à son seul fils légitime. Pour cette raison père est mort pour une raison ; pour que Ildé ne soit pas utilisé à Baudoin de Partriche-
-Quoi ?! Hurla Ildégarde comme-ci elle, ne croyait pas Henri. Elle connaissait l'intention de la donner à Osbert, sans considérer que Baudoin la rebutait moins que son odieux père. L’idée de dormir, avec des hommes qu’elle n’aime pas, la révoltait. La fille de quatorze saisons, au tout fin fond de son âme, était une fille romantique. Une qui voulait de l’amour, un jour avec un époux fidèle, et d’être une femme pieuse et fidèle en retours à son homme. Qui elle espérait sans doute serait, un bon homme doux, Henri le savait puisque c’était lui, qui l’avait élevé, parce, qu'en plus du fait qu’il était celui qu’elle confiait tout à.
-On ne va pas laisser cela arrivé. Il la promit, frottant le dos ensuite le derrière de la tête de Maria, d’une manière confortant. On va, s’échapper d’ici.
Ildégarde hocha sa tête, finalement convaincue de la rectitude des arguments de son frère. Pleurant encore, elle tourna à Isabel, pour le supporter. -Maman, il a raison ; on doit partir, je ne veux pas Baudoin, il est un monstre et un pervers lui-aussi !
- Non ! Barthélémy a dit de rester et que tu vas à Osbert, c’est ce qu’on va faire. Répliqua Isabel fermement, avalante elle regarda finalement le corps, retenant les larmes qui vinrent à ses yeux. Je refuse de partir d’ici ! Où est ce qu’on partira pour ? Non, ça vaut mieux, vous donner tous deux à Osbert, et pour demander son pardon pour qu’on puisse rester icitte.
Incrédule, et remplis d’amertume Henri était ébahi par la décision surprenante d’Isabel de ne pas, abandonner la ferme. Réfléchissant rapidement, le nouveau patriarche de la famille décida quoi faire.
-Maria, Ildé prépare vos affaires, et partez pour la ferme des parents de Faustine. Ordonna Henri baissant Maria, parterre. Je vais voir à mère.
-Oui, Henri, viens Maria. Acquiesça Ildégarde, encore ébranlée par le mort de leur père, réclamante ses pieds, puis nettoyante son visage des larmes, ensuite elle prit Maria par la main.
- On ne part pas. Répéta Isabel ses yeux perdants une autre partie de leur lucidité. La vieille femme agit plus rapide qu’Ildégarde avait prévu, tandis qu’Henri était plus vite qu’elle. Il tenta de protéger ses mains des coups de sa mère en larmes, sachant qu'elle cherchait avant tout à les retenir plutôt qu'à lui faire réellement du mal.
-Maman ! Gémit Ildégarde surprise, et un peu contente que son frère l’avait poussé pour la protéger d’Isabel, en plus d’être choqué par l’effondrement émotionnel de sa mère à l’angoisse.
-Partez, tout de suite, vous deux. Je vais apporter mère une fois qu’elle est prête. Commanda Henri d’un ton que ses sœurs savaient très bien, obéir.
Isabel pour sa part, avait par ce temps cesser de le frapper, tombante à ses genoux, dans les bras de son enfant aîné, elle sanglotait. Perdu, dans sa douleur et perte, de la seule personne qu’elle avait aimée dans toute sa vie.
Pendant que les filles partaient, pour la maison de Faustine. Henri frottait le dos de sa mère, du Isabel pour sa part, avait par ce temps cesser de le frapper, tombante à ses genoux, dans les bras de son enfant aîné, elle sanglotait. Perdu, dans sa douleur et perte, de la seule personne qu’elle avait aimée dans toute sa vie. Même manière qu’il avait faite à Maria, juste quelques minutes plutôt. - Chhhut, c’est correct, tout va aller bien. Je vais te protéger, comme père aurait voulu. Sanglotant à pleins poumons, et d’une manière qui causait à Henri, à commencer à pleurer lui aussi. Il laissa quelques prièress’échapper de ses lèvres durant ce temps.
-Ô Ziu, s’il vous plaît, aide-nous. Priait-il passionné, ayant sincèrement besoin de l’aide, pour ménager sa mère et pour, guider leur famille.
Ouvrant ses yeux, tout en continuant à frotter le dos de sa mère, Henri sentit les larmes échappant d’Isabel, commencer à s’arrêter. Confiant qu’elle commençait à regagner contrôle d’elle-même, il se tira d’elle pour grimper à ses pieds.
Marchant vers le mur, où leur seule pelle était, il la prit avec l’intention d’enterrer le corps de son père dehors. Derrière lui, Isabel avança à la table pour regarder la tête de son mari. Il la trouva, observant le crâne écraser de Barthélémy avec des larmes dans ses yeux.
- Pourquoi a-t-il, fit cela ? Barthélémy était censé donner Ildé à lui, pour plus de terre. Dite Isabel, angoissé réfléchissant elle examinait le corps, avec plus d’attention. Comment est-il mort, c’était quoi, les dernières paroles qu’il a murmurées, Henri ?
Avalant, Henri sentit sa culpabilité le dominer, il ne savait pas comment répondre. Il n’avait pas pensé énormément à ces questions. Il ne savait pas s’il pouvait la répondre, tout ce qu’il ressentait était de la honte. La bile montait en sa gorge, l’étranglant de l’intérieur et ne le relâchant pas. Il voulait juste s’échapper en ce moment de la ferme, pour quelque part inconnue. N’importe quoi, pour éviter sa culpabilité. Il savait très bien qu’il était coupable, et qu’il le serait pour le restant de ses jours.
- Je, euh, um je- c’est-à-dire, il est mort d’un coup d’épée soudain. Bafouillait-il baissant son regard, incapable de regarder sa mère dans l’œil, si puissant était son sens d’horreur envers ses propres actions.
Isabel l’étudiait. Une expression illisible sur son visage dur et ligné avant son temps, par une vie remplit de travail, et souffrance, sans cesse. C’était peut-être Barthélémy avec les rêves de grandeurs, tandis que c’était définitivement Isabel, qui était celui plus perspicace.
Étudiante la crâne écrasée, ensuite le sang sur le linge de son fils, sur ses mains, pieds et sa face, une expression de réalisation et fureur montant lentement à sa face. Henri, le second, qu’il éleva ses yeux, pour finalement rencontrer le regard de sa mère, avait la distincte impression que sa mère silencieuse, l’examinait attentivement. C’était une sensation étrange, et pas du tout plaisante. Il pouvait presque sentir, le soupçon d’Isabel le transpercé, comme des flèches. Devenant blanc, il sentit sa culpabilité montée à sa face, il ne voulait rien d’autre que de confesser son péché, puis se blottir contre sa mère. Et être conforté, par elle comme il aurait fait dans son enfance. Néanmoins il ne pouvait, pas faire cela, car il savait soudainement qu’elle ne le pardonnerait jamais, si elle était pour apprendre la vérité, de ce qu’il avait fait.
- Dis-moi, fiston. As-tu enfui et laissé ton père à mourir ? Ou refuser pour lui, avant de le laisser à être puni en ta place ? Interloqua-t-elle durement, d’une voix venimeuse, voyant à travers lui
Si, c’était vraiment Osbert qui avait ordonné, le mort de Barthélémy, où était Henri, durant ce temps ? Il aurait dû songer à cette question, avant de rapporter leur père chez eux. Cependant, il n’avait considéré cela, ni pensé de se laver du sang sur sa tunique.
- Ben, je- Se démontrant incapable de retrouver ses paroles, son histoire tombant alentours de lui, à cause de sa honte et incertitude de comment répondre. En ce moment il réalisa, comment stupide il avait agi : Il était si consumer par sa peur d’être découvert et de perdre Ildégarde, qu’il avait failli, de proprement préparer une histoire crédule, de comment Barthélémy est mort.
Divisé sur quoi dire, et surpris par le venin dans le ton de sa mère, il se laissa ouvert pour une autre, attaque verbale. -C’est la vérité n’est-ce pas ? Tu l’as abandonné à son mort ! Alors, c’est entièrement ta faute, que je suis une veuve !
Il ne savait que dire, ce qui pourrait la calmer, l’accusation d’être responsable pour le mort de Barthélémy était trop proche à la vérité, pour ses nerfs. Le fils de Barthélémy, était un homme simple, un homme qui n’avait jamais eu beaucoup d’expérience, à raconter des mensonges.
-Mère, je ne- ce n’était pas ma faute, je ne voulais pas qu’il meurt, mais il- Essaya-t-il d’expliquer, s’arrêtant quand il vit où la main gauche, de sa mère voyageait. La table quand il avait entré n’avait presque rien sur elle. Juste, le seul couteau de la famille, et quelques bols, la main de sa mère allait pour le couteau devina-t-il. Qui avait été poussé de la table pour, faire de la place pour le corps. Mère, qu’est-ce que tu fais ? Mère ?
-Je veux mon époux, mon amour ! Retourne-le à moi !
- Tu sais que je ne peux pas, faire un tel miracle. Mère, sois raisonnable, il était un crapaud, calme-toi. Répondit Henri irrité par sa fidélité à l’homme, qui avait dormi avec d’autres femmes, voulait prostituer sa fille et avait ruiné le mariage de son fils.
- Après tout ce qu’il a fait pour toi, tu es tenu de le respecter ou même mourir pour lui ! Était la crie qui fut arraché de sa gorge, pendant qu’elle se manœuvrait alentour de la table.
-Il a séduit Faustine ! Et ensuite, a voulu utiliser Ildégarde dans la plus insultante manière possible ! Hurla Henri en retour, si enrager qu’il oubliât brièvement que sa mère avait ramassé un couteau de la table.
-Ferme-toi ! Tu as commit la parricide, Henri ! Et d’une seule bonde elle se jeta contre lui. Un homme d’une grande taille, Henri était plus fort que la plupart des hommes son âge. Désormais après avoir enduré une saison sans de récolte consistent, il n’était pas en aussi bonne santé, qu’il aurait dû l’être. Pas que le meurtre, et la transportation du corps de son père, ne l’avait pas aidé.
Tombant en arrière, le premier coup d’Isabel manqua ses points vitaux. Frappant juste sa chemise, avec sa mère sur lui, et sa tête cognant contre la terre. La douleur l’attaquant plus férocement au derrière de sa tête, que la femme assise dessus son estomac.
Avec l’air dans ses poumons, l’abandonnant presque aussi rapidement que l’amour de sa mère pour lui. Henri combattit contre la vague de panique, qui le dominait. Laissant, aucun espace pour de la rationalité, le jeune homme réagir en même temps que sa mère qui tirait sa main en arrière avec la même vitesse qu’un éclair. Le seul morceau de merci que le jeune était pour recevoir, était quand la lame avec été enterré à moitié dedans la terre, au gauche de lui. C’était tout ce qu’Henri avait besoin de, pour regagner contrôle de lui-même.
L'attrapant par les mains, il poussa de tous ses forces contre les petites mains d’Isabel, pour garder la lame aussi loin que lui. Sa sueur, tombant de lui semblablement à de la pluie durant une tempête, les larmes de sa mère tombait avec autant de force, que sa sueur. Henri pouvait sentir la terreur, le suffoquer elle n’avait jamais été très défiante envers Barthélémy, étant dit cela, Henri avait toujours cru qu’elle l’aimait également. Elle était sa mère après tout, son propre amour pour elle, étendait jusqu’à sa jeunesse. Une jeunesse durant laquelle, il avait toujours été dans la compagnie d’elle et Barthélémy, alors il les connaissait assez bien. Pour avoir, vissent tous les expressions, d’Isabel et Barthélémy, ou du moins ceci était ce qu’il avait toujours dit à lui-même.
-M-m-mère ! Marmonna-t-il, essayant sans succès de dire quelque chose, il ne savait pas. Probablement, il essayait de plaidoyer, pour sa vie. Le jeune poussant, en même temps qu’Isabel. Les deux, luttèrent un contre l’autre, pour plusieurs minutes, pour un longtemps avec Henri ajustant sa poignée, sur les mains de la femme. Maigre, habillé en du linge, trop grand pour lui, à cause de la famine qui avait été infligé sur lui. Il se déplaça instinctivement, en se pressant vers la gauche, en même temps qu'elle tenta de lui poignarda les mains.
Un grognement de douleur, échappant des lèvres de la femme qui relaxa sa poignée sur le pommeau de la lame, sans le vouloir. Car, au moment exact où il allait faire cela, il faillit de compter sur le fait que sa mère regagnerait, sa poignée le forçant à pousser en retour. Avec Isabel mettant toute son poids derrière la lame, il utilisa ses ongles, juste pour saisir le pommeau, de la lame pour avoir une meilleure poignée, succédant à tortiller la lame sans pensée. La tortillant hors de dans sa direction, mettant tous ses muscles derrière son acte, priant aux dieux, en même temps qu’il fit cela.
C’était une lutte maladroite, pour tous les deux. Avec Henri, sous-estimant sa propre force, faisant la même gaffe que sa mère, en cette respecte. Quant à Isabel avec son poids soudainement jetée contre lui. Sans le savoir, elle plongea elle-même contre la lame.
Ce pris, Henri quelques moment pour réaliser ce qui venait d’arriver. Il sentit la chaleur du sang de sa mère, sans comprendre ce qui venait d’arriver. Clignant ses yeux, pour quelques moments, il se figea, fixer par la vision de la vie disparaissant, des yeux d’Isabel. Quand il ouvrir sa bouche pour, parler il ne reconnut pas sa propre voix, si faible était-elle.
- Mère ? Demanda Henri incertain et réellement peur, pour sa mère en ce moment. Saignante, et plus capable de supporter son propre poids, la petite femme tomba contre lui. Il pouvait désormais voir que le couteau l'avait transpercé entre les seins. Affolé par la panique, oubliant les intentions d’Isabel, de juste quelques secondes plus tôt, Henri la roulante sur son dos. Enlevant le couteau d’elle, il la jetant à l’autre bout de la maison, des larmes l’aveuglant. Non, non, non. Isabel, mère reste avec moi !
C’était déjà trop tard. Le fermier la supplia, gémissant et autrement pleurant comme un bébé, ne bougea pas de là, pour très longtemps. Si grand était sa douleur, et sa culpabilité. Meurtrier son père, était une chose tandis que le meurtre de sa mère, était trop pour lui. Quand, l’homme qui avait tout juste de perdre ses deux parents, sortit de sa maison, c’était pour courir pour quelques seconds, de la maison. Juste pour retourner, incertain de quoi faire, il ne sût que faire.
Courant, vers la maison il rentra, s’arrêtant pour un moment, les deux corps devant lui. Respirant profondément. Il essaya de son mieux, sans trop de succès de regagner contrôle, de ses nerfs. Il y a longtemps, avant qu'Henri succédât à retenir ses larmes.
Je ne peux pas rester ici, Songea Henri, considérant la situation devant lui et ses sœurs. Son premier pensé était, de se donner à l’officier du baron, dans la région. L’officiel judiciaire, pour être punis pour ses meurtres. Il avait commis la parricide et la matricide. Ainsi, ses pensées se dirigèrent dans le prochain battement de cœur à ce que ses sœurs, feraient sans lui.
Il était assez sage pour savoir, que sans lui Ildégarde serait saisi, par Osbert pendant que Maria serait laissée à mourir, dans les rues. Où elle, deviendrait un voleur, ou un prostitué, si elle était chanceuse. Le pire serait qu’elle mourait de faim.
Alors, pour cette raison, plus qu’une autre, il choisit de se préserver. Cela était ce qu’il dit à lui-même, jurant d’honorer le mort de ses parents. Et pour expier pour ses péchés, envers ses sœurs, par se dévouant pour le restant de sa vie, à elles.
Voyant le sac avec les pièces, qui avait été donné à Barthélémy, pour Ildégarde, il le saisit, sans hésitation. Comptant les pièces, lentement pour s’assurer de combien de pièces il y avait.
Trouvant, seize pièces d’argents, plus de richesse qu’il avait, jamais connus dans toute sa vie. Il sortit deux des pièces, du sac pour les mettre, dessous les langues de chacun, de ses parents. De cette façon, ils pourraient traverser, le Styx.
Son devoir filial accompli, son prochain instinct était de les enterrer mais il n’avait pas le temps, qui pouvait savoir quand, Osbert deviendrait soupçonneux. De ce qui tardait, Ildégarde, à ce moment ses yeux tombant sur la cheminée, il ne savait pas si brûler un corps satisferait aux dieux. Il y avait, des temps, quand des guerriers étaient brûlés, après la mort. Désormais Henri, n’avait jamais dans toute sa vie, entendue d’un fermier ou une femme, incinéré.
Néanmoins n’ayant pas le temps de se questionner davantage, il remplit quelques sacs, avec de la nourriture. Utilisant les sacs, qu’ils utilisaient pour transporter les récoltes supplémentaires à Partriche. C’était tout ce qu’il avait en sa possession, avec le jeune homme prenant note, du fait que sa chemise était couverte de sang. Alors, il l’échangea pour le seul, autre chemise, qu’il avait. Utilisant le linge sale pour allumer le feu, il avait tant besoin de.
Une fois, que le feu fût allumé, il précipitât de la maison, désespéré à mettre de la distance entre lui, et les preuves de ses péchés horribles. Le feu manqua de purifier les horribles images, derrière les sourcils du fermier. Ce serait des années, il soupçonnait avant qu’il puisse penser à ses parents sans trembler ou sentir des larmes.
Arrivant au champ, de la famille de Faustine, Henri était surpris à retrouver ses sœurs en dehors la maison, de son beau-famille. Marchant vers lui, Maria étant visiblement déprimée et Ildégarde outragée, et criant des obscénités.
- La sotte ! Grogna-t-elle une fois qu’elle se trouvait devant lui. Voyante l’incertitude sur le visage, de son frère elle ajouta furieusement. Sa famille et elle ont refusé de nous laisser entrer, à cause de ce qui est arrivé avec Casimir, et ton désir d’annuler ton mariage à Faustine.
-Dites-moi ce qui est arrivé. Ordonna Henri, avec un soupir, en grand besoin de se distraire de ses crimes, sa tête bourgeonnante.
Avec une expression colérique, combiné avec une multitude de vulgarités, Ildégarde commença à raconter son histoire. Après que nous sommes arrivés chez Faustine, ou du moins la ferme de ses parents, les deux filles, cognant sur la porte sans hésitation.
-Monsieur, Michel, répond s’il-vous-plait ! Supplia Ildégarde presque pleurant, mais voulant être forte pour Maria, qui était presque inconsolable, venant juste de cesser de pleurnicher, elle avala ses larmes.
Ayant jamais aimé les amis de son père, ou la femme de son frère, quelque chose que la jeune femme fit très claire au fil de son histoire. Quelque chose, qu’il connaissait trop bien, de son temps comme un époux. Dans sa jeunesse, Ildégarde avait initialement admiré, Faustine cependant après la première année de son mariage, à Henri. Cette admiration avait métamorphosé en un sens d’indignation désapprouvant et dégoûté.
Ildégarde aurait préféré partir, sans parler à cette famille, elle savait qu’Henri avait un certain devoir, envers Faustine. Puisqu’il était après tout son épouse. Après avoir presque crié jusqu’à ce que sa voix ait brisé. Michel répondit d’une voix irritée comme toujours, quand il s’adressa à eux.
-Qu’est-ce que vous faites ici, maudite fille ? Ce n’est pas assez, que tu as déjà force, mon fils en exil, tu as même l’audace, de te montrer la face à un temps aussi périlleux que maintenant ? Après avoir aussi accusé ma précieuse fille de telles sales rumeurs, que de dormir avec Barthélémy aussi ! Mugis Michel à travers la porte de bois, en pauvre condition. Référant à son fils, Casimir qui avait tenté de violer Ildégarde, l’an passé, quand elle avait juste douze ans.
N’ayant pas aimé leur fils, qui était une brute, le même âge qu’Henri. Ildégarde réalisait, avec un certain malaise que Michel et sa famille, l’avait blâmé pour l’exil de leur fils horrible. En plus de la destruction du mariage, entre leur fille singulière, à son frère. Le détail à propos de Barthélémy, elle n’avait pas su ou crue. Ayant seulement vu Faustine avec un homme des mois passés, et non l’identité, de son amant qui avait échappé, dans la nuit.
-Je vous en supplie, nous n’avons nulle part à aller. Osbert veut me violer, et Henri- Commença-t-elle à s’expliquer en larmes, et bafouillant juste pour être interrompue.
-Dans ce cas, Dit Michel d’un rire moqueur, Je suggère que tu apprends, à ouvrir tes jambes. Je suppose, que tu as déjà maîtrisé cet art, par séduisante mon fils, mais tu vas bientôt avoir plus de clients que juste un homme.
-Attends un moment, papa. Exclama Faustine, ouvrante la porte pour faire face aux filles. Une mince femme, avec des cheveux blonds, qui était jolie, plus que ceux noirs d’Ildégarde dans son opinion. Faustine était jolie, désormais mince comme déjà mentionné, avec une regarde hautaine constamment sur sa face. L’expression de mépris qu’elle donnait à la fille, était assez pour la donnée l’idée terrifiée, qu’elle voulait l’étrangler. Tu rejettes mon frère, juste pour que ton frère tue mon bébé. Et présentement, vous voulez qu’on risque tout pour vous ?
-S’il vous plaît, pour Maria si vous ne pouvez pas me pardonner, fais cela pour elle. Supplia Ildégarde haïssant chaque seconde, qu’elle fallait plaidoyer. Une fière jeune femme, elle n’aurait jamais fait cela, si Maria n’était pas présente et si, Henri ne l’avait pas l’ordonnée. Ainsi c’était en vain, pas qu’elle était du tout surprise, quand Faustine ferma la porte, dans sa face bruyamment. Jurant, et abusant les ancêtres de Faustine, Ildégarde tourna les talons pour départir. Refusant, de laisser Maria qui était visiblement choquée, par la rejection de la famille de Michel.
Dans la distance, elle pouvait voir du fumier monter vers les cieux. Voyant Henri les approchants avec quelques sacs en mains. Les deux filles, le rejoignirent à toute vitesse excité de le revoir, sain et sauf.
-Je vois, et je suppose que Faustine ne veut pas, nous suivre dans, l’exil. Murmura Henri, frottant son menton pensivement, une fois leur conte finit. Incertain s’il était, soulagé ou désappointé par le refus de sa femme, à faire son devoir filial, par le suivant de là.
-Où est Maman ? Est-ce qu’elle reste ici ? Ou est ce qu’elle a décidé d’aller en avant de nous ? Demanda Maria, explosant avec mille questions, qu’il choisit d’ignorer.
-Osbert a déjà brûlé la maison. Alors, on doit échapper immédiatement. Rétorqua Henri, après avoir considéré d’où tous les messagers avaient, venus de. Ils étaient venus du sud, avec le capital de la région, au nord-ouest. S’ils ne pouvaient pas aller sud, ou à l’ouest, ils seront forcés de partir, pour le nord ou l’est.
-Mais, où ? Interrogea Ildégarde impatiente, même si elle opposait avec sa voix, elle le suivrait à Tartare, il le savait, sans hésitation.
Henri ne la regarda pas, son propre regard était fermement, fixé dans la direction qu’il fallait aller. Le village était au nord-ouest, alors ils allaient partir dans la direction, le plus sain et sauf. -On va nord, mes chères. Nord…
Les jours qui suivirent après sa décision, d’abandonner le passé furent durs sur tous les trois. Maria, pleurait sans cesse, en premier parce qu’elle manquait leurs parents. Ensuite, parce que ses pieds commençaient à faire mal, puisqu’elle n’avait jamais marché autant qu’eux dans le passé. Après que cette raison fut épuisée, elle pleurnicha à cause du manque de nourriture. Après cela, parce qu’Henri ne voulait pas jouer, la laisser jouer ou même dire un de ses fameuses blagues, qu’il aurait raconté dans le passé, elle pleura davantage.
Ildégarde pour sa part, plaignait constamment elle-aussi ; refusant de pleurer, elle plaignit du manque de nourriture, du manque de villages, de la douleur qui avait commencé à attaquer ses pieds. Juste pour, qu’elle se plaigne ensuite d’Henri et Maria. La plus jeune fille, parce qu’elle ne cessait pas de pleurnicher, pendant que leur frère, était transformé en un étranger, silencieux et distant qui ne parlait jamais.
Pour sa part, Henri dormait mal, ses rêves affliger par des cauchemars. Des cauchemars, des meurtres de ses parents, ou pire que cela ; des deux le saisissant et le tirant vers Tartares. Pour souffrir, les pires tourments que les dieux de l’au-delà pouvaient infliger, sur les pires meurtriers de l’histoire.
Terrifié, il ne trouvait aucun confort dans le sommeil, ni dans le monde conscient. Alors, la plupart du temps, il allumerait un feu dans la forêt, qu’ils se trouvaient dans le milieu de, cueillerait le peu de nourriture qu’ils avaient. Et avec ses bras, alentours des épaules de ses sœurs plus précieuses à lui que sa propre vie, il observerait les flammes. Se demandant si un bandit l’attaquerait, ou si les dieux le puniraient eux-mêmes. Chaque soir, il passait son temps avec des prières, des supplications aux dieux, pour faire ce qu’ils voulaient avec lui. Ils demandaient juste, qu’ils montrent de la pitié pour, ses sœurs et les protègent de tous malheurs.
Désormais, chaque jour commençait par un nouveau rituel, similaire à celle qui avait hanté ceux, de leurs vies sur la ferme. Celui-ci était désormais quand même différent, avec Maria voulant jouer avec sa poupée (une des seuls objets qu’Henri avait sauvés de la ferme). Chantante, elle demanderait pour quelque chose à manger, juste pour se plaindre à cause, de comment peu il avait à, l’offrir. Ceci, causerait Ildégarde, qui n’était jamais heureuse dans le matin, à plaindre d’elle.
-La ferme, nous sommes toutes faims, nous sommes toujours faims. Gronda Ildégarde à elle, après avoir fait sa toilette, derrière un arbre. Et après un minuscule déjeuner de quelques morceaux de viande, qui était tout ce qui restait de la vache, de la famille (tuer un mois plus tôt et préservé dans un sac avec du sel).
-Je veux Maman, elle était plus gentille que toi, Ildé. Répliqua Maria irritée, continuant le rituel matinal. Tu aurais dû être celui qui meurt, et elle celui qui survit.
Sauf, ce matin le jeune homme affamé et fatigué, perdit patience avec les deux filles. Prévoyant qu’Ildégarde allait dire quelque chose, qui blesserait Maria plus que nécessaire. Et voulant la protégée, de sa sœur, sans tact, il interrompit l’argument.
-La ferme vous deux, nous sommes dans une région sans loi, sans civilisation, où nous pourrons mourir à n’importe quel moment, et vous voulez vous battre ? Questionna Henri sévèrement, tournant sur Ildégarde, il ajouta. Ildégarde, tu vas t’excuser, à Maria. Elle est jeune, alors tu dois être un peu plus patiente avec elle. Quant à toi, Maria, tu es plus, une nouvelle-née, alors agissez comme ton âge. Je suis épuisé, par vos disputes constantes. Compris ?
-Oui, Henri, les deux filles répondit sans joie, sachant mieux que de le questionner sur ce sujet. Pas, que cela arrêta Maria, de sortir sa langue à sa sœur aînée, qui répondit avec, une regarde noire.
Soupirant, Henri ramassa les sacs presque vides de nourriture, prêt pour continuer leur voyage. Ses sœurs le joignant, les deux filles commençaient déjà à perdre du poids notait-il, blâmant lui-même. Sachant, qu’il fallait trouver un village bientôt, pour échanger l’argent de son père, pour de la nourriture. Ensuite, il faudrait trouver un métier, ou une ferme où il trouverait du travail pour supporter ses sœurs.
-J’ai faim, et mes pieds font mal, Plaignit Maria sans joie, même si elle comprenait pourquoi son frère, voulait rationner leurs nourritures. Henri, porte-moi.
-Et elle recommence, Grommela Ildégarde à son tour, Tu n’es plus un bébé, même si tu pleurniches comme un.
-Je ne te parlais pas, grosse mégère. Rétorqua Maria furieuse, démontrant qu’elle était plus similaire à sa sœur, que même elle le savait.
-Henri ! Elle- Ildégarde commençait à dire, blessée et furieuse.
-Je l’ai entendu. Dis-moi, petite sœur où est ce que tu penses, qu’elle a appris cette sorte de langage ? Répondit Henri regrettant ses paroles immédiatement, soupirant encore, il choisit de se reculer de ce particulier bataille. Tournant sa tête, pour s’adresser à la fille, entre lui, et Ildé, il l’ordonna de son plus sérieux ton. Maria, excuse-toi à Ildégarde.
-D’accord, marmonna-t-elle avec autant d’enthousiasme, qu’un cerf approche l’offre de manger, de la viande. Pardonne-moi, Ildé, tu n’es pas une mégère.
-Hmph ! D’accord, je te pardonne. Répliqua Ildégarde avec autant d’enthousiasme que sa sœur. Ajoutant de la vitesse, à ses pas elle mit de la distance, entre elles, à la grande exaspération de son frère, qui pouvait voir qu’elle n’avait pas pardonné le plus jeune membre de leur famille.
-Hélas, pour te récompenser, Murmura Henri essayant de retrouver, son ancien nature sociable, ramassant Maria. Il était devenu plus sérieux, dans les derniers jours, à cause de tous ses soucis, il supposa que ses sœurs avaient besoin de lui, à les rassurer que tout serait bien.
Gloussante, pour la première fois en des jours, Maria perdit sa tristesse. Ce ne dura pas pour long, néanmoins ces précieux quelques minutes de manques d’inquiétude, était plus important que toutes les richesses du roi, dans les yeux de son frère.
-Tu la gâches trop, maugréa Ildégarde l’observant jalousement, porter Maria avec quelques difficultés causées, plus par sa perte de muscles et poids, que par la pesanteur de la fillette. Il choisit d’ignorer cette plainte, ne voulant pas quereller avec l’aînée des deux filles.
Ils rencontraient avec beaucoup de chance, car ils ne rencontrèrent pas avec, des brigands au fil des prochains deux jours.
Après avoir quitté la forêt, il les prendrait seulement quelques heures pour rencontrer quelqu’un. Par ce temps, ils avaient consumé tous les récoltes qu'ils avaient apportées. Le fermier qu’ils rencontrèrent, en dehors de la forêt, était surpris de les rencontrer, sa surprise transformant en de la méfiance. Pas que cela enleva de la compassion qu’il démontrât envers eux.
Henri ne le blâmait pas, pour sa méfiance. Il aurait la même réaction, si trois jeunes arrivaient soudainement chez lui, demandant pour de la nourriture.
Échangeant une seule pièce d’argent pour le remercier pour la nourriture. L’enlevant du sac, qu’il tenait alentour de son cou, entre sa poitrine et sa chemise. Puisque le vieux fermier était presque aussi pauvre qu’eux, Henri n’était pas aveugle au regard avaricieux du fermier. Méfiant de l’homme, sa femme et ses trois fils, deux qui semblait à peu près, le même âge qu’Ildégarde.
Il était, guère heureux d’observer comment les deux jeunes, étudiaient d’un œil admirant sa sœur. Alors, après avoir acheté quelques rations, il retourna sur la route. Mais, pas avant de demander, du fermier. -Où est le plus proche village, au nord ou l’est ?
Regardant pensif, l’étranger considère la question pour plusieurs seconds avants, de répondre honnêtement. -Je ne sais pas, ce qui se retrouve à l’est. Tandis qu’au nord je sais qu’il y a, le village de Vergenon. Et cinq jours de là, il y a le fort et village principal du Comes de Luçia.
-Merci, Répondit Henri sincèrement, de beaucoup meilleure humeur que plutôt. Tournant sa tête pour s’adresser à ses sœurs. Maria, était dans le milieu de manger, avec la femme du fermier se souciant visiblement d’elle. Preuve que la femme un peu plus vieille que lui, était une bonne femme. Pendant qu’Ildégarde mangeait, échangeant quelques mots coquets avec l’aîné des deux garçons. Ildé, Maria on part, immédiatement après, que vous êtes finis de manger.
Désappointer, Ildégarde finir son petit repas de carotte et pain durs. Elle était misérable compagnie durant cette journée, pendant que Maria, était de spectaculaire humeur. La visite avec la famille, ayant renouvelé sa bonne humeur.
-Comment loin est-ce qu’on doit aller ? Grogna Ildégarde après deux heures de marcher, sans arrêter par les autres fermes, qu’ils passèrent par. Est-ce qu’on va attendre, jusqu’à ce que nous sommes affamés encore, avant de venir à une halte ?
Irriter, par sa mauvaise humeur quand c’était un jour chaud, avec le soleil dans les cieux. C’était un des derniers jours chauds avant que l’automne arrive. Et pour la première fois, Henri n’avait pas les visages de ses parents le hantant, chaque fois qu’il clignait ses yeux. -Non, nous avons assez de rations, pour le voyage jusqu’à Vergenon, au nord-est. Il faut juste voyager par la route officielle. Puisque les hommes d’Osbert, vont prendre cette route, on va voyager à travers la forêt encore.
-Ah oui, pour être attaquées par des bandits, et être violées, pour certains ! Plaignit Ildégarde attaquant le dernier nerf d’Henri.
-Tu sais quoi ? Maria avait raison, tu es une mégère. Alors, si tu as une meilleure idée, dite la, ou ferme ta gueule. Répondit-il perdant patience, avec les plaintes constantes de la jeune femme.
-On peut toujours rester, Marmonna Ildégarde à elle-même ainsi autre que cela, elle ne dirait rien de plus, et supplia aucune autre idée, à son frère qui était d’également pauvre humeur.
Je vais payer plus tard, pour ce moment de colère, Pensait le criminel à lui-même, désormais il refusait de se laisser penser, trop à ses paroles furieuses.
Alors, silencieusement, ils approchèrent la forêt après une autre journée de voyage, avec Henri particulièrement nerveux. Voyageant, par le ‘chemin’ principal, de la région les trois étaient silencieux, et plus que prêts à sauter de vue, dans le feuillage au premier son. Leurs, chances étaient bons, pour le premier jour.
La deuxième était en tout cas, une différente histoire peu après midi, quand le son de plusieurs chevaux, les causa à sauter dans le feuillage. Se cachant pour quelque temps, ils vinrent à la décision de tout simplement et fermement laissé la route derrière eux, pour l’incertitude de la forêt. C’était une erreur.
C’était le deuxième jour après, qu’ils avaient entré abandonner la route, peu après leur déjeuner, qu’ils furent pris par surprise. Ils venaient, de finir de grignoter sur quelques fruits avec, Henri tenant la main gauche de Maria, dans le sien. Avec Ildégarde à son gauche (elle avait refusé de tenir sa main, étant trop fière), il ne s’attendait pas à recevoir, une pierre soudaine au derrière de sa tête.
Pour Henri, il était debout une minute, dans le milieu de tracé la route, qui les mèneraient à nouveau, vers la route principale pour Vergenon. Quand, il sentit une soudaine explosion de douleur dans le derrière de sa tête. Puis, dans le prochain moment, il était face contre la terre, sa tête tournante.
- Henri ! Il entendit Ildégarde, hurler de quelque part d’en haut d’où, il était tombé. Pressant une main au derrière, de son crane il sentit quelque chose de mouillé rencontré la paume de sa main. Tirant, sa main de lui, il vît, un peu de sang, pas beaucoup mais assez pour le paniquer.
Dans le prochain battement de cœur il entendit un cri, cette fois la voix de Maria se joignit à celle d’Ildégarde. Se poussant à ses genoux, Henri tourna sa tête pour regarder ce qui arrivait. Son monde, tournant et roulant encore. Il ne saurait jamais, ce qu’il s’attendait à, en ce moment à trouver derrière lui, mais ce qu’il trouva était deux hommes.
Courant avec les sacs, de nourritures qui avaient été dorénavant attachées à Maria, qui avait été poussé parterre, les deux échappaient avec toutes leurs possessions au monde. Avec, Ildégarde tenante un bâton et la secouant ici et là, contre les deux brigands devant elle. Qui, la menaçait, avec Maria derrière elle, pleurant et terrifié au point d’immobilité.
Les souvenirs, de la dernière fois qu’une de ses sœurs avait été attaquée, revenir vivement à son cerveau encore ébranlé par la douleur. Un cri féroce, qui aurait beaucoup plus de place, sortant de la gorge d’un animal que d’un homme, était déchiré de sa gorge.
Ramassant un bâton près de lui, courant pour un des hommes surpris. Le bâton descendit vers, le crâne de l’homme, sa face changeant d’amusement, qui observait le visage paniquer d’Ildégarde. De cet amusement, grandit une expression de surprise, juste pour devenir un de panique. Il avait en main, seulement une petite dague, cependant l’embuscade du jeune fermier, était un succès. Henri donnant un coup féroce, causant le brigand à tomber avec du sang versant, d’où le coup l’avait frappé.
L’aîné des enfants de Barthélémy, allait suivre ce coup avec une autre, quand une autre petite pierre le frappa sur son épaule. Un cri de douleur, échappa de lui aussitôt, élevant son regard pour trouver l’autre homme, qui avait menacé Ildé. Il était armé avec une fronde, sur le point de mettre une autre pierre. Le bandit fut aussi surpris qu’Henri, car à ce moment, Ildé venir au secours de son frère. Son coup était ferme, pas aussi forte que celui de son frère, pourtant assez forte pour distraire, le brigand qui laissa tomber sa fronde.
Ce coup fut suivi, par une autre, ensuite une troisième, le bandit réagir avec un coup de poing à la courte fille. Un coup qui la poussa de ses pieds à son derrière, avec le bandit qu’Henri avait attaqué montant à nouveau à ses propres pieds. Le vagabond paniqua et manqua de réagir à temps lorsque la lame de la dague fut projetée dans sa direction, perçant à travers ses vêtements. Juste pour bondir de sa poitrine, pour tomber par terre. Laissant Henri bouche-bée, de soulagement pendant que le brigand échappant après son ami.
-Henri ! Hurla Ildégarde, courante vers lui, des larmes aux yeux. Apparemment paniquée, par l’idée que son frère venait d’être frappé mortellement.
-Je suis correcte, ça va, confessa-t-il tombant sur son derrière, tremblant. Des pièces d’argents, commencèrent à tomber du sac qu’il avait caché du monde, pour préserver leurs peu de richesse.
Réalisant qu’il venait d’être attaqué, juste pour éviter par des centimètres de mourir. Sauvé par les quelques pièces d’argents en sa possession, il sentit un rictus monter du tout fin fond de son être. Des ricanements secouèrent le corps et âme du jeune homme, qui ne pouvait pas s’arrêter pour plusieurs minutes incrédules.
-Henri, qu’est-ce que tu fais ? Demanda sa petite sœur choquée et effrayer par sa réaction étrange. Son manque d’amusement, pour des raisons qui l’échappait l’amusait davantage, le poussant à ricaner avec plus de force qu’il, attendait à de lui-même, aussi.
-Je ne sais pas, répondit-il une fois qu’il avait regagné contrôle de lui-même, se rappelant de Maria, il tourna vers la petite d’un air inquiet. Comment vas-tu, Maria ?
La petite fille, n’était pas totalement bien, il pouvait voir cela. Pourtant, elle n’avait pas reçu un seul coup pire que des gifles, ou coups de poing, avant que les deux voleurs aient volé ses sacs. -Terrible, ça fait mal !
- Si tu peux plaindre, tu es en santé. Répliqua-t-il doucement courant une main à travers ses cheveux noirs. Il lui parla avec douceur, écoutant attentivement ses paroles, ne trouvant rien de mal en elle. Ensuite, il examina Ildégarde avec ses yeux.
Elle, sur l’autre main, avait souffert plusieurs coups de plus, et avait même été coupée, sur un bras. Déchirant, un peu de sa chemise, l’utilisant comme un pansement, improvisé. Utilisant ce que son père, l’avait appris après qu’un de leur bœuf, avait été blessé quelques ans plus tôt.
-Tiens, on va arrêter par un monastère, ou couvent pour de l’aide, d’accord ? Dit Henri à elle chaleureusement. Ne le disant pas, il ne pouvait pas cacher combien il était fier d’elle, pour avoir défendu leur plus jeune sœur, et lui.
-D’accord, mais ça fait tant de mal ! Plaignit-elle à son tour sans force, souriante un peu, juste pour se souvenir. Mais, ces animaux vulgaires, on a volé toute notre nourriture !
-Ne t’inquiète pas de cela, laisse-moi m’inquiéter de cela, on va simplement trouver un autre ferme. Répondit l’homme de vingt ans sincèrement, trop fatigué pour poursuivre les bandits ou ce sujet. Ils avaient encore de la nourriture, pas assez pour prendre plaisir, dans le voyage mais faudrait suffire. Viens, vous deux, nous devons sortir de cette forêt, avant que ces maudits brigands reviennent. Nous les avons seulement effrayés pour le moment, une fois qu’ils auront faim encore, ils vont retourner pour nous tuer.
Il prit quelques pas, juste pour sentir le monde tourner alentour de lui. Penchant en avant soudainement, sans avertissements à cause du possibilité de comment proche au mort, elles étaient venues. Il a vomi, son petit-déjeuner a horrifié ses sœurs, qui gémissaient et se sont précipitées à ses côtés. Avec la plus vieille, frottant son dos d’un geste confortant, murmurante son nom soucieusement.
-Henri, est-ce que ça va ? Questionna-t-elle de lui, pendant qu’il continuait à vomir pour un instant de plus, son estomac remplissant de douleur jusqu’à ses orteils.
-Ça va, répondit-il une fois qu’il avait succédé à regagner, contrôle de lui-même. On doit continuer, en avant.
Se forçant à mettre un pied en avant de l’autre, refusant d’arrêter de marcher, jusqu’à ce que les cieux devenir noir. Les soleils descendant dans la distance, ils choisirent de se coucher près des plaines, en dehors de la forêt. Encore perdus, ils s’établirent tous trois pressé ensemble, alentours d’un petit feu, Ildégarde et Maria tous deux inquiètent.
-Comment, est-ce qu’on ne sache pas si les bandits seront de retour ? Interloqua Maria encore terrifié après une entière journée de marcher.
-Parce que je serais ici éveillé, durant toute la nuit et je vous protégerais. Rassura Henri en frottant la tête de chacune, de ses sœurs.
-Comment vas-tu rester debout Henri ? Comme d’habitude, tu ne réfléchis pas très loin dans le futur. Répliqua Ildégarde, baillant énormément contre son gré. Alors, réveille-moi, pour te remplacer dans une heure.
Presque aussitôt endormies, elle et Maria s'endormirent en souriant, tandis qu'il passait le temps à étudier les étoiles. Priant aux dieux, essayant d’éviter de penser au passé, par se concentrant sur son futur. Particulièrement à la question de comment, il sortirait de ce dilemme, qu’il avait mis ses sœurs dedans. Lentement, sans le vouloir il perdit conscience, tombant endormit après quelques heures.
Idiot ! Était la première pensée qui croisa le cerveau du vagabond, la minute qu’il s’éveilla le lendemain. Il avait bien dormi, pour la première fois depuis leur départ de la ferme.
Désormais ce n’était pas son intention, car il savait qu’il y avait des bandits qui avaient infesté, la région. En plus, des armées de plusieurs, nobles féodaux. Et il ose, se laisser s’endormir ?
Par chance, il avait réveillé avant les filles, au moment où les soleils, montaient encore. Durant ce temps tôt dans le matin, quand le temps elle-même, était piégée entre la nuit, et le jour. Entendant le son des sabots frappant contre la terre, ce qui signifiait seulement un cheval. C’était juste un, d’après ce qu’il pouvait entendre. Voyageant sur la frontière de la forêt, et les champs en dehors d’elle, sur ce qui constituait le chemin principal. Il était initialement terrifié par le son, et le cri qui accompagnait-elle était, guère un grand confort. C’était vrai qu’il avait allumé un feu, la nuit auparavant, pour qu’il puisse voir au cours de la nuit, cependant elle avait été éteinte à cause de son manque de soins. Il tire ses sœurs par les hanches pour les cacher derrière le feuillage.
-Henri, qu’est-ce qui passe ? Demanda l’aînée irritée, encore mi-endormis.
-Chhhhut ! Je ne sais pas. Chuchota-t-il attendant pour que l’homme y passe. Pourtant, personne ne passa par eux, même après cinq minutes.
Juste avant, qu’il se préparait à sortir de sa cachette, le son d’un cri féminin voyagea aux oreilles des trois, de la distance. Venant de l’ouest d’eux. Piéger entre sa curiosité, et son besoin de protégé ses sœurs à tout prix, Henri ne savait que faire.
-Qu’est-ce qu’on va faire ? Demanda Maria inquiète, quand une deuxième crie suivie la première. Ça semble, comme s’il y a du danger là-bas.
-Je ne sais pas. Répondit-il honnêtement.
- Mais, on doit faire quelque chose ! Elle sonne, comme si elle est en dangers, fais quelque chose Henri ! Pressa Ildégarde les cris tirants à son cœur douce et tendre par nature dessous son extérieur durci.
-Mais- Un troisième crie assourdissante, interrompit ses paroles.
Se tirant, du feuillage, il regarda dans la direction opposée au cri, réfléchissant aux cris, et au coût à son âme, d’abandonner une femme en dangers. Cela fit sa décision pour lui, ben cela et un coup d’œil vers les yeux, qui le suivait toujours, pour imiter son exemple.
Magnifique!