Chute d'Innocence Chapitre III-7: Souffrance sans Délivrance
Et comme Judith souffre ici
VII
Quand Judith avait départi de Luçia elle avait senti comme-ci son monde tombait en pièces pour être remplacé par le monde glacial de Tartare. Similairement à la seule jupe qu’elle était permise d’apporter, étant une noire de laine et fourrure de chien onyx, avec une cape de fourrure d’ours onyx aussi, maintenue en place par une broche de cuivre d’une rose, un cadeau de sa mère (la dernière de reste, après que Luçia fut pillé pour trois jours).
À cheval pour une semaine c’était presque un soulagement lorsqu’elle arriva, au château de Norvert avec Adalbert (Anne avait déjà été séparée d’eux, pour être enfermé dans un couvent). Les gardes suppliés par le Comes et ses seigneurs étaient polis à son visage, mais elle soupçonnait qu’ils se moquaient d’elle derrière son dos.
Les murs du château, que la baronne de Norvert et comtesse de Norençie avait hérité, étaient intimidants étant presque quarante mètres de haute et faite de pierres. Si les murs étaient de pierres et haute comme des montagnes, le château derrière eux était moins impressionnants, avec cinq tours autour du donjon, tous construisent avec du bois. Arrivant à peut-être quinze mètres de haut sur une petite colline, avec un petit village de peut-être un cent gens en dehors de ses murs. Les murs étaient plus que tout autres un symbole maléfique, qui semblait dire à elle ; ‘tu ne va jamais m'échapper.' La minute que les barrières se fermèrent derrière elle, qu’elle sentit des larmes monter à ses yeux.
-Qu’est-ce qui vais arriver maintenant ? Demanda Adalbert, curieux et peur. Il était de bonne humeur depuis qu’il était réuni avec elle su milieu du voyage, quand l’homme apportant Judith avait rattrapé à celui apportant le jeune. La jeune fille était horrifiée et terrifiée par le fait qu'Anne et Aude n'étaient pas encore là, à chaque respiration qu'elle prenait.
-Je ne sais pas, Adalbert. Chuchota Judith en retour, ils étaient capables de murmurer un à l’autre, sans dérangement puisque la fille avait, causer tant de bruit et irritation, pour qu’elle puisse asseoir sur le même cheval, que lui. Pas qu’elle avait permission de tenir les rênes de l’animal, qui était fermement guidé par le chevalier, Thierry.
Pas que cela l’arrêtait d’essayer au moins une tentative de s’échapper des gardes et chevaliers. Après cet incident, ils n’avaient pas laissé la fille hors de leurs visions, se méfiant de chaque parole qu’elle prononçait.
-Est-ce qu’on va échapper encore ? Murmura le petit garçon pour la troisième fois cette heure.
-Oui, aussitôt que nous sommes réunis avec nos sœurs, Rétorqua-t-elle patiemment, distraite par les mouvements des chevaliers, qui commençaient à seller les chevaux.
Du château, sortirent une procession de femmes et presque une douzaine d’enfants, et triple ce nombre de guerriers et gardes. À la tête de la procession était une des femmes les plus imposantes que Judith ait, jamais vue dans toute sa vie. Devinant que c’était la femme principale de Charles de Norençie, l’infâme Élène de Norvert. Un descendant du beau-frère de Norbert, Yves le capitaine des gardes de Norbert, et un guerrier renommé qui dans son plus vieil âge, avait été donné un château, comme récompense, pour son service fidèle. De cette ligne, avait descendu Élène, une femme fameuse pour avoir marié le seigneur Roger de Travon. Juste pour l’échapper, séduire Charles et le convaincre à meurtrier Roger, et prendre son château pour lui-même.
-Nous vous souhaitons la bienvenue, à Norvert, la femme redoutable les accueillit, sa voix complètement fausse. Contrairement aux contes, elle n’était pas une femme particulièrement jolie, elle avait un énorme front et nez, un visage ligné et au moins une décennie sur Charles. Des cheveux noirs, une figure grasse cachée derrière des jupes épaisses, et des yeux plus noirs et froids que le pire nuit d’hiver. Une impression accentuée par sa jupe bleue noircie avec des épées une plus légère bleue ici et là, et sa cape, qui avec des plumes noirs mélangés avec la fourrure noircie des mammouths parfois trouvés en Norençie, maintenue en place par une broche onyx en la forme du lion de Norençie. La jupe était en le style du nord, comme celle à Judith, arrêtant un peu plus haute que la gorge, et débutant autour des pieds de la dame. Une grande adoratrice du linge, et jupes la fille ne pouvait s’empêcher d’admirer si brièvement cette riche jupe de la comtesse.
Hésitant puisqu’elle ne savait pas vraiment quoi faire, devrait-elle mentir et dire que c’était un plaisir ? Devrait-elle révéler la vérité, sachant qu'elle ne nourrissait aucun intérêt pour les fausses hospitalités de ces monstres se faisant appeler des hommes ?
-Où sont mes sœurs ? Demanda la fille captive choisissant au lieu d’insulter leurs capteurs de demander, après ses plus jeunes sœurs.
À cette question les gens, commencèrent à murmurer à un et l’autre, clairement la plupart d’entre eux ne savait pas où Aude ou Anne était. Ne pas voir ses sœurs était comme un couteau dans son cœur, provoquant une peur panique à jaillir du plus profond d'elle-même. Elle ne savait pas, d’où ce sens de panique venir de, seulement que le fait qu’elle ne pouvait pas les trouvées, était pire que le plus féroce coup des chevaliers du nord.
-Elle doit être ici ! Hurla Judith, quelque chose qui gagna que la désapprobation immédiate de son hôtesse.
-Cesse cela, toute de suite petite sotte, si vous voulez où elle est, tu vas devoir écouter. Réprimanda la comtesse, sa face de peut-être quarante ans ronde et avec presque deux mentons était presque aussi terrifiant celui du comes. Néanmoins, ce sont ses deux petits yeux remplis de malice qui ont réduit Judith au silence, pas son visage ni sa voix.
Pourtant, ce n’était pas assez pour convaincre la fille désespérée à agir, comme ses capteurs auraient préféré. -S’il vous plait ! Je veux juste voire mes sœurs !
-La ferme petite idiote ! Cracha Élène approchante la jeune fille et la giflant, causant Judith qui tomba en arrière, à laisser échapper un petit gémissement de douleur.
-Aïe ne frappe pas ma sœur ! Cria Adalbert aussitôt à la Comtesse, qui réagit par commandant à un chevalier d’intervenir.
-Sieur Armel, saisit ce garçon et sa sœur, et voyer à les enfermer dans leurs chambres, jusqu’au souper. Élène avec cela faite tourna ses talons pour rentrer au château, sans les introduire à sa famille.
-Attends-y, je veux juste voir Aude et Anne ! Hurla fille hystérique, sa main sur sa joue écarlate, des larmes tombantes de ses yeux.
-Ta sœur n’est même pas ici ! Maudite sotte, Admit Élène exaspéré par elle, Armel enlève la de ma présence.
- Oui, Madame, Dit le capitaine des gardes, reconnaissable pour sa vieille armure sans symboles, ou la moindre richesse, et son manque de fourrure, la saluant avant de prendre Judith par le bras, Par ici, Madame.
-Non ! Non ! Vous m’avez promis ! Vous m'avez promis ! Je veux voir mes sœurs, je veux voir mes petites sœurs ! Judith essayait futilement de s’échapper de l’homme qui la tenait dans des mains plus fort que le fer. Les gens présents là, la regardant avec du dégoût ou évitait de ses yeux, comme-ci elle était une enfant particulièrement mal élevé et embarrassante.
Quant à Adalbert voyant sa sœur dans le milieu d’être maltraité il courrait vers elle, juste pour être saisi encore, par un des gardes qui le prit dans ses bras, sans trop de difficulté.
Criant à plein poumon par ce point, à la Comtesse qui soupirait à nouveau, d’une façon agacée. La scène était bientôt finie, pourtant ce ne voulait pas dire que Judith, avait fini de hurler et pleurer. Évitant ses mains et pieds, à grosse difficulté le chef des gardes qui la transportait de l’entrée du château à travers la bâtisse, où les serviteurs semblaient alarmés et irriter par ses cris et le vacarme qu’elle causait. Par le temps qu’ils avaient enfin, arrivent à une chambre, sur le deuxième étage, Judith était déposée sans douceur sur un lit de plume. Sautant du lit immédiatement, déterminé à échapper de cette chambre, elle suivit après lui.
-Juste fait comme vous êtes dit, Dit-il sans joie, la poussant de lui avant de partir.
-Non, Aude et Anne sont mes sœurs ! Elles ont besoin de moi ! Rétorqua-t-elle à pleine voix.
-Elles sont probablement mortes, Répondit le guerrier indifférent avant de fermer la porte dans sa face et la barrer.
-Nooon ! Sanglota la noble à la cruauté d’une geste aussi remplisse de malice, même-ci ce n’était pas vrai. Ce ne pouvait pas être vrai, elle se dit car elle ne le laisserait jamais être vrai.
*****
Les cris de la fille résonneraient dans les oreilles d’Armel pour des années, ou du moins Judith l’espérait. Car au fil du prochain jour c’était Armel qui était envoyé pour s’occuper d’elle et ses besoins. Elle s'était habituée au petit chambre qu'on lui avait donné, avec un lit de plume, qu'elle considérait comme un luxe. Une table de bois, avec un panier de fruit était à côté, de la fenêtre et une seule chaise. Autre que cela, il n’y avait rien sauf pour un seau pour la toilette, un tronc de bois, contre le mur opposer au lit. La laissant sans rien faire pour des heures entre les visites du garde.
-Où est mon frère ? Lui demanda-t-elle la minute qu’il arrivait dans sa chambre, la deuxième journée après son arrivée, à Norvert.
Ayant juste rentré après qu’elle avait fini de faire sa toilette, elle attendait avec impatience la réponse du chevalier. Qui se pressait contre un mur pendant que des serviteurs entraient pour tout nettoyer et réorganiser avant de départir à nouveau.
-Il reste parmi les serviteurs, qui ont des ordres à lui donner du travail, dans la cuisine. L’informa le garde d'un ton neutre, portant comme toujours son armure pour qu’elle se demandât s’il était né avec cette armure sur lui.
-Il est un noble, rester parmi des servantes dans la cuisine est une grosse insulte, à notre ligne ! Vous devez être battu pour une telle présomption ! Réprimanda Judith furieuse, car dans les veines d’Adalbert coulait du sang plus pur, que toutes les autres familles en Norençie.
-C’est sur les ordres de la Comtesse, Déclara Armel haussant ses épaules massives et costaudes. Et personne ne peut la contredire, sauf pour le Comes lui-même.
-Mais ce n’est pas juste ! Ma sœur est quelque part dans le monde sans protection, mon autre demi-sœur est dans le même état et mon frère est traité comme un inférieur à cette maudite salope.
-C’est la vie, il n’y a pas de justice dans ce monde, Répondit-il de la même voix sans intérêt.
-Ne me parle pas de justice et injustice, je sais plus que toi ; je répète pourquoi est-ce que tu n’aides pas mon frère ? C’est le moindre que tu peux faire, comme un chevalier. Demanda la noble impatiente et plus assurer d’elle-même maintenant.
Elle avait même un plan ; elle allait figurer où Aude était avant de disparaître, la retrouver après avoir échappé avec Adalbert et Anne. Ensuite, ils iront au roi pour de l’aide à réclamer leur héritage.
-Parce que j’ai, des ordres à te surveiller jusqu’à ce que je sois appelé, puisque la comtesse attend pour des nouvelles de son époux. Dit-il avant que quelques coups sur la porte le distrait, de la noble fille. Ouvrant la porte, Armel penchant en avant pour adresser le serviteur qui murmurait dans son oreille pour quelques secondes avant de sortir de la chambre. Réalisant qu’il partait, et que cela, la laisserait sans nouvelle ou quelque chose à faire encore.
-Attends ! Et si je veux quelque chose ? Questionna-t-elle l’attrapant par son bras, pour le retenir ne voulant pas perdre cette opportunité, avant qu’il ait départi.
-Alors cogner sur la porte, Répondit Armel jetant un coup d’œil impatient aux deux hommes qui regardait cette scène, avec un peu trop d’intérêt.
Tirant son bras d’elle, la porte fut fermée fortement la laissant à nouveau toute seule comme toujours. Attendant quelques minutes comme elle avait fait, durant le dernier jour, courante à la fenêtre. Observant les sentiers qui étaient, pas mal régulier juste en bas d’où sa chambre était, avec leurs dos dans sa direction. Dans le passé Judith était tombée endormie pendant qu’elle les étudiait. Car les étudier était la seule chose qu’elle pouvait faire, pour passer le temps. Elle avait déjà mémorisé leurs routes, leurs habitudes du mieux qu’elle le pouvait, qui voulait dire que la plupart des gardes n’étaient pas à l’intérieur du château, sauf pour un ou deux.
Alors cela laissait presque juste des serviteurs à l’intérieur du château donnant à la noble une opportunité à s’échapper aux cuisines, pour trouver Adalbert. Étudiante sa jupe, Judith notait comment saine c’était et comprenant que le matériel était probablement trop riche, elle l’enlèverait autant que pour cette raison que pour cette couleur, verte pour une jupe blanche.
Ses yeux tombèrent accidentellement sur le feu dans le coin de la chambre, pour qu’elle le considère, pour une longue minute. Elle ne pouvait pas prétendre qu'elle était une servante, d’un rang trop inférieur, puisque les servantes élevées en position étaient d’habitude bien habiller pas comme la plupart des paysans et se connaissaient trop bien.
Sachant que se pourrait prendre des heures avant que la nuit tombe ou qu’elle soit prête à descendre, de la fenêtre. Et de plus elle savait que ce seraient plusieurs heures avant qu’Armel retourne.
Mais je peux quand même commencer quelques préparations, se dit-elle presque courant au tronc de bois bâtis pour contenir du linge. Saisissant les jupes (des cadeaux du comes) elle commença à les attacher ensemble lentement puisqu’elle voulait s’assurer que c’était prêt, quand le temps viendrait. Elle venait tout juste de finir et remettre les jupes dans le tronc elle entendit la porte, s’ouvrir. Sautant à ses pieds du lit, elle vient proche de se trébucher si remplit de panique, était-elle à cacher son projet dans le placard.
-Avant que vous demandiez après tes sœurs ou frère, rien n’est changé, Grognait Armel apportant dans ses mains une petite table avec le souper de la jeune fille. Là, manger.
Silencieuse, elle soupira rencontrant des difficultés à contrôler son cœur qui était presque sur le point de sortir de sa poitrine, si férocement battait-elle. Suffoquant à cause de sa proximité avec le placard, elle essaya de dissimuler son désarroi et sa panique, mais n'était pas sûre de comment elle parvint à le faire.
-Est-ce que je peux manger, toute seule ? Demanda Judith d’une voix étouffée, espérant qu’il ne pouvait pas voir sa vraie raison pour son hésitation.
-D’accord, Acquiesça-t-il, une expression incertaine sur sa face, Je te reverrais dans quelques jours.
Ce morceau d’information la surprise énormément, pourquoi enlever le chef des gardes de sa compagnie ? Elle découvrait une nouvelle dont elle était incertaine quant à sa réaction : devait-elle être emplie d'espoir, pour un garde moins rusé, ou déçue ? Et pourquoi réagir avec du désappointement, ce n’était pas comme s’il était la meilleure compagnie.
-Pourquoi ? Questionna-t-elle à travers des lèvres sèches, gratifié que le jeune homme n’avait pas avancé de près de la porte, ou tourné sa tête vers le placard.
-Parce que je dois partir pour rencontrer le comes pour la comtesse avant qu’il arrive ici, Expliqua-t-il doucement. Dans mon absence, Jehan le sous-chef serait en charge de votre sécurité.
Jehan le garde entra dedans la chambre un peu, il était un homme costaud, avec des beaux cheveux bruns, des yeux clairs et une noirceur sur sa face. Cette impression de noirceur et le regard désireux de Jehan la rappelaient fortement de Charles, et la firent frissonner.
-Madame, Dit-il l’adressant respectueusement.
Ne voulant pas le regarder ou réplique à cause de son regard insultant, elle frissonna encore, ses bras croisés dessous ses seins. Son regard impatiente sur Armel qui semblait comme s’il prétendait ne pas remarquer l’air inconfortable entre l’autre garde et elle.
-Pendant que tu es responsable, assure-toi de sa sécurité et veille à satisfaire tous ses désirs, tout en t'assurant qu'il y a toujours deux gardes à l'extérieur de sa chambre. Disait Armel à l’autre homme d’un ton sévère, pendant que la fille les étudiait, cyniquement.
- Oui mon sieur. Répondit Jehan avec un autre regard rempli de promesses noires vers elle.
-Est-ce qu’il y a des questions ? Demanda l’aîné des deux hommes lançant un coup d’œil, à chacun des deux présents.
-Est-ce que je peux manger toute seule ? Répéta-t-elle impatiente, puisqu’elle voulait s’échapper à tout prix, aussitôt que possible. En particulière avec un garde comme celle-ci.
-Ah oui, madame, Consentit Armel avec un hochement de sa tête. Viens Jehan, je veux m’assurer que vous êtes confortable avec la sécurité alentour de sa chambre.
-Je suis déjà familier avec sa sécurité, Protesta l’homme en question.
-On doit s’assurer chaque jour que personne, peut entrer sans être vu, Rétorqua l'autre également fermant, la porte derrière lui au grand soulagement de Judith, qui n’appréciait pas le regard lascif de Jehan.
Sans attendre une minute de plus, elle mangea son souper toute suite puisqu’elle ne savait pas quand la prochaine fois, qu’elle mangerait. Elle avait presque négligé d'observer les bonnes manières que sa mère et sa belle-mère lui avaient enseignées, et qu'elle avait toujours inculquées à Aude et Anne pendant leur enfance.
Une fois le repas terminé, Judith prit toutes les couvertures de son lit en plumes et se concentra sur la tâche d'attacher les couvertures et les jupes ensemble, afin de former une corde improvisée pour descendre de sa chambre. Une fois ceci accomplie elle attacha la corde à une des extrémités du lit, au morceau de bois de la rampe pour être précis.
Satisfaite avec son travail, elle regarda dehors de la fenêtre avec un cœur palpitant et un esprit secouer par la peur et l’incertitude. Elle verrait que les cieux devenaient de plus en plus noirs, avec la nuit nourrissant son esprit, qui grandissait en puissance et influence. En plus, il semblait comme-ci la plupart des gardes étaient quelques parts d’autres, pas que se fit une différence à la fille de Bernard, qui était trop excité pour se ralentir ou arrêter sa descente.
Jetant la corde improviser de la fenêtre et jetant ses jambes sur chaque côté de la corde, le serrant entre ses jambes et avec ses deux mains. Elle allait dévaler le mur de la fenêtre du quatrième étage du fort, vers la terre dessous elle.
Une main et pied après l’autre juste un petit peu plus loin, se rassurait-elle se forçant à ne pas regarder dessous elle. Terrifiée et exciter en même temps, elle commença à descendre de plus en plus vite, jusqu’à ce qu’elle sentît ses mains glisser à cause de sa sueur, son cœur dans sa gorge, à la réalisation qu’elle allait glisser.
Mais ce qu’elle tomberait dessus était son derrière par terre ayant apparemment arrivé quelques centimètres de la terre devant la tour, où elle avait été placée, quand elle était arrivée à Norvert. Elle ne pouvait pas s’arrêter de commencer à ricaner à pleine dent à sa bonne chance, c’était preuve elle se dit de la protection du dieu d’honneur et guerre, Ziu.
-Et moi qui avais peur de tomber ! Se moqua la fille, amuser et ricanant silencieusement comme une folle.
Regardant alentour du coin après avoir ramassé elle-même de parterre, avant d’y aller à la recherche de la porte, pour rentrer puisqu’elle ne savait pas si Armel était déjà parti ou quand il serait de retours.
-Oïe, vous là-bas ! Hurla une voix décidément masculine d’alentour du coin, ayant aperçu la jeune fille. Qu’est-ce que vous faites ?
-Euh, c’est-à-dire c’est ma première journée ici et je cherchais pour l’enfant que je dois prendre soin de. Mentit Judith, s’attendant à voir une lumière de reconnaissance ou soupçon s’allumer dans les yeux du garde, comme le flambeau, qu’il portait dans sa main droite. Au lieu de la reconnaissance, juste de l’indifférence apparue dans ses yeux.
-D’accord dans ce cas, précipiter toi, à l’intérieur le Comes va arriver bientôt. Était la grave réplique.
-Oui.
Se précipitant par lui, se jetant presque à travers les portes ouvertes, devant elle avec sa tête baisser. Elle venait tout juste de commencer à réclamer un peu de son espoir, pour le futur quand elle fut tirée à une halte.
-Attends ! Ordonna l’homme l’immobilisant, en même temps qu’un autre garde apparu, la causant à fermer ses yeux et trembler un peu si effrayer était-elle. Fais face à Frédéric et moi.
-Thiébaut, qu’est-ce que tu fais, maintenant ? Demanda Frédéric le garde d’une voix agacé.
-Juste un moment, Répondit Thiébaut avant de dire à la fille, Lève ta tête, Madame.
Élevant sa tête elle ouvrit ses yeux, juste pour être confronté par une fleur blanche arrachée du sol d’à côté de Thiébaut. Fronçant ses sourcils, elle était complètement bouleversée et incertaine de quoi faire ou comment réagir.
-Pour la plus belle femme au monde, Dit-il l’offrant un grand sourire en plus de la fleur, il n’était pas beau, tandis que la générosité et douceur dans ses yeux la prirent par surprise.
Se méfiant de lui, puisqu’il était un homme et les souvenirs du dernier homme qui l’avait traité comme une femme était encore fraîche dans sa mémoire.
-Merci, Répondit Judith gentiment sans retourner le sourire, choisissant de pencher ses genoux et élever sa jupe un peu dans un geste de révérence polit, apprise depuis sa plus tendre enfance. Pour le plus charmant homme au monde.
Rougissant jusqu’à ses oreilles, avec sa petite moustache auburn et une face ridée, ni laid mais pas beau non plus, son sourire grandit. Tournante ses talons avec la fleur en main, elle se débrouilla de l’entrée juste pour s’arrêter à la réalisation qu’elle ne savait pas où les cuisines étaient. Ouvrant la première porte qu’elle découvrit, juste une salle à nettoyer en particulière pour du linge, avec quelques basins remplis d’eau.
Ramassant une cape brune usée, couvrante sa face avec le capet de la cape, presque complètement par l’élevant au-dessus de sa tête. Sortant de cette chambre pas encore totalement nette, pour retourner à la recherche de son frère. Il la prendrait deux autres tournées, un à la droite et une autre à gauche avant qu’elle admît sa défaite, assez pour arrêter une des servantes.
-Je regarde pour les cuisines, est-ce que vous pourrez me diriger vers elles, je suis nouvelle ici, le Sieur Armel m’a dirigé ici juste l’autre jour, Plaida Judith doucement à la vieillarde qu’elle arrêta, qui elle pensait serait gentille, juste pour être à nouveau déçue.
-Si c’est le cas, pourquoi est-ce que tu prends si longtemps pour aller vers là ? Gronda-t-elle furieuse, C’est juste par-là, derrière moi au gauche, la troisième porte de ce côté stupide sotte-
La femme pointait derrière elle, et commençait à abuser la plus jeune femme davantage, avec la fille l’ignorant en retour, déjà précipitant pour les cuisines. Exciter et ne voulant pas rester parmi ces maudits monstres, pendant qu’Aude et Anne étaient quelques parts d’autre sans doute, tourmentée et toutes seules sans protection.
Ouvrante la porte, ignorante le regard curieux d’un des chefs, presque courante d’une cuisine à la prochaine. Ses yeux allant d’un coin à l’autre à la recherche pour Adalbert.
-Oïe, toi-là qu’est-ce que tu fais ici ? Cria un homme après elle, pas que Judith le payait le moindre d’attention.
-Adalbert ! Exclama-t-elle désespéré, cherchant pour lui avec ses yeux sans succès.
Les cuisines étaient bâties similairement à ceux en Luçia, avec les fournots pressées contre un mur, de la porte, avec des tables couvrant le reste de la chambre, et une autre porte menant à la prochaine cuisine. Considérant combien de gens qu’ils avaient à nourrir, c’était naturel qu’il y ait plein de cuisines, de tables couvertes de nourriture et de serviteurs courants ici et là, à toute heure du jour et nuit. En plus de cela, il y avait la viande qui était toujours en train d’être cueilli sur les broches dans les fournots, au-dessus d’un feu vif, supervisé par un serviteur attentif, si un peu préoccupé.
-Judith ! Répondit-il aussitôt, la causant à courir en avant à pleine vitesse.
Le voyant vêtu comme un serviteur, en laine déchirée en certains endroits et grise, épluchant des pommes de terre avec un couteau court, près d'une broche de viande sur l'un des feux allumés dans l'une des cheminées de la deuxième cuisine qu'elle recherchait.
-Adalbert ! Cesse cela, on part d’ici ! Murmura-t-elle à lui arrachant sa main du travail, avec son autre main elle saisit son couteau, notant immédiatement comment mal aiguisé, ça l’était.
Le cachant dans sa manche, et sa cape, elle était forcée par une main sur son épaule à se tourner pour faire face au chef de la cuisine, qui l’avait suivi jusque-là.
-Qu’est-ce que tu fais, madame avec notre nouveau garçon ? Demanda le cuisiner d’elle, agacer et furieux.
-Il est mon frère ! Cria-t-elle à lui considérant attaquer cet homme avec son couteau caché.
-Et alors ? Était la rétorque, c’étaient les derniers mots qu’ils échangèrent avant que Judith réagir à ses paroles, par le donnant un coup de genou entre les jambes.
Le coup était suivi par la fille arrachant une autre, plus grand couteau de la table, laissant Adalbert allez pour forcer la lame à travers la gorge du cuisinier, sans hésitation. Reprenant la main de l’enfant pour laisser le chef saigner à mort, et forçant son frère à la suivre.
-Courre Adalbert courre ! Ordonna Judith à lui pendant que le chef mourant tombait aux pieds d’où ils étaient debout, deux secondes plutôt.
Courant de là, pour la salle du château ensuite à l’entrée de la forteresse levant son capet avec une main, pendant qu’elle courrait. Dépassant les deux gardes complètement surpris et embarrassée par son retour inattendu. Et soudainement les deux jeunes étaient dans les plaines entre le château et le village qui entourait les murs. Le fort et la cour fermement derrière eux.
-Judith attend ! Laisse-moi respirer et rattraper mon souffle, Haletait Adalbert désespéré et essouffler après avoir couru pour si longtemps.
-On ne peut pas Adalbert, on doit retourner à Luçia, Répondit-elle, le jetant un regard sévère avant de retourner son attention à la route en avant d’eux.
Soudain, au moment où elle commençait à penser qu'elle serait bientôt libre, elle fut jetée à terre par un coup de pied, sans avoir entendu les chevaux galoper derrière elle.
-Et où est-ce que vous allez ? Questionna la voix d’Armel maintenant devant elle, ayant donné à la fille un ferme coup de pied de son cheval, pour l’arrêter.
-Courre Adalbert ! Commanda Judith à son frère qui n’avait pas besoin d’entendre ce particulier ordre une deuxième fois.
-Jehan, prend le garçon ! Hurla le garde, au-dessus de son épaule. Mais doucement !
Respirant énormément pour l’aider à combattre la douleur qui remplissait son dos, qui sentait comme-ci c’était en feu. Judith voulait, rien de plus que de sauter en avant, contre Armel. Pas qu’elle avait une telle chance. Car, Armel anticipa ce qu'elle avait l'intention de faire, et descendit de son cheval, ensuite la prendre par la hanche avec son bras enlaçant sa taille par-derrière pour la soulever, à ses pieds.
-Je l’ai ! Rapporta Jehan après que la noble avait été mise sur ses pieds.
-Laisse mon frère aller sinon je te meurtrirais, cela, je jure dans le nom de Ziu le maître de tout honneur et promesses. Jura-t-elle voyant son frère jeter au-dessus de l’épaule du guerrier.
-Oui, je tremble déjà de peur en face à votre menace, Répondit le deuxième guerrier moqueur. Je ne suis pas un cuisiner, alors bonne chance.
- Jehan, ferme ta gueule et juste retournent les, au château, Grogna le chef des gardes irrité. Le garde arrogant a souri et a hoché la tête en prenant la fille par la taille pour la jeter au-dessus de son épaule. Retournant vers le château comme ordonné, sifflant d’une manière victorieuse. Pendant qu’Armel remontait à cheval, pour continuer sur son propre chemin.
Jehan le garde était fort, et grand. Assez pour porter Judith et Adalbert, un jeté au-dessus chaque épaule sans difficulté, pendant que tous deux le frappant et résistant du mieux qu’ils le pouvaient. Ils ont rapidement découvert cela, et malgré le fait de réaliser que leurs actions étaient futiles, ils ne se sont pas laissé décourager.
-Sieur Jehan ! Cria les deux gardes, les deux de plus tôt devant les portes du château, courant pour rencontrer leur supérieur pour cacher leurs anxiétés à propos des deux jeunes, qui venaient d’essayer de s’échapper de dessous leurs nez.
-Tiens, prenez le garçon quant à la fille je vais me préoccuper d’elle, moi-même. Les commanda-t-il impatient, presque jetant le garçon vers les deux hommes.
Judith sentit son cœur descendre et tomber d’elle, être toute seule avec un homme pouvait juste dire une chose. A cet instant, sans l'aide d'Armel, elle se rendait compte qu'elle devrait se protéger seule.
Elle était pour offrir une prière à Ziu pour obtenir la force et la chance nécessaires pour réussir le coup projeté. En préparation, elle choisit de cesser de résister avalante sa rage au traitement déshonorable, envers son frère. Mais elle savait qu’elle aurait une chance, à s’échapper bientôt.
-Vous deux, vous êtes démissionné, prenez le reste du jour au congé. Commanda l’homme, la transportant aux gardes autour de la porte de la chambre de Judith. Sursautant, ils firent comme diriger, elle ne pouvait pas bien voir, mais elle pouvait sentir la surprise des deux hommes.
-Mais nous avons été ordonnés de rester ici, par ordre d’Armel, et la comtesse. Protesta le premier homme faiblement contre leur supérieur arrogant, le rappelant de leurs devoirs.
-Vous voulez me dire que vous voulez rester ici, où l'on peut vous trouver après avoir presque dissuadé la Dame Judith de s’échapper. Interloqua l’homme costaud furieux, apparemment agacé par le fait qu’ils ne l’écoutaient pas immédiatement.
-Et la dame ? C’est interdit de- le deuxième homme allait protester à son tour, jetant un regard soucieux et compagnonnant vers Judith, qui ne vit pas puisqu’elle était encore sur l’épaule du guerrier de Norvert.
-Si vous êtes encore ici, quand je sors de cette chambre je vais mentionner au Comes ce qui est arrivé, Rétorqua celui qui la tenait, sa face presque pressée contre celui qui l’avait questionné.
-Oui, Sieur. Répliqua les deux intimidés par lui, et de ce façon Jehan avait gagné sa chance à être tout seul avec Judith, sans être interrompit.
Elle a eu de la chance que Jehan ait attendu que les gardes soient partis de là avant d'entrer dans la chambre. Ceci, était ce que Judith attendait pour. Peut-être avec plus d’anxiété que lui. La porte était bientôt fermée derrière lui, avec Jehan la jetant sur le lit, avant d’avancer pour se tenir debout devant elle. Se levant de son siège, elle le fixa longuement, tentant de dissimuler ses intentions derrière un regard doux. Debout là dans le milieu de la chambre, il éleva ses mains pour prendre son visage, pour la forcer à l'embrasser. C’était seulement à ce moment qu’elle agit finalement. La lame, perçant à travers son front, juste au-dessus de son œil gauche.
-Aïïïïïïeeee !
Tirant la lame de sa tête pour l’épargner à travers son front une deuxième fois, elle suivit ce coup, avec une autre à la même location, de ce dernier coup. La poussant de lui futilement, elle regrimpa immédiatement à ses pieds, pour l’épargner encore, suivi par plusieurs d’autres coups. Mourant, son cerveau percé et saignant, le gros homme tomba en avant, sans un autre pensé ou acte dans le monde des mortels.
En avançant, avec un petit cri qui a suivi, elle a failli céder sous le poids de l'homme contre elle. Son dos et bras criant de douleur, mais pas autant que la douleur qui l’attaquait du derrière de sa tête. La douleur qui départit, quand elle fut distraite par la douleur venant de ses jambes encore piégées, dessous le gros homme. Au cours d’une période qu’elle ne pouvait pas définir, elle était soulagée quand elle s'était retrouvée assise à côté de lui.
-Finalement, Réjouit la dame à elle-même, heureuse d’avoir la chance de se sauver, pour la deuxième fois, ce jour-là.
Présentement, il fallait retrouver Adalbert et s’échapper à nouveau. Une fois qu’elle était sur ses pieds, elle ne gaspilla pas de temps à ramasser sa lame et courir à la porte, et l’ouvrir. Sortante de la chambre, courante aussi vite qu’elle le pouvait, terrifié et affolé par le besoin de se sauver, et de sauver son frère.
-Et où est-ce que tu t’échappes à, maintenant ? La surprise fut grande lorsqu'elle tourna le premier coin de sa chambre et entendit une voix glaciale. C’était la Comtesse, entouré par une demi-douzaine de gardes.
-Je, euh- bafouillais la fille incapable de trouver les propres mots, si défaite était-elle par la vision des guerriers armée jusqu’aux dents devant elle.
-Si rusée, ainsi que si bête, prends la sotte au donjon, on va voir comment elle s’échapperait d’une cellule. Ordonna Élène narquois, amusée.
-Non ! S’il vous plaît, je vous supplie juste laisse Adalbert partir, je t’en supplie ! Plaida Judith sans plus de succès que plus tôt, en larmes et remplit une autre fois de désespoir. Saisie par deux des hommes, elle n’avait jamais une chance, de se fuir d’Élène.
-Assurer vous, de la renier de la nourriture pour ce soir, pour cette particulière incident, était les ordres additionnels donné aux guerriers. Pour la rappeler où ses loyautés devrait être.
Paniquée, Judith se battra aussi bien que possible, sans succès. Porté plus loin dedans le château, avant d’être amené à travers une porte connectée au premier étage, au cours en arrière de la bâtisse. Une fois dehors la jeune femme fut forcée, dedans une cage faite de bois avec une puanteur si terrible, que Judith savait déjà que d’être forcé dedans une telle place, serait sa mort.
-Vas-y, ‘madame’, on a une belle chambre spéciale déjà, préparé pour toi, celui qui appartenait à un temps à nos autres chiennes. Taquina un des gardes, avant de la jeter là-dedans dans la boue, besogne et rats parterre dedans la cage.
-Non ! elle avait hurlé une dernière fois, avant d’être jetée, terrifier par les rats sautant aussi vite que possible à ses pieds et en place, pour les évitées. Et sur la cotte, mais les rats couraient ici et là, même sur la petite cote dans la cellule.
-Regarder la danser, définitivement une noble, Blagua un des hommes, montrant aucun respect envers elle.
-Oui, remarqua le deuxième avec un sourire narquois à elle.
Frottant et crachant la besogne et boue de sa face, elle eut du mal à retenir ses larmes, pleurant là en pleine vue, de ses capteurs.
Pourquoi est-ce que cela m'arrive ? Se demandait-elle, pleurnichant remplie de pitié pour elle-même.
Reading the first half, Judith is asking for trouble, first on the trip to the tower, then at the tower.
I have a strong suspicion that if she isn't careful, she's going to be accosted by Jehan of the Lacivious looks.
2nd part: Well, the lady Judith just earned a death, if not worse, should they catch her. Killing man is no small thing. Especially since he wasn't hurting her.
Scheiße, Das dumme Mädchen. Killing two men is probably going to be a death sentence for sure.
La chica tonta.