Il prendrait une autre deux jours, pour arriver à un village. Deux jours de trop dans l’opinion d’Aude, avec cette créature de feu ayant disparu avec le vent, pas que la noble pouvait dire cela, avec beaucoup de confiance. Pire que la possibilité d’être suivis par un tel monstre, était le fait qu’Henri avait faibli. Sa blessure le forçant à se pencher en avant, de plus en plus avec chaque pas. Par la deuxième journée, il était trop faible pour même, marcher proprement. Le seul accomplissement pour elles étaient le fait qu’elles avaient succédé éventuellement, à avoir Henri assis sur le dos du cheval au lieu d’être accoucher d’une côte à l’autre.
Pourquoi ? On l’a proprement cautérisé sa blessure avant de le saigner, alors pourquoi est-ce qu’il continue à affaiblir ? Songeait Aude incapable de comprendre, où elle avait fait une gaffe.
-Henri, tu es bien, hein ? Nous sommes arrivées, Disait Maria désespéré, tirant sur sa jambe qui pendait du côté gauche du cheval.
Ayant aidé les deux autres filles à mettre le jeune homme, sur le cheval dans le matin, la fille de Bernard était, aussi paniquée qu’elles.
-Juste un peu plus loin, Henri nous sommes bien proches là ! Murmurait Ildégarde essayant de rassurer le paysan inconscient.
-Hngh, C-c’est c-correct, Répondit-il faiblement, la sueur le couvrant et le réduisant à des frissons qui commençaient à secouer son entier corps.
Terrifier par l’idée de le perdre, même si elle l’avait juste connu pour quelques jours. Aude grippait son genou, incertaine si elle voulait le rassurer ou se rassurer. Puisqu’elle avait vu trop de morts dans les derniers jours, elle ne voulait pas voir ce plébéien gentil mourir.
Le village en devant d’eux, n’avait aucun mur, ce qui frappait Aude comme extrêmement ridicule. Sans protection ils pourront mourir, à juste une petite attaque de quelques chevaliers ou brigands.
-Nous sommes arrivés, Henri nous sommes ici ! Souffla Ildégarde dans son oreille, son amour pour son frère visible, dans ses yeux.
Les villageois fixèrent leurs regards sur les nouveaux arrivez. Perdants intérêts rapidement dans les nouveaux arrivez, pour retourner à leurs habitudes quotidiennes un moment, plus tard. Ce qui plaisait, guère à la petite sœur du sauveur d’Aude, qui aurait préféré être offerte de l’aide aussitôt.
-Est-ce qu’il y a quelqu’un ici qui peut aider, notre pauvre, frère ? Il a besoin d’aide ! Cria-t-elle à plein poumon attirant l’attention, de certains des marchands et paysans, présents.
-Il sera mort par demain, Répondit un marchand de fabrique, avant de pousser une fabrique rouge, particulièrement riche, vers elle. Mais peut-être, vous aimeriez porter de la soie, à son funéraire.
Son détachement envers Henri provoqua chez Ildégarde bien plus qu'une simple colère. Courroucer, Aude était sur le point d’arracher, sa fabrique de lui et l’étrangler avec sa propre maudite marchandise. Elle était distraite de sa colère par Maria qui versa des larmes pitoyables.
-Non, Henri ne va pas mourir, il va vivre, il le doit ! Pleurnicha-t-elle, des grosses larmes coulantes de ses yeux, joues pour tomber par terre.
-Cesse ce vacarme ! Ordonna un autre marchand, furieux et agacer par la fille.
-Oui, tu commences à nuire au travail, Gronda un troisième homme, sans plus de succès, que les deux autres.
C’était trop tard, car leurs femmes avaient pris pitiés sur les filles, et commençaient à chuchoter à leurs hommes. -Elles sont si pitoyables !
-Ils ont peut-être besoin d’aide. Ajouta une autre, Rappelle-toi Renaud, quand tu as brisé ton bras trois ans plus tôt ?
-Maria, arrêté, Murmura Ildégarde, essayant en vain de convaincre sa sœur à cesser de pleurer. Bientôt, la foule grandir et les possibles clients mâles, quelques-uns montrant de la sympathie, et d’autres de l’agacement envers elles.
-D’accord je vais t’aider, si vous fermez la fille, si… tu fais quelque chose pour moi, Soupira le premier vendeur avant d’étudier Ildé plus attentivement, léchant ses lèvres, visiblement excité par ce qu’il voyait.
À cet instant, Aude désirait ardemment sa mort, à travers son regard. Donner une telle condition, à une fille dans une telle situation comme celle-ci, était la hauteur du déshonneur.
-Ildé, n-non, Souffla Henri à sa sœur, qui regardait comme-ci elle considérait l’offre, sérieusement.
-Auh, Maugréa Aude essayant de la dire de ne pas faire comme ce crapaud la voulait.
-Ben, qu’est-ce que vous allez faire ? Demanda le marchand impatient, de la jeune fille. Il est déjà presque mort, petite sotte.
-Non ! Répliqua Maria doublante ses larmes et hurlements.
-Morts, Dit Henri avant de presser une main à son estomac, Ildé oublie le.
Aude sentit à cette minute, son courage monter, pour qu’elle prît le cheval, indigner elle le tira après elle. Déterminée à trouver quelqu’un d’autre à les aider, quelqu’un qui ne demanderait pas une telle chose d’elles.
Sont tous les hommes dans ce monde, des vauriens ? Songeait-elle dégoûter, et horrifier par comment ils semblaient seulement vouloir prendre avantage d’eux. Elle porta son regard vers l'homme à cheval, ce qui suscita en elle une réflexion : peut-être y avait-il une exception. Un homme qui n’était rien comme les autres, et était avant tout généreux, et bon.
-Qu’est-ce que tu fais ? Grogna Ildégarde à elle furieuse, Donner-moi, ces cordes.
-Elles sont folles ! Exclama n homme.
-Elles bloquent la rue, Plaignit un autre.
Si elle le pouvait, Aude jetterait un sort sur ces villageois sans compassion. Si sa famille était toujours au pouvoir, elle les inciterait à attaquer ou à taxer ces monstres à mort.
-Qu’est ce qui arrive ici ? Nous avons du commerce à faire, bouge fillettes ! Cria une autre voix d’en arrière d’eux.
Tournant pour faire face à celui qui venait de parler, l’homme était mince et à cheval, habiller en linges presque aussi riches que ceux, qu’Aude, à un temps porter. Avec une chausse orange, et un tabard vert, qui allait jusqu’à ses genoux. Il coupait une figure impressionnante, dans l’opinion de la noble. Juste pour grimacer, à voir le symbole de l’oiseau bleu au bec d’épée sur son tabard. Car son symbole, n’était pas d’une maison de Luçia puisqu’Aude ne reconnaissait pas son écusson. Il était fort probablement d’une maison insignifiante de Norddard ou de Pluvions.
- Qui me bloque ? Je vous ordonne de bouger, Commanda-t-il, sans réaliser qui Aude était. Je dois me rendre à Linnard sans tarder, alors dépêchons-nous !
Linnard ? Cela n’était pas une maison de Norddard ou Pluvions, songeait-elle surprise, cherchant dans sa mémoire, elle pouvait jurer qu’elle entendit de cette ligne auparavant. La seule question était, où ? Elle était certaine que ce n’était pas en Luçia.
-Mon Sieur, je t’en supplie, laisser mon frère voir votre physicien ou douvard ! Plaida Ildégarde désespéré, maintenant se jetant sur la pitié du noble se pressant, contre sa jambe, pour aider sa cause.
-Baudoin, bouge ce cheval, même si vous devez le tuer, Instruisit l’homme à un des hommes derrières lui, brutalement.
-Oui, Sieur Abrahil, Répondit l’écuyer fidèlement, il était presque double l’âge de son maître, pas que les filles avaient beaucoup de temps à payer trop, d’attention à ce détail.
Car, tirant une épée de son fourreau, et poussant Maria contre la foule d’une main sans effort, qui se dispersait. Ils ont ressenti de la compassion pour une jeune fille, mais dès qu'ils ont vu l'acier, leurs bonnes intentions ont disparu, malgré ses pleurs.
-Aie ! Échappa des lèvres de la fille.
-Maria, Dit Henri toute pale et sans force, appelant le nom de sa sœur, presque vomissant prenant la main d’Aude, et essayant de bouger son bras. Bouge.
Comprenant son intention, la courte fille tira sur le cheval, qui bougea un petit peu contre son gré, hennissant tout au long du trajet. Pas que cela fît une différence, c’était apparemment trop lent pour Baudoin, qui soudainement au choque de la noble fille, qui vient proche à avaler un bout de métal dans le prochain instant. Parce que le bout de l’épée, émergea de l’autre côté de la hanche du cheval percé, près des jambes de l’homme blessé.
Sautant en arrière instinctivement, justement en temps, malheureusement Henri n’était pas aussi chanceux. Jeter du cheval par terre, sa face grimaçant de douleur, il était bientôt couvert de boue.
Sifflant à sa monte, Abrahil poussant avec ses pieds, forçant son cheval à se jeter en avant en une galope farouche, pendant que son écuyer précipitait à pied après lui.
-Henri ! Hurla Ildégarde presque hystérique, courant de Maria à lui, évitant le cheval mourant entre eux. Parle à moi, dit quelque chose !
Elle le secouait pendant qu’Aude sentait la panique l’envahir aussi. La rage et la peur figeant son cœur, et estomac paralysé, par la nausée. Incapable de faire quelque chose encore, elle jurait contre le dieu de l’épée enflammée et son panthéon. Une fois encore quand quelqu’un de bon, avait besoin d’assistance des dieux, et ils étaient partout sauf là, où les gens ont besoin d’eux.
-Mon bras, mon bras, aiiie--mon épaule ! Gémis Henri des larmes de douleur échappant de ses yeux. Ayant apparemment quand il était tombé à côté d’elle, comprenant juste présentement que leur cheval était tombé sur son bras, l’écrasant, et casant les os dessous sa peau.
Sa respiration était précipitée, et d’après ce qu’Aude avait des années passées, dans le cas de sa mère et grand-père vit, était la rapidité qui venait juste avant la fin. Du moins, c’est ce que la noble se souvenir, avec ceci aggravant le sens de panique qui la consumait.
-Pourquoi et comment est-ce qu’un chevalier peut faire une telle chose à un innocent ? Se demandait Ildégarde si elle pouvait dire à Aude que la plupart des chevaliers étaient des monstres. Que c’était étrange, pour eux à faire des actes de générosité, que la brutalité était quelque chose qui venait naturellement à eux. Élevant sa voix à la foule Ildégarde, hurla pour de l’assistance à nouveau. Quelqu’un n’importe qui, aider mon frère !
-Ildé, Maria doit vous dire, père, mère… Soufflait Henri des larmes traversant tout au long de son visage long. Ayant jamais dans sa vie, vue un homme pleurer, ou être si faible Aude était bouche-bée, incapable de bouger ou de cacher son incertitude et peur.
-Ah, le délire l’a saisi, Remarqua un homme observant la scène. Il va à présent mourir.
-Qu’est-ce qui est arrivé ici ? Questionna une nouvelle voix, curieux. Qu’est-ce qui est arrivé au cheval, et pourquoi la foule ?
-Un homme meurt, et ses femmes pleurnichent. Expliqua une femme sans intérêt.
-Mère, je l’ai… Murmurait Henri battant une guerre évidente juste pour garder ses yeux ouverts, une guerre qu’il perdait.
-Laisse-moi le voir, aie ! Bougez-vous, vauriens ! Commanda la nouvelle voix à la foule, se poussant et battant, pour arriver devant de la foule. Ah, je vois le problème.
Ayant perdu toute forme d’espoir elle-même, pour qu’elle pleurât maintenant elle aussi. Aude attendit pour perdre la première personne qui l’avait aidé, après qu’elle avait perdu tout ce qu’elle aimait. Elle supposait déjà, que dans plusieurs décennies, dans le futur lointain, quand elle aurait juste quelques dents et peu de cheveux. Elle raconterait à ses enfants, comment ce noble jeune a crevé, c’est-à-dire si elle avait des enfants, après ce qu’elle avait souffert aux hommes de Charles.
-Quelqu’un faite quelque chose ! S’il vous plaît… ! Plaida Ildé chuchotant la dernière partie, des larmes tombantes finalement, d’elle aussi maintenant.
-C’est frère Thomas, Murmura une femme à une autre, pas qu’une des filles avait réalisée ou se souciait de qui cet étranger, était. Si consumées par leurs pertes et souffrances étaient-elles.
-Donnez-moi de l’espace. Gronda l’homme penchant entre Maria et Ildé, voyant un bras d’un homme habiller en une robe brune de soie avec une ceinture de cuir et de l’argent au centre, avec de la fourrure autour de ses épaules, avec des cheveux raser, une longue barbe noire et une médaille de la déesse Marianne, faite d’or autour de son cou grâce à une petite corde. Aude était choquée et remplit de merveille quand la main de l’homme commença à scintiller, avec une lumière dorée. La lumière voyageant de sa main à l’estomac, de l’homme blessé.
Henri réagit à la lumière, et laisse échapper un cri de pure douleur en brillant. La lumière changea, après un battement de cœur à une couleur brun-rouge, avec le fils de Barthélémy le fermier, vomissant pendant que son sauveur grimaçait lui-aussi comme s’il était en douleur aussi.
-Arrêter, tu le fait mal, S’écria Maria à l’homme enrober.
-Juste un peu plus.
Il n'a pas fallu longtemps avant que la lumière ne retrouve sa teinte dorée, pour ensuite disparaître complètement. Son sort fini, Aude vit Thomas regardant comme s’il n’avait pas dormi dans des jours, où il avait semblé énergique juste une minute plus tôt. Quant à Henri, il avait sombré dans l’inconscience.
-C’est fini, Marmonna l’homme barbu satisfait. Je n’ai rien guéri, je l’ai simplement donné quelque d’autres heures à vivre.
-Et ensuite, il va mourir ? Pressa Ildégarde, sa voix prenante le même sentiment qu’Aude, était consumer par, au point où elle avait des difficultés à respirer elle-même.
-Oui.
-Non, il est notre frère ! Objecta Maria à son propre tour.
-S’il vous plaît, nous n’avons pas beaucoup mais sauver notre frère, je ferais n’importe quoi ce que vous voulez ! Promit la sœur milieu de la petite famille. Pendant qu’Aude hochait sa tête, même-ci elle était au tout fin fond d’elle-même, soucieuse que l’autre fille adolescente avait fait une gaffe, qu’elle regretterait plus tard avec cette promesse.
-D’accord, si vous me promettez n’importe quoi, Accepta Thomas une note d’excitation caché dans sa voix, une certaine note calculatrice mélanger avec le désir dans ses yeux. Donnez-moi votre cheval.
Cette connaissance la donnait aucun avantage, et la fit aucune différence puisqu’un cheval pour un paysan était mieux que rien. Ce qui était plus important que la valeur du cheval était la vie d’Henri.
-D’accord, tout ce que vous voulez, juste sauver notre frère. Supplia la fille à nouvelle.
-Très bien, maintenant j’ai besoin de bouger votre frère et mon cheval, d’ici. Dit Thomas tournant au cheval pour un moment, diviser sur quoi faire. Euh, je vais apporter ton frère.
-Nous ne vivons pas pris d’ici, nous venons plus loin au sud-ouest, Expliqua Ildé rapidement les nouvelles le pris par surprise.
-D’accord alors on va juste le transporter, à un couple que je connais, qui vie par ici, Dit-il décidant, dans le prochain moment. Donne-moi son bras- celui qui n’est pas blessé.
Saisissant Henri par le bras, il était sur le point de partir, avant de venir à un arrêt, près d’un des marchands. Un qui se tenait en arrière, derrière une stalle, se préoccupant de couper de la viande, probablement incapable de voir quoi que ce soit de ce qui arrivait à cause de la foule curieuse, qui présentement dispersait.
-Guillaume, donner leurs un de vos couteaux, ils vont avoir besoin d’un, pour couper mon cheval. Dit l’homme de la foi, lançant un regard perçant aux filles.
-Bonne chance, Ildé, Chuchota Maria souriant pour la première fois ce jour-là, surprenante la muette avec sa paresse soudaine. Apparemment, ses promesses et supplications, de faire n’importe quoi, ne signifiaient rien à l’enfant.
-Donne-moi un moment Maria, Rétorqua l’autre, sa voix tremblante et ses yeux fermer, des larmes coulantes encore pendant qu’elle tenait la main d’Aude. Si étroitement, tenait-elle la main de son amie, qu’Aude laissa échapper un petit gémissement.
La fille de treize ans semblait prête à rester assise là. Pleurant et tremblante, consumer totalement par ses émotions, pas que la fille de noble sang pouvait la blâmer.
-Aaun, Elle essaya sans succès d’exprimer des paroles de confort, juste pour faillir, alors elle choisit de retourner le geste, de l’autre fille : Tenant sa main aussi fortement que possible.
-Je suis correct je-merci, Murmura Ildégarde encore consumé par ses émotions incontrôlables. La noble dame restait à ses côtés en frottant le bras de la femme de classe inférieure, de la même manière que Judith le faisait pour elle, chaque fois qu'elle avait peur ou qu'elle pleurait. La mémoire de sa magnifique sœur aînée, était comme une lame à travers son cœur.
-Merci, merci, merci… Répéta la fille qui était aussi jolie que sa sœur, continuant de pleurnicher. Prenant les deux autres filles dans ses bras forts, Ildégarde pressante la malheureuse Maria, et la courte Aude contre elle, dans une caresse remplie d’affection et soulagement.
-Non, laisse-moi aller, je veux aller retrouver Henri, en tout cas je préfère ses caresses. Maugréa la fille aux cheveux la même couleur que le sable d’une plage irritée.
Quant à l’autre ‘victime’, elle se blottit contre la paysanne statuesque. Sentant un peu mieux, car c’était comme quand sa vraie sœur l’avait tenue, n’importe quand elle était proie à sa tristesse, ou un cauchemar durant leur enfance.
Entendant quelque chose qui sonnait, dangereusement similaire à une lame coupant de la chair, Aude tourna sa tête, prête à sauter à ses pieds pour s’enfuir. Effrayer, par le son, elle fut surprise à découvrir en place d’un guerrier, le boucher, de plus tôt en avant du cheval. Un homme au barbe court et blond, avec des cheveux de la même blondeur. Il était fixé sur la tâche de couper le cadavre, ne les payants pas la moindre attention. Le jeune homme sentit la regarde des filles, éleva ses yeux pour, à leurs surprises les données une souris nerveuse.
-Excuser moi, votre viande serait prêt à être transporté, dans un moment. Les informa Guillaume le boucher.
Aude sentit la tentation à vomir, le moment elle vit comment le cheval qu’elles avaient pris comme leur propriété, juste trois jours plus tôt, était coupé en morceaux, et disséquer.
-Guiges, Anne vient m’aider, Ordonna Guillaume, au-dessus de son épaule à un homme son propre âge. Et une femme qui était juste trois ou quatre ans plus vieux, avec des cheveux un mélange de roux et brun, une regarde glaciale bleu, comme la mer et une figure grasse.
L’homme, Guiges étudia le cheval et hochant sa tête presque aussi poilue et barbue que celle de son copain, ramassa un morceau d’animal mort, par les jambes. Qu’il éleva et avec aucune difficulté, la mise sur la table, avec l’aide de la femme qui transporta la tête du cheval à la table.
-Faut tout laver, Nota le deuxième boucher, avant de ramasser la dernière partie qu’il venait juste de prendre avant d’être arrêté par Ildé.
-Merci, euh nous c’est-à-dire, comment est-ce qu’on pourrait vous remercier ? Bafouilla-t-elle génialement au marchand qui haussa ses épaules massives, indifférent.
-Aucune idée, plus important que cela, vous avez un douvain à retrouver. Répondit Guillaume indifférent.
-Mais- Ildégarde essaya de monter un argument, sans force mais Aude la jeta un regard agacé, puisqu’elle était comme Maria, impatiente à retrouver Henri.
-Je vais demander à Thomas pour les pièces nécessaires, Coupa le boucher les donnants des directions. Il a sans doute amené votre frère à la maison de Thomas le Moulin, qui vous trouverait plus loin sur cette route. Quand la route vient à une fin, tourner au gauche, ensuite marché directement et vous trouverait une hutte près du moulin à votre droite, juste en dehors du village.
Ayant fini de donner ces indices avec ces mains, Guillaume retournant à son travail, laissant les filles à suivre ses directions.
-Merci, Monsieur ! Hurla Maria le remerciant, remplit d’enthousiasme à leur changement de fortune. Sur le point de courir pour voir Henri, avant de réaliser un petit problème ; Ildégarde. Paralysée en place, la jeune adulte reniflait et frottait encore, son nez et ses yeux.
-Je vais vous suivre, dans une minute. Dit-elle à eux, remontante à ses pieds avec un soupir énorme, suivante juste quelques pas derrière elles, avec la foule disperser derrière eux.
Le village n’était pas plus misérable ou pauvre que la plupart des villages, similaire à elle partout dans les Douze Royaumes. Le refus des villageois se mélangeait avec la boue sur la rue, sans aucun mur entre les diverses maisons. Qui était tous bâti serré les uns contre les autres, comme-ci ils espéraient échapper, du froid de l’hiver. Elle imaginait que le village n'était pas si terrible à vivre, bien qu'Aude n'aime pas y vivre pour le reste de sa vie.
Ce n’était pas long avant que les trois filles eussent trouvé une série de maisons, ayant laissé la rue de marchands derrière elles. Allante gauche, leurs yeux figés vers la droite, pour découvrir des gens allant et venant d’un coin de la communauté, à l’autre.
-Où est Henri ? Demanda Ildégarde amèrement, avant de chercher partout sans bouger, ses cheveux frappant une joue suivie par l’autre.
-Aah, Répondit Aude faillissent de dire, ce qu’elle avait en tête. C’était elle qui venait de réaliser, où Thomas et Henri fallait être, par pointant à un couple assis devant leur petite maison de bois boue et foin, paisiblement.
-Merci, Murmura l’autre avant de nerveusement approcher le couple. Excusez-moi, est-ce que vous avez vu un homme dans une robe sale et brun, portant un homme avec une chemise déchirée et des cheveux noirs ?
Le vieillard fronçant ses sourcils, et souriant un sourire sans dents, dire pendant qu’il pointait derrière lui. -C’est notre fils, petite fille et ton homme avec lui, est à l’intérieur.
Les trois filles étaient justes sur le point d’entrer avec Maria, avec la paume de sa main, sur la porte. La vieille femme les surprises, une crie aussi pointu, qu’une lame échappant de ses lèvres. -Non, vous allez le distraire, n’avez-vous jamais vît un douvain guérir quelqu’un, avec des prières.
Sautant en avant de l’enfant, pour pousser la main de Maria, de la porte, la petite fille exprimant son manque d’appréciation pour cet acte, avec un petit gémissement. -Aie, arrête cela vieille folle, je veux voir Henri.
-Maria, son fils a sauvé Henri, alors montre du respect. Excuser ma sœur, elle doit encore apprendre des bonnes manières, Corrigea sa sœur embarrassée futilement, car la vieillarde la jeta un regard glacial.
-Alors enseigner la, Ô par la Déesse, les jeûnes de nos jours ! Maugréa la mère de Thomas le douvain à elle-même, pendant que son époux continuait à donner des gros sourires aux trois filles.
Inconfortable à cause de son énorme sourire, la noble tourna à Ildégarde, pour des directions. La dame a poussé un grand soupir avant de se diriger vers l'une des fenêtres à côté du vieil homme, affichant un étrange sourire. Suivant la sœur de son sauveur, à la fenêtre où elle se figea.
Terrifier, méduser par la scène de Thomas qui était debout devant une table qu’Henri, était couché dessus. La fenêtre était à la droite, des deux hommes, alors les filles pouvaient voir leurs visages et profilent.
-Incroyable, Chuchota Maria apparemment aussi fasciner qu’Aude l’était.
Les lumières dorées qui dansaient en l’air et couvraient le fermier blesser, étaient magnifiques et terrifiantes, tous en même temps. Ils remplirent la maison, et firent la scène difficile à voir, chacune des filles figées en place par la fascination, par la beauté de la magie devant elle.
C’était à ce moment qu’un feu fût allumé dans le cœur d’Aude, qu’elle jura qu’elle ferait cela, elle-aussi un jour. Elle voulait faire comme Thomas, qui murmurait sous son souffle et secouait ses bras, elle voulait sauver des vies, et créer de similaire beauté, et non y mettre un fin à ses ennemis. Elle guérirait les autres, et un jour sauverait ses sœurs.
Very good.
The world seems a very transactional place. "What will you give me for healing him?" "In return for your fealty, you will give me this land, your children, and the Count's daughter."
Audes, I think, has fallen in love with Henri.
Histoire remarquable ce fois