II
Judith passait ses journées et ses nuits sans réaliser complètement à quel point elle avait faim et était affaiblie par la fatigue, à cause de la terreur des rats et de la possibilité d’être mordue par eux. Qu’elle perdrait compte du temps, et devenir de moins en moins capable de bouger, ou de s’inquiéter de ses sœurs ou frère.
Éventuellement, après cinq ? Six jours et nuits ? Au milieu de la nuit, elle n'était pas sûre que l'énorme bruit qui perturbait son sommeil l'ait réveillée, étant encore endormie malgré elle. Tourmenter par les gargouillements de son estomac elle avait, elle savait manquer plusieurs repas et était très sale, si sale qu’elle ne se reconnaîtrait probablement pas elle soupçonnait, si elle était pour se voir.
La saleté extérieure était bien moins importante que les sentiments de désespoir qui l'envahissaient, la poussant à prier presque sans cesse, lorsqu'elle était consciente. Elle priait aux dieux pour de l’aide, et pour Adalbert, pour ses sœurs, et avant tout pour de la nourriture. Alors quand elle entendit le vacarme de plusieurs hommes en armures précipitant au petit cours/prison dehors, elle sursauta.
-Quoi arrive ? Pourquoi êtes-vous ici ? Est-ce que le Comes est arrivé ? Demanda un des gardes d’une figure noircie, que Judith ne pouvait pas discerner trop bien. Ne répondant pas, les guerriers sautèrent en avant épées d’aciers, en main ne donnant aux deux hommes aucune chance de se sauver.
Ses yeux furent grands ouvertes et bouche aussi dans une ‘ô’ horrifiée à la vision des deux hommes coupée en morceaux comme, de la viande bien cueille, avant qu’ils eussent la chance de comprendre ce qui venait de leurs arrivés.
-Elle est encore vivante, Rapporta un des hommes à celui que Judith devinait, était le chef de ce groupe de meurtriers.
-Sors-la, Ordonna l’autre homme, sa voix masculine était familière aux oreilles de la jeune prisonnière qui était plus que heureuse de sauter, vers l’autre bout de la cage. Affolé par la peur de mourir comme les deux gardes debout un second plus tôt, devant sa cage.
-S’il vous plaît, je ne veux pas mourir ! Supplia-t-elle sur le point de pleurnicher encore. Sans considération à elle et ses supplications, qui tombèrent sur des oreilles sourdes. Les nouveaux arrivés ramassant les clés de brasses de la cage, du corps d’un des gardes fraîchement tuer. Les clefs en mains, les guerriers ouvrir la porte à la cage et sans préambule ils entrèrent pour la tirer de là. De là, ils l’apportèrent à l’intérieur du château où elle fut amenée devant un gros homme costaud, en armure avec un tabard avec l’insigne, d’un trèfle orange, entouré par la couleur bleue.
-C’est elle, Déclara Lothar de Gulne sèchement, la reconnaissant sans difficulté, comme toujours dans son armure argentée. Elle est bien trop paniquée pour être n’importe qui d’autre que la fille illégitime, capturé de Luçia.
-Où allons-nous ? Judith avait finalement retrouvé son courage, assez pour demander cette simple question. E-est-ce que vous allez finalement me tuer ?
La question la gagna un regard incrédule du Comes qui secoua sa tête. -On n’est pas ici pour te tuer, ou te sauver, maintenant suis moi. Rétorqua Lothar, tournant pour la guider plus loin dedans le sale donnant un signal aux gardes qui la tenait, d’une main. Lâche-la, elle n’a aucun choix sauf pour nous suivre.
-Où est Adalbert ? Demanda-t-elle lorsqu’elle s’est rattrapée au Comes.
-Il est ton demi-frère, alors pourquoi demander perpétuellement après lui ? Questionna le vassal et général favoris de Charles de Norençie irriter.
-Il est mon frère, et un enfant innocent, Répliqua la noble fille d’une voix hautaine, la famille ayant toujours été importante à elle. Après avoir promis à son père et à sa belle-mère de protéger Adalbert, Anne et Aude pour toujours, notamment.
-Tu es naïf, La critiqua Lothar, venant à un arrêt devant une porte. J’espère que ta famille vaut la souffrance, que tu as endurée pour eux.
Ouvrant la porte pour elle, le guerrier la laissant entrer devant lui, à la salle de festin poliment avant de la suivre, prenant son temps à prendre sa chaise, au gauche de Charles. Qui était, déjà là, habiller comme s’il était une occasion très spéciale. Dans sa tunique bleue riche, faite de la meilleure soie d’Aechéa et en chausses noirs, sa cape de bleu noirci avec des petits soleils dorés symboliques tisser dedans la cape il coupait, une figure impressionnante. Ou du moins il aurait coupé une figure impressionnante s’il était dix à quinze saisons plus jeunes, et s’il n’était pas engravé dans les mémoires de Judith comme celui qui l’avait violé. Juste la vision de lui, était assez pour affaiblir ses genoux, et la remplir avec le désir de s’échapper ou tomber par terre en larmes.
Autour de Charles, sa famille et des nobles étaient assis, comprenant son épouse, six concubines, quatre fils et deux filles légitimes. Ses nobles, les six Comes qui avaient juré leur fidélité à lui avec un bon nombre de leurs hommes d’armes, vassaux et serviteurs présents.
Alors quand Charles s’aperçut d’elle, ses yeux gris, pâle et perçant étaient remplis d’amusement à cause d’une blague un jeune garçon un peu plus vieux. À la consternation de Judith, le Comes de Norençie changea son expression à une de dégoût.
-Alors ceci est comment tu regardes, Remarqua Charles à elle l’étudiante, avec une paire d’œil, dégoûter par elle. Tu rassembles à une paysanne.
-Quoi ? Demanda-t-elle insulter.
-Vous voyez comment elle réagit ? Si remplit de feu et défiance. Interrogea-t-il à ses serviteurs et famille, la traitante d’une manière rassemblant à une rare animale, présente que pour son amusement.
Enflammé par comment il la maltraitait d’elle, et sa moquerie de sa position et noblesse, était trop pour elle. Ce qui était pire, que ces terribles paroles, était les gloussements de la famille et des nobles de Norençie.
-Constance te montrerait à ta chambre, lave-toi et retourner ici, Ordonna son capteur, tournant vers une fille assise cinq sièges de lui à la droite, qui était une courte distance de Judith, qui avait son dos à elle.
La fille était presque le même âge qu’Aude, avec des cheveux blonds, elle était aussi grande que Judith avec un long nez, et une aire privée, perpétuellement alentours d’elle. Judith la détestait déjà, Constance avait les yeux et la même bouche que Charles.
-Vient en, Gronda Constance, la dirigeante à travers l’ouverture d’une autre porte, hors de la salle de festin. Tu dois retourner et ne considérez pas te suicider.
Choquée par cet ordre, Judith supprima sa grimace avant que le Comes eût la chance, de le voir. N’appréciant pas l’idée de retourner à la salle de festin ou le fait que cette fille qui le rassemblait autant que cela, pensait qu’elle se tuerait pendant qu’Adalbert avait besoin d’elle.
-Je n’ai pas besoin de vous pour me dire cela, Répondit la captive irritée.
-J’espère qu’après votre bain tu seras de mieux humeur, Rétorqua Constance en retour.
Je ne suis pas un enfant, se dit-elle à elle-même, la fille de Charles ouvrant la porte pour elle, à la chambre, il y avait déjà deux servantes présentes à côté d’un basin rempli d’eau.
-Papa, attendait la possibilité que tu auras besoin d’un bain, L’informa la fille du conquérant de Luçia sans joie. Les gardes resteront dehors. Bertrade et Clothilde, t’aideront à te laver.
Et pour assurer qu’elle ne s’enfouit pas, devina-t-elle pendant que la plus jeune fille sortait de la chambre, la laissant toute seule avec les deux servantes.
-Précipite-toi petite sotte, ma parole tu es lente, Gronda la vieillarde presque sans cheveux, et dents, habillé dans une jupe brune, de pauvre qualité.
-Relaxe-toi un peu, Clothilde, elle est la nouvelle favorite du Comes. Répondit la dame grasse et blonde, d’à peu près une dizaine d’années plus vieille que Judith. Étudiante la femme à la face joviale intriguée, elle rassemblait fortement à quelqu’un qu’elle avait vu auparavant. Pourtant elle ne pouvait pas mettre son doigt, sur qui Bertrade rassemblait.
- Je m’en fous, qui la favorise, la petite sotte est l’ennemie de notre maîtresse, et est celle qui le tente d’elle. Dit Clothilde son ton accusatoire, et immédiatement Judith la détestait de toute son âme.
-Ce n’est pas importante, viens petite on va te béatifier au point où Charles ne pourrait jamais te rejeter, Rassura Bertrade, ne sachant pas que ses paroles tournaient la lame dans son cœur.
-Ferme-toi, et lave-moi. Commanda-t-elle.
-Alors enlève ces sales ‘robes,' Grogna la plus difficile des deux en retour, une fois encore infligeant un nouveau coup dans le cœur de la jeune.
Cette jupe, était à un temps un cadeau de sa belle-mère, sur son anniversaire, présentement en ruines, la noble lamentait le fait que c’était seulement bon maintenant que pour allumer un feu.
Avec un coup d’œil défiant vers Clothilde, Judith fit comme elle était dirigée par enlevante sa robe, prenant soin de ne pas la déchirer, soucieuse de la dernière rappelle mémoire qu’elle avait de la mère d’Adalbert.
Une fois nue, elle monta dedans le basin avec l’aide de Bertrade qui souriait à elle d’une manière qui était à la fois, nouvelle et familière à elle. Prenante une grande respire avant de glisser dessous l’eau. Dégoûtée à découvrir que la plupart de l’eau était sale maintenant, elle regagna la surface.
L'aidant, à enlever les restants de son séjour dans le donjon, lavant son dos et après avoir ordonné un autre basin d’eau, les serviteurs l’aidèrent à se nettoyer davantage, après avoir débarrassé de l’eau sale.
Une fois qu’elle avait été bien nettoyée Judith, les laissa l’aider à mettre une nouvelle jupe rouge, si étroite que Judith sentit aussi nue en elle, que suffoquée puisqu’elle était également étroite autour de sa gorge. Avec cette jupe faite purement de soie, avec des épées écarlates tricotée dedans les bouts et manches de la jupe. Sous d’autres circonstances, elle aurait épanoui de joie de simplement voir cette jupe, présentement elle ne désirait rien de plus que de le déchirer. -Et maintenant pour tes cheveux. Annonça la servante grasse remplie d’enthousiasme.
-Cela n’est pas nécessaire, Refusa la noble fortement, ne voulant pas être trop belle ou particulièrement séductrice. La dernière chose qu’elle voulait, c’était pour Charles à vouloir répéter sa violation d’elle, pour cette raison elle porterait un bonnet capable de tout couvrir ses cheveux montés sur le sommet de sa tête.
-Es-tu propre ? Demanda une voix de la porte, qui s'ouvrir pour qu'un des gardes posté en dehors de la chambre, soit autorisé à entrer.
-Oui, elle l’est, Répondit Bertrade heureuse et offrant un clin d’œil à la jeune bâtarde qui ne savait pas quoi faire, ou ce qu’elle tentait de dire avec, ce clin d’œil.
-Bon, Dit le guerrier. La dame Constance m’a chargé de vous informer que le festin touche à sa fin. Un soupir de soulagement s'échappa de Judith à cette annonce, malgré sa faim. Cependant, tu es toujours prié de retourner au festin.
L’ordre était une gifle au visage, pour Judith qui voulait instinctivement refuser, à la dernière minute elle se rappela d’Adalbert et la nature farouche de Charles. Si elle ne descend pas quand ordonné, c’était fort probable qu’il tuerait Adalbert pour la punir pour sa défiance. Alors, elle n’avait pas réellement un choix, peu importe l’illusion d’un.
-Je vais descendre toute suite, Acquiesça-t-elle sentant comme si elle venait d’accepter sa propre condamnation au domaine de la Reine des Ténèbres.
-D’accord je t’attendrais dehors pour te guider au banquet, Dit-il avant de sortir.
-Il est possible que tu ne sois pas accepté par le Comes si tu portes simplement une robe. Es-tu sûre que ce serait suffisant ? Particulièrement avec, comment mince tu es devenue. Protesta Bertrade futilement, pas que la fille illégitime l’écoutait, laissant la porte fermée derrière elle avec une énorme claque.
Trouvant un serviteur manquant des cheveux et vieux dehors, avec le garde. Judith sentit un soudain désir d’être aussi vieille et laide que cette servante ou Clothilde. Mais cela ne serait pas pour des dizaines d’années, c’est-à-dire si elle, verrait un jour un tel âge. La possibilité de quelque chose qu'elle n'était pas sûre existait, compte tenu de toute l'hostilité dirigée contre elle par Constance ou les serviteurs d'Élène.
Ce n’était pas long avant que les deux étaient debout au pied des escaliers, la porte au banquet devant eux et Constance les attendant impatiemment.
-Enfin, Soupira la fille de le Comes, surprise par comment mieux elle regardait, après avoir été lavée et habiller, en dépit de comment maigre elle était encore. Impressionnante.
-Suis-moi, Ordonna l’autre fille dans la même manière que plus tôt, poussant ouverte la porte devant elle, avant de la prendre pour la tirer à nouvelle vers la salle de festin.
C’était encore bruyant, puant avec la combinaison de sueur et nourriture qui attaquait les narines de Judith sans merci. Ce n’était pas la seule chose qu’elle était attaquée par, juste pour être suivis par un fort sentiment de nausée qui prit racine dans son estomac.
Approchante la table principale où Charles de Norençie était encore assis disant sa propre blague cette fois à son fils, qui riait dans son gobelet pendant que Lothar grignotait sur du pain, riant lui-aussi à la blague.
-Et le vieil idiot a chargé contre l’âne croyant sincèrement que c’était un dieu qui voulait le tuer, pleurnichant comme un- Mais juste quoi le pleurnicheur pleurait similairement à, resterait un mystère, car à ce moment sa fille qui était debout derrière lui, interrompit la discussion par tapoter l’épaule de son père pour gagner son attention. Dans un geste qui la fit rappeler tristement comment, elle aurait autrement fait la même chose, pour son propre père.
-Papa, elle a fini. Dit Constance avec un baiser sur son joue.
-Quoi ? Ah et qui est cette vision de perfection devant moi ? Demanda Charles tournant pour faire face à sa fille qui ria à sa démonstration d’affection envers elle.
-Arrête papa ! Non, ce qui est fini c’est le bain de la fille de Luçia papa, elle est ici. Rétorqua la plus jeune fille heureuse et signalant derrière elle avec la paume de sa main droite.
Prenant un pas au gauche pour que Charles et Lothar, et son fils Aymon puisses voir Judith, elle portait un sourire qui était presque une grimace. Voyant l’homme qui l’avait violé, causa la jeune fille à se souvenir encore de son humiliation à ses mains. La douleur, la perte et la cruauté retournèrent à elle, remplissant sa tête, et veines la réduisant à s’entourer avec ses bras, voulant se cacher de Charles.
-La voilà, Dit le Comes apparemment satisfait de la voir tournant aux autres hommes présents à sa table, il leur adressa d’un air supérieur. Elle est aussi belle que je vous aie dit, hein ? Attends-y pour qu’elle remette du poids.
Sa remarque le gagnait des blagues paillardises et des sifflements ou ricanement, chacun plus insultants et humiliants que le dernier.
-Eh oui !
-Très belle !
-Combien pour elle ?
Et, -Chanceux, j’aimerais avoir une chance, pour la montrer mon épée !
Bouleverser par les remarques était-elle, qu’elle voulait grincer et les tués, en même temps qu’elle voulait juste pleurer. Diviser entre les laissées voir l’effet de leurs mots ou de juste prétendre qu’elle était sourde. Elle observa les visages des hommes un par un, cherchant pour un indice, juste une petite pour un signe d’un manque de désir. C’était un geste futile. Le seul qui n’était pas intéressé était Lothar, qui la regardait avec de l’amusement.
-Aymon bouge-toi, Ordonna le père à son fils, Assis-toi, ici ma chère.
Ne trouvant aucune indication de pitié, la dame fit comme elle était dite, s’asseyant à la droite de son capteur avec la grâce, qui venait naturellement de son sang noble, sa face ne montrant rien.
-Mange. Commanda-t-il fermement.
Avec cet un mot, et de la nourriture pour être précis un large filet d’un grand cochon, la jambe du animal déposé dans son plat, Judith perdit contrôle d’elle-même. Déchirante, attaquante et autrement ravageant le morceau de viande devant elle. Elle montra à tous ceux présents comment, elle avait été traitée et la gravité de sa faim.
Souriant en levant un sourcil amusé, tout en observant la manière dont elle attaquait la viande dans ses mains. L’offrant une coupe qu’elle accepterait, suivit par un morceau de pain, la fille s'efforça de terminer le vin, après avoir satisfait son estomac affamé. Les femmes riaient avec moquerie, affichaient des sourires narquois et des regards dégoûtés, taillant la chair autour de lui, comme si elle était tranchée par ses os et son âme.
-Faim ? Demanda Charles échangeant un regard amuser avec Lothar.
-Juste un peu, Blagua un des jeunes hommes de sa chaise opposé au Comes.
-Oye ! Madame, vous avez manqué un bout de viande ! Cria un des fils du maître du nord de plus loin à l’autre bout de la table.
Rougissant à cause des commentaires dirigés à elle, Judith risqua une regarde vers les autres femmes, à la table principale. Juste pour que, les autres femelles montrent leurs dégoûts collectifs envers elle par évitant son regard. Son humiliation, était-elle se dit, complète en ce moment.
-J’aimerais voir ce qui arriverait quand elle devient froide, Remarqua Aymon d’une voix pleine d’envie et de désir.
-Peut-être on devrait voir, Retourna son père approbateur, mettant sa main sur la jambe intérieure de Judith près du milieu de ses jambes. La fille se souvenir contre son gré de tous les détails de sa violation, paniquant elle fit la pire chose imaginable en ce moment ; elle apporta d’autre attention à elle.
-NON ! Écria-t-elle, furieuse et remplis de terreur par ses mémoires sautants à ses pieds et versant sa chaise parterre derrière elle.
-‘Non’ ? Demanda-t-il perdant tout amusement.
-Elle semble très énergique, Monseigneur, Remarqua Lothar à lui, sans trop de joie ou intérêt, en ce que Charles faisait avec ses femmes.
Les autres gens ricanant à leur seigneur pendant que d’autres observaient incertain, ayant vu Charles perdre son contrôle trop de fois dans le passé, pour joindre à la moquerie de lui.
-Elle a apparemment plus de feu en elle que toi, père, Taquina Parzival, le deuxième fils de le Comes à seize saisons, il avait des cheveux un mélange entre orange et brun, avec des yeux verts.
-Peut-être c’est temps de laisser un autre homme avoir une chance avec elle, Suggéra le châtelain de Nonde, le beau-frère de Charles par vertu d’un des nombreux mariages de Charles, il était un ancien allié de Luçia. Un qui les avait trahis, en faveur de sa plus vieille alliance en dépit d’être juré à Bernard, qu’il ne prendrait jamais un côté, dans la présence de ses enfants.
-Ou peut-être elle a juste besoin d’une deuxième soirée avec moi, Répondit le seigneur également à ses hommes grimpant à ses pieds, pour saisir la fille et pour la jeter au-dessus de son épaule.
-Non, je refuse ! Gronda-t-elle, résistant faiblement, frappante le dos du chef de guerre du nord.
- Maintenant, si vous pouvez m’excuser pour la nuit, Remarqua Charles gentiment, partant de la salle de festin. Ne payant aucune attention à la servante qui avait tout observé et partit pour informer la Comtesse de ce que, ou pour être plus apte qui, il gaspillait son temps avec.
Lorsqu'il s'arriva Charles la déposerait sur le lit, dans une chambre qu’elle assuma était celui qui l’appartenait. Pas que Judith qui rattrapait son souffle payait trop d’attention à cela, saisit par la panique comme elle l’était. Des larmes, des prières et des jurons échappant de ses lèvres comme la pluie dans le milieu d’une tempête.
-Non, pas encore, Maugréa Judith, avant d’être saisis par le bras.
-Et maintenant pour t’enseigner une leçon pour m’avoir humilié. Grogna-t-il cruellement, élevant son énorme poing.
Judith frissonnant, pleurant, se défendit futilement du mieux qu’elle le pouvait, utilisant ses ongles et autrement suppliante sans succès pour de la pitié. La leçon resta avec elle pour la restante de sa vie. Plus tard quand Charles dormait, la jeune fille le regarda, du coin de la chambre où elle avait blotti elle-même contre. Forcés à dormir au pied de son lit comme une chienne, ses bras alentour d’elle couvrirent de marques bleues et noires, et son liquide échappant d’entre ses jambes. Elle se demande, pas pour la première fois, et certainement pas la dernière fois ; si ceci était vraiment comment le reste de sa vie, allait se dérouler ?