VI
Pour deux semaines Henri était rarement présent dans la maison de Jehan père de Thomas, le Douvain qui avait sauvé Henri. Maria était attentive à aider Adeline, la mère de Thomas, avec les tâches ménagères de la maison, en ce qui concerne les femmes de sa famille. Elle était soit occupée à aider Henri, soit à jouer avec les autres enfants. Quant à Ildégarde elle comme une fille de quatorze saisons, dans cette importante période entre l’enfance et être une adulte, elle avait porté volontiers pour aider Adeline. Elle et Aude étaient présentement des apprentis à la mère de Thomas. Pour l’aider et pour apprendre comment mieux être des épouses quand le temps viendrait pour le mariage.
Ce qui dérangeait Aude le plus des derniers deux semaines c’étaient que Thomas avait aucun intérêt en eux après les premiers deux ou trois jours. D’habitude partant durant le jour pour se préoccuper des besoins du village de Daupine, ou pour aider son père. Il vivait non seulement dans le moulin, mais il était aussi le seul à y travailler, et avec son âge avancé, il avait grand besoin d'aide. Pas que son fils, semblait du tout intéresser en lui, ou en les difficultés que lui et sa femme faisaient face à. Alors, il arrivait qu’Henri l’aide souvent sur ce front.
L’autre chose qui la dérangeait était le fait qu’Henri récemment semblait exciter par son travail, saisi par une énergie qu’Aude trouvait étrange et qui attirait ses soupçons, envers sa passion pour être près de Guillaume chaque jour.
-Prenez soin petite fille, qui t’a appris à faire de la nourriture à main ? Adeline plaignit juste pour noter le bon effort, et expérience d’Ildégarde. Très bien ma chère, tu devrais aspirer au niveau de technique démontré par Ildégarde.
Je sais ! Pensa la muette agacée par les paroles peu complémentaires de la vieillarde.
-Tiens, Isabel. Fit Ildégarde la montrant avec des coups lents et délibère de comment couper les légumes.
Aude était si captivée par les coups parfaits de l'autre fille qu'elle n'a même pas remarqué l'appel d'Ildé, mais Maria et Adeline, présentes à ce moment-là, ont bien noté le nom donné.
-Isabel ? Demanda Adeline intriguée et souriante d’une manière maternelle, qui mollifia Aude.
Elle est peut-être des fois irritantes, et une paysanne rustique, mais de temps en temps, en des moments comme celle-ci quand elle me fait penser à Papa ou Maman, je l’adore. Nota-t-elle, supprimant un soupir de tristesse à la mémoire de ses parents morts. Son père à une maladie, et sa mère qui était tombée entre les mains de Bertrand, avant qu’il l’ait mis à mort, une année plutôt.
-Après notre mère, Répondit l’autre fille heureuse, On ne sait pas son vrai nom alors, j’ai décidé de la nommer après Maman.
-Non ! Je n’approuve pas de cela, je ne veux pas remplacer Maman ! Pleurnicha Maria rebellant contre la notion avec toute son cœur. Le nom de sa mère la rappelant de combien elle manquait son vrai, mère Aude devinait.
-Alors qu’est-ce que tu veux petite bébé ? On doit l’appeler quelque chose ! Gronda Ildégarde exaspérée.
Quand à Aude elle n’avait pas pensé à prononcer son nom à ces plébéiens car elle savait pour un fait qu’aucun d’entre eux, ne savait comment lire ou écrire. Thomas, bien qu'il fût soupçonneux, se sentait incapable d'écrire en raison de sa modestie et de son humilité. Elle était surprise par l'idée d'un autre nom, mais elle ne la rejetait pas.
-Vous deux calmez-vous, Ordonna Adeline essayant d’éviter une confrontation.
-Non, je veux Maman, pas une prétendante. Cria Maria à plein poumon.
-Qu’est-ce qui arrive ici ? Demanda Henri arrivant dedans la maison après avoir travaillé pour presque toute la journée. N’ayant pas entendu l’entier argument entre les deux sœurs, Aude ne pouvait pas le blâmer pour sa confusion.
Chaque jour, dès qu’Henri rentrait du travail, Aude interrompait ses activités pour l'observer. Venante proche de se couper, Aude cessante de couper avec la lame dans sa main, elle sentit sa gorge sécher quand elle vit la sueur qui le couvrait, et qui le forçait à enlever sa tunique. Regardant pour son autre tunique, la seule autre qu’il avait, sans comprendre qu’il donnait une bonne vue de ses muscles presque complètement retourner, il tournait vers elles.
-Maria, est en train d’être bête, Plaignit Ildégarde à pleine voix avant de murmurer. Et tu vas juste prendre son côté.
-Non, c’est Ildé qui ne respecte pas Maman, et sa mort. Hurla Maria à son frère en même temps, causant leur frère à cesser sa recherche pour sa tunique, pour les fixer d’un regard exaspéré.
-Quoi ? Demanda-t-il d’une voix rauque, pencher contre le mur de la maison.
-Non ! J’ai juste simplement suggéré d’appeler la muette ‘Isabel,’ après Maman, Expliqua Ildégarde ses yeux mouiller avec des larmes qui n’avaient pas encore coulé.
-C’est vrai Henri, c’est tout ce qu’Ildégarde voulait faire, Supporta Adeline l’enfant de milieu, ajoutant pour bonne mesure. Mais Maria naturellement manque sa mère et ne veut pas la remplacer.
-Est-ce vrai Maria ? Questionna-t-il ramassant la fille qui reniflait, saisit par la tristesse elle pleura contre son épaule pour quelque temps avant de répondre.
-Oui, mais je veux Maman, pas un remplaçant, Elle maugréa à lui, pendant qu’il offrait un massage au haut de sa tête.
Quant à la cause de la différence entre les deux filles elle était encore paralysée et bouche-bée. Alors elle ne payait pas attention à l’argument entre ses deux amies si frapper était-elle, par sa masculinité, en ce moment. Elle avait vu pleins d’hommes à moitié nus dans le passé, pourtant, ces autres hommes étaient sois des relations, comme Bertrand. Ou des hommes comme des chevaliers, qui étaient presque des relations.
-Et est-ce que vous avez demandé à elle, ce qu’elle veut ? Henri demanda son regard et celle d’Adeline tombant sur elle.
Attraper dans l’acte d’étudier la physique d’Henri, un paysan elle sentit ses joues devenir écarlate, contre son gré quant à Adeline, elle la donnait un regard amusé et connaissant. Qu’est-ce qu’il y a avec elle, et pourquoi est-ce qu’il n’a pas encore enfilé une tunique, pour se couvrir ? Aude pensa à elle-même, impatiente avec lui et elle-même pour son manque de dignité à cette minute.
-Est-ce qu’Isabel te fait ? Ildégarde questionna anxieusement, clairement investis dans l’idée de la donner son nom favori, à sa confidente.
Baissant sa tête pour réfléchir au nom qu’ils envisageaient de lui donner et pour cacher ses joues rougies, son cœur battait rapidement à cause de l'apprenti boucher à moitié dénudé. Ce n’était pas un mauvais nom, elle se dit et c’était une marque de l’affection et amitié, qui avait été née entre elle et l’autre fille. Jusqu’à ce qu’elle puisse figurer comment les dit son vrai nom, elle répondrait à celle-là, alors elle les laissait savoir cela, par hochant sa tête lentement, hésitante encore un peu, avec cette idée. C’était comme-ci elle abandonnait Judith et Adalbert, et le reste de sa famille, ce qui cause un peu de nausée à infiltrer son estomac.
-Hourras ! J’ai gagné ! Cria Ildé excité jetant ses bras en l’air d’une manière triomphale. Ce semblait à la surprise et alarme d’Aude, qui était certaine que ce petit acte de victoire, garantirait la perte du nom d’Isabel.
-Vraiment ? Il semblait plutôt comme-ci elle rougissait, et baissait sa tête pour cacher cela, au lieu de hocher sa tête. Suggéra Adeline une lumière amusée dans ses yeux bleus. La fille de Bernard l’Ancien, pourrait la tuer elle était si embarrasser, si elle rougissait avant, maintenant ses joues étaient positivement en feu.
-Non ! Le nom ‘Isabel’ est bon avec toi, oui ? Dit son amie pressant elle, voulant une petite mémoire vivant de sa mère, contrairement à sa sœur, et pour gagner contre elle, même-ci c’était juste une fois, elle soupçonnait.
Touché, oui Ildé voulait cela pour peut-être des raisons égoïstes mais Aude sentait l’affection, de son amie fortement. Pour elle son la rappelait comme toujours de sa sœur Judith, sa compassion et douceur alors comme toujours Aude trouvait qu’elle ne pouvait pas dire non à Ildé, comme avec Judith. De cette famille, elle était sa favorite, ben elle et Henri. Pas qu’elle n’aimait pas Maria, mais la petite fille était toujours en train de capturer l’attention d’Henri, ou jouer alors elle ne la voyait ou était consciente de sa présence que rarement.
Hésitante, et incertaine d’elle-même, et piéger par amour et fierté pour le nom donner à part son père et mère. Et la réalité qu’elle ne pouvait plus parler ou communiquer avec personne, à propos de son identité réelle, elle choisit de hocher sa tête lentement, une autre fois.
Leur mère apparemment bien-aimée, était nommée ‘Isabel’ j’espère qu’ils me donneraient le même niveau d’affection, un jour. Aude rationalisait, changeante la direction de ses pensées quand son regard était tombé sur Henri, qui la regardait en retour, à ce moment. Elle réalisait aussi, que sur un niveau pratique elle pouvait faire rien d’autre que d’accepter, ce nom. Jusqu’à ce qu’elle trouve une façon de communiquer proprement avec eux.
-Auggah, elle essayait de dire, sachant que sa tentative n’avait aucune chance.
-Hourrah ! Tu es dorénavant, Isabel ! Célébra Ildégarde excité et heureuse que son amie avait consentie au nom. La caressante, la deuxième des trois enfants de Barthélémy sautant presque en avant comme une petite fille, pour la prendre dans ses bras.
Souriants un peu, à la joie évidente des filles, Henri et Adeline étaient divertis par la mécontente Maria qui n’était pas du tout heureuse, à cette minute par cette décision.
-Je ne veux pas l’appeler cela, Répondit Maria impatiente et déterminer à avoir ce qu’elle voulait.
-Laisse ta sœur et Isabel être, Maria, Ordonna Henri plaidant, voyant que la jeune fille n’écoutait pas, il ajouta une promesse. Si tu veux, je te fabriquerai quelques d’autres jouets.
-Pas un autre jouet, Grogna Ildé sans réfléchir haussant ses épaules quand Henri répondit avec un petit sourire.
Henri a mis Maria par terre pour recommencer à chercher sa chemise, comme il l'avait promis. Pendant ce temps, les femmes étaient occupées à préparer le dîner et à féliciter Aude pour son nouveau nom.
-Ben, maintenant qu’Isabel a un nouveau nom, on doit célébrer ce soir, Adeline annonça remplit d’enthousiasme à avoir quelque chose à célébrer.
-Avant cela, Ildé où est ma tunique ? Demanda-t-il son ton important.
-Pourquoi est-ce que tu as besoin de ton linge ? Je ne l’ai pas encore lavé, L’informa-t-elle curieuse attirante l’attention de son amie vers le corps du haut nu, de son frère. Elle réprimanda son frère en voyant le regard timide et embarrassé d'Aude. Henri remet ta tunique, je vais laver ton linge demain !
L'homme remit sa chemise de la même manière que sa sœur lui avait dite de faire, pendant qu'Aude ressentait une énorme vague de déception.
Embarrasser par ses propres sentiments de désappointement, alors forçant elle-même à retourner son attention à couper la nourriture en devant d’elle.
-Merde, Henri jura avant de presque courir de la maison.
-Henri reviens bientôt on va manger aussitôt que c’est possible, Adeline cria après lui.
-Je vais voir, je dois travailler tard ce soir. Il répliqua à son hôtesse, au-dessus de son épaule. Mais je vais parler avec vous plus tard, il y a quelque chose que je dois vous dire.
Aude espérait sincèrement qu’il retournerait bientôt pour manger ce qu’elle avait préparé pour lui.
Elle espérait en vain, car il ne retournerait pas pour une entière journée…
*****
Après avoir réveillé tôt dans le matin le prochain jour, réalisant presque aussitôt de sa position à la table où elle avait endormi, pendant qu’elle attendait pour Henri. Craquante son dos, qui n’était guère confortable à cause, de la position qu’elle avait dormie, avec sa tête sur ses bras sur la table. À son choque, Henri n’était pas la seule personne qui n’avait pas retourné.
Ce devenait évident à elle que Thomas qui elle espérait demander d’une façon ou une autre, pour l’enseigner la magie et le médecin, n’était pas revenu non plus.
C’étaient des moments comme ceci, qu’elle haïssait beaucoup son handicap, des moments quand elle ne pouvait plus communiquer, demander des choses de ceux alentours d’elle, quand elle voulait les parler.
Se levant de la table et le siège, le derrière de sa tête inconfortable et son regard comptant les gens présents. L'époux ronflait bruyamment en passant par la 'chambre' où Adeline et Jehan se couchaient. Retournant à la table pour nettoyer la nourriture de la table, sentant ridicule et bête. Au moment exact, où elle avait ramassé la carotte bien coupée, sursautant quand elle entendit Adeline l’adresser.
-Ah, est-ce qu’Henri n’est pas retourné hier, soir ? Demanda la vieille dame soudainement apparaissant dans la partie principale de la maison.
-Ô ! Aude hurla, surprise n’ayant pas entendu la matriarche de la famille du douvain Thomas, se lever pour le jour.
-Même une femme aussi immense que moi, sait comment bouger silencieusement, Fit Adeline à la réaction d’Aude, qui sa surprise derrière elle se relaxait.
-Aagauh, Aude tenta de dire, ayant attendu pour une telle éventualité, elle avait réfléchi rapidement et figurer comment transmettre ce qu’elle voulait dire à l’autre femme. Mettant ses bras dessous ses petits seins, ses bras mis ensembles comme-ci elle portait un bébé dans ses bras et commençant à bouger son corps supérieur horizontalement, pour ajouter aux effets avant de pointer à la femme plus vieille.
Comprenant ce qu’elle essayait de le dire sans parole, - Ah, est-ce que tu demandas après Thomas ? Aude répondit par hochant sa tête, Il a départi pour retourner au monastère de Claude, pour un petit peu avant de continuer pour le temple de Neimon.
La nouvelle était un coup à l’estomac pour la fille adolescente, qui sentit sa déception se doubler, en plus de ne pas pouvoir prouver sa valeur et remercier Henri, et demander ou voir si Thomas pourrait l’introduire à un couvent ou temple.
Neimon était loin, en Angnon quant au monastère de Claude, elle était sur l’autre main, proche juste trois jours à l’est d’ici. Réalisa-t-elle incertaine de comment réagir, avec Angnon au nord-est de Blêmer, et directement à l'Est d’Hector.
-Et Henri ? Est-ce qu’il est retourné ? La question était répondit par Aude secouant sa tête presque totalement couverte par des cheveux rouge en réponse, à la question demander par Adeline. Je vois, désappointer ?
Au regard questionnant d’Aude la femme ricanait sans cesse, même si c’était un rire silencieusement.
-Je ne suis pas aveugle et je me souviens comment ce sens d’être jeune, Murmura Adeline, ajoutant couverte d’enthousiasme. Ah, à être jeune encore, je me souviens bien comment se sentait d’être en amour, ah si tu avais juste connu Jehan quarante ans plus tôt…
Adeline était perdue dans son propre monde de pensé, regardante dans le passé avec une petite sourire sur ses lèvres. Le moment nostalgique fut interrompu quand la porte, s’ouvrit et Henri entra regardants distinctement heureux. Surprise à nouveau mais heureuse de le revoir Aude tournait pour le voir, juste pour s’arrêter quand elle avait goûté à pleine narine la puanteur de la viande, sueur et sang qui venait de lui, à cause de son nouvel emploi.
- Et où est-ce que vous étiez durant cette soirée ? Demanda la vieillarde clairement agacée, montrant ce qu’elle pensait ou assumait ce qu’il faisait durant la soirée. J’espère que c’était Guillaume qui tu as fait appel et pas une petite sotte.
Aude bougea son regard à elle, surprise et agacer même-ci Henri était un homme et un paysan, elle savait déjà qu’il ne ferait jamais, une telle chose. Et en plus ce fait juste quelques jours qu’ils sont dans ce village elle se dit alors il n’avait pas pu trouver le temps pour se trouver une fille à dormir avec, sauf si c’était un prostitué. Mais il n’était pas le type à faire ce sort de chose, dans son opinion.
-J’étais avec Guillaume, l’aidant et discutant nos options futures avec lui, Rassura Henri rougissant, à l’implication contre qu’Adeline venait de suggérer.
-Vraiment ? Demanda Adeline ne le croyant pas, ce qui fit Aude soupçonneuse que c’était qu’Henri évitait son regard.
-Maintenant est-ce que les filles couchent encore ? Demanda-t-il à son tour, juste pour réaliser avec un coup d’œil irrité à Adeline, qui le regardait encore soupçonneuse exclamant exaspéré et agacer par cette suggestion. Je n’ai touché aucune femme !
Soupçonneuse maintenant à sa tour, de ses joues rouges, Aude choisit de laisser le sujet tomber, jurant d’investiguer ceci davantage plus tard. Quant à Adeline elle avait décidé de laisser le sujet tomber.
-Et la nourriture ? As-tu peut-être faim ? Questionna la matrone le jeune homme d’une voix beaucoup plus sucré, qu’avant.
-Hmm, j’ai déjà mangé mais je suppose que je peux grignoter sur quelque chose, pendant que je discute ce que je dois discuter à propos de avec Maria et Ildégarde, quand elles seraient réveillées. Répondit le jeune homme relaxant un peu, mais quand même restant un peu anxieux ne comprenant pas qu’il venait de donner à plus de joie qu’elle pensait possible à ce moment. Elle manqua de peu de renverser de l'eau sur lui dans son excitation, ce qui le surprit tellement qu'il laissa échapper un petit cri.
-Aïe, qu’est-ce que tu fais Isabel ? Je veux manger et boire pas porter la nourriture et eau, Gronda-t-il encore exaspéré, ces mots l’arrêtant dans ses pas.
-Henri, tu es un idiot, Adeline l’accusa d’une voix rauque.
Combattant la douleur que les mots impatients de l’homme assis, avaient infligée sur elle, Aude finir de couler l’eau dedans un gobelet de pauvre qualité de brasse.
-Quoi ? Répliqua-t-il insulter avant de tourner vers ses sœurs, encore mi-endormi. Ô, je m’en fiche, vous les femmes sont presque toutes folles.
S’assurant que le souper qu’elle avait cueilli pour lui, était encore bon par prenant les plus petits morceaux que possible pour en goûter. Contente du résultat, bien que cela demeurât tout de même modifiable.
Son dos à elle et Adeline, il parlait et secourait ses sœurs, jusqu’à ce qu’elles soient éveillées ensuite il les poussa doucement vers la table, pour s’asseoir avec lui.
-Qu’est-ce que tu fais ? Pourquoi nous réveiller ? Grogna Ildé, une adolescente à son cœur, elle détestait être réveillé même-ci c’était pour une bonne raison.
-Je dois vous parler à propos, de ce que nous allons faire dans l'avenir, Dit-il assissent à nouveau sur une chaise de bois, entre ses sœurs. Guillaume considère s’il va me garder comme apprenti et une fois que je suis stable dans ma position je vais pouvoir vendre ma propre viande, et peut-être aider Guillaume par prenants soins des animaux il achète, puisque j’en sais plus que lui à propos d’eux.
- D’accord, Répondit sa sœur lentement, Et qu’est-ce que cela a à faire avec notre futur ?
-Ben, on s’est parlé et j’ai considéré quelque chose, je planifie bâtir une maison ici, dans le village. Expliqua-t-il d’une mine tentative, disant quand Aude lui servit des pommes de terre et de la soupe bien chauffer sur le feu, ou l’était avant qu’elle soit tombée endormie.
-Merci.
-On va rester ici ? Demanda Maria remplie s’était apparente d’espoir.
-C’est ce que je planifie, Admit son frère souriant à l’excitation de la petite fille.
Aude se sentait perplexe quant à la façon de réagir à cette nouvelle, et à ce que cela signifiait pour ses espoirs et ses rêves, ou si cela signifiait qu'elle serait bientôt laissée de côté.
-Ô, et qu’est-ce qu’on va faire ? Pressa Ildé voulant plus d’information, sur les intentions de son frère.
-Guillaume nous avons invité à voyager jusqu’à Barmie en Norstrieux, où il va vendre la plupart de son viande, chaque an. Moi, je vais aller avec lui, pour travailler seulement son autre apprenti Michel, va rester et son partenaire, et ce serait très utile si sa fille Deuterie a besoin d’aide à préparer des repas. Clarifia Henri ses yeux et attention sur Ildégarde, une petite note d’appréciation entrant Aude remarquait, dedans sa voix quand il avait mentionné le nom de cette Deuterie.
Barmie était un village fondé cinquante ans plus tôt en Norstrieux, sur la frontière entre elle et Lùçia par un groupe de marchands et fermiers qui avaient fondé le village pour l’utiliser, comme un point de milieu entre les deux comtés. Une place avec une population minuscule, de juste peut-être cinq cents gens, mais quand même une place populaire de voyage, pour vendre d’habitude sur le festival de Marévans, le treizième jour de Vendiémaire, le neuvième mois. Une célébration honorant Maria des Marchands, qui avait tenté d’acheter la liberté de Dagobert le Béni. La marchande l’avait nourri pour trois ans, après qu’elle était emprisonnée, et était tué avec lui, une année avant le Conseil de Mébion.
-Et quoi ? Je suis supposé de faire les repas et linge pour vous tous ? Et si je ne veux pas aller ? Gronda Ildégarde à lui, ne voulant pas aller.
-Ildé c’est juste quatre hommes, incluant Guillaume et moi, et tu auras de l’aide. Qu’est-ce tu as à plaindre de ? Questionna Henri également frustré qu’elle.
-On vient juste d’arriver ici, alors pourquoi partir si tôt, de ce village si on va juste partir pour Norstrieux. Rétorqua-t-elle furieuse.
-J’ai décidé, toi et Maria vient, et c’est final. Dit-il impatient montrant sa propre colère, utilisant son position contre elle, pour gagner l’argument.
-Quoi ? Non, tu ne peux pas faire cela ! Répondit la fille beaucoup plus furieuse que lui maintenant, clairement ne croyante pas ses oreilles. Papa n’aurait jamais fait quelque chose comme cela !
La peine sur la face pale, d’Henri causant le cœur d’Aude à sauter à sa gorge, à cause de sa sympathie pour lui. Mais l’homme de vingt-saisons, prouvant après quelques seconds de silence qu’il était plus fort qu’elle avait assumé qu’il l’était.
-Ma décision est finale, et tu ne la questionnerais plus jamais. Répondit l’apprenti boucher si furieux et fermement que même Adeline semblait intimider par.
-Et quand est-ce que vous départez ? Et pour comment longtemps ? Adeline semblait nerveuse, quand elle demandait ses questions.
-Le jour après-demain. Admit-il regardant guère heureux, son humeur joyeuse de plutôt plus là, il risqua un coup d’œil à la cause, de sa perte de bonne humeur. Et pour à peu près un mois.
- Le jour après-demain ? Es-tu stupide ? Et si nous voulons rester ici avec Adeline au lieu ? Ildégarde grogna dans cette façon qui commençait à irriter même Aude si ce n’était pas pour les prochains mots du jeune adulte Aude, l’aurait probablement supporté, juste pour la forcer à fermer sa gueule. Et Isabel ?
Et maintenant ils avaient l’attention complète d’Aude, fatigue et ayant juste fini de commencer à s’habituer au village et à essayer d’écouter à des rumeurs de Judith et Adalbert. La question s’ils avaient aussi échappé l’obsédant, avec la fille voulant croire cela possible. Elle rêvait justement de faire cela, la seule question étant ; comment ? Très peu d’information, arriva en Barmie.
-Je n’ai aucune idée, c’est sa choix Ildé, qu’est-ce que tu préfères faire ? Être laisser ici, sans ta famille une fille qui vient juste de saigner pour la première fois avec des étrangers ? Ce n’est pas propre. Dit Henri attaquant son sœur, avec du logique sachant aussi bien que la noble, qu’il avait raison traditionnellement.
Être oublié la blessa un peu, mais Aude savait que la plus grande priorité un homme honorable, dois avoir c’est la famille. Un petit parti d’elle murmurante qu’Henri était guère honorable considérant qu’il avait possiblement meurtrier ses propres parents.
-Il a un point, c’est vrai que ce ne serait pas propre ! Adeline ajouta admettant ce qui était sur les pensées de la plupart du monde présent.
Ce regardant comme-ci Ildégarde, allait objecter contre la plus vieille femme, et son frère. Voyant que des mots enflammés étaient sur le point d’être à nouveau échangés et qui pourrait diviser la famille. Aude agissa aussitôt qu’elle réalisait ce qu’Ildégarde allait faire et ce qu’elle savait qu’Henri ferait ou dirait en retour à la fille. D’autres mots divisant seraient suivis par la colère et probablement par des semaines, mois ou années de froideurs.
-Aauu, Grogna la muette gagnante l’attention de la famille.
-Est-ce que tu essayes de dire que tu veux rester ? Demanda Adeline d’elle d’une voix encourageante, prévoyante que la bataille allait devenir de plus en plus enflammée entre la famille.
Aude réagit en secouant sa tête alors Ildégarde défaite et malheureuse, et encore fatiguée par manque de sommeil et les derniers mois, elle questionna rauquement. -Est-ce que tu veux aller ? L’autre fille hochant sa tête à elle confirmant son désir d’aller à Barmie.
-Moi, je veux aller aussi, Ajouta Maria son vote, ayant jusqu’à ce moment tomber dans une silencieuse malheureuse.
-Mais bien sûr, que tu veux aller, Rétorqua sa grande sœur malicieusement contre la troisième enfant de Barthélémy et Isabel. Aude était tentée de la frapper au derrière de sa tête, pour sa remarque cruelle.
-Ildé ! Cria Henri exaspéré et furieux.
-Quoi ? C’est vrai que tu la favorises, Répondit la fille en question également.
-Tu peux partir pour te préparer, Répliqua-t-il totalement battu par la jeune adulte et son humeur.
-D’accord, Grommela la jeune femme sans dire un autre mot de plus, partant laissant tout le monde dans la hutte dans un silence malheureux.
-Qu’est-ce qu’il y’a à manger ? Les demanda Jehan irrité par comment bruyant ils étaient, venant juste de se réveiller.