V
Augustin pouvait dire beaucoup de choses à propos de la famille royale de Neustrie (des secrets qu’il se promit de seulement confier plus tard à Alice), pas toutes ces choses étant positives. Aymon était comme le dieu Zeus des anciens Dorisiens, puisant et intouchable, sa reine, impérieuse et propre. Quant à la princesse Katrine, énergique et innocente, elle serait sans doute populaire et belle quand elle saignerait, dans quelques années.
Pourtant c’était la princesse, Gertrude belle mais stupide. Pendant que la dame Hildegarde était une ridicule jeune fille qui prétendait être intelligente, sans vraiment l’être. Il était agacé avec elles durant l’entièreté de la marche à la salle de festin. Un festin qui le laissa aussi confus par la nourriture du sud, que par le style de leur linge. Dans le Nord, les formes portaient des longues jupes qui allaient de leur gorge jusqu’autour de leurs pieds, avec un large bonnet noirci sur leur tête. Dans le Sud, ce n’était pas le cas, avec les femmes permit de montrer un peu de leurs boucles, leurs gorges et leurs pieds.
Quand il les avait vues pour la première fois il était frappé par la beauté de la plus vieille et la nature séduisante, de la plus jeune. Le moment de timidité se passant rapidement, quand elles le donnèrent des regards dégoûtés, avant de toutes deux saisir un des bras, de Foulques.
Alors quand le Roi les punir, il était soulagé puisqu’il espérait sincèrement qu’il ne faudrait pas s’asseoir près d’Aymon ou sa Reine. Qui comme les filles, ne semblait guère contente de le voir non plus.
-Viens t'asseoir ici, s'il te plaît. Dit Aymon impatient, signalant d’une paume ouverte aux chaises à sa droite. Voyant l’hésitation de ses captives, il ajouta, Qu’est-ce que vous, vous attendez pour ? Yule ?
Résigner, Augustin jetant un regard à Rorgue pour, découvrir qu’il ne semblait pas du tout effrayer ou malheureux, au contraire la place d’honneur semblait le plaire, contrairement au jeune. Avec un dernier soupir, l’écuyer se précipita après lui, pour s’asseoir dans la chaise designer, comme il avait été dit.
-Maintenant, on peut demander à la Déesse pour bénir ce repas et accepter cette offrande d’elle, et renouveler le pacte entre elle et nous, ses descendants directs. Déclara Aymon à tous ceux présents.
-Finalement, Dit Bernard dans un murmure qui était supposé, d’être juste pour lui-même, d’où il était debout à côté de la Reine. Mais, tout le monde entendit son murmure bruyant, avec le Roi choisissant de l’ignorer.
Une fois assis Augustin pris, un grand morceau de la jambe du cochon sauvage devant lui, espérant que personne ne lui parlerait. Le jeune était très motivé pour remplir sa bouche avec de la nourriture. Pour ne pas être capable de répondre aux questions ou conversations de ceux avec lui. Rorgues, à son gauche n’avait pas les mêmes compulsions et était bientôt dans le milieu de discuter le nord avec Aymon IV.
Tandis que cela prenait place, il fut désappointé quand le fils aîné, du Roi après avoir rempli son propre plat, avec de la nourriture choisit de fixer son attention sur lui.
-Augustin, est-ce que cela est ton nom ? Très bien, Dit-il quand le jeune avec sa bouche pleine hocha sa tête comme une réponse à sa question, hésitant à répondre même discrètement à lui. Je suis Aymon, ben le prince. J’ai entendu d’un de mes amis, dans l’armée de mon père, que tu étais un des principaux stratèges dans le Nord, dans les batailles pour Maugis et sa famille. Comment était ta première bataille pour les Norstriens ? Demanda le prince curieux et heureux d’avoir un autre guerrier près à main pour échanger des histoires avec.
Entendant cette erreur Augustin, qui résistait l’instinct à suffoquer sur la nourriture qu’il venait d’engloutir trop rapidement. Prenant une grosse gorge d’eau, il avala les larmes de douleurs et sa nourriture, semblant probablement un peu idiotie, il soupçonnait, au prince. -Ben euh.
- Augustin, n’est pas un écuyer pour les Maugis, il est un vassal de Norençie responsable pour le massacre de la famille de Maugis. Corrigea le père du prince, qui regardait incertain, pas que ceci allait l’arrêter, ni son père. C’était une idée assez rusée, il a affirmé être mes forces, et si son liège ne m’avait pas été vendu, je n’aurais jamais su que c'était son plan, et non celui de son seigneur.
-Alors tu es un traitre ? Demanda un autre prince avec des cheveux roux.
Grimaçant à cette accusation injuste, il avait envisagé de réclamer les terres de ses ancêtres en raison de son sens de l'honneur, mais avait finalement suivi les conseils de son suzerain, Charles, sans rien faire de mal.
-Quelles batailles est-ce que tu as participé dedans ? Questionna Aymon le prince, ses yeux allant de son frère à l’écuyer.
-Euh, juste dans la dernière campagne, où j’étais un écuyer pour un seigneur ordonné à aider à saisir Château-Norstrieux. Où, comme ton père a dit, j’ai aidé à prendre le château. Admis Augustin mordant dedans le meilleur morceau de bœuf, qu’il ait jamais goûté, dans toute sa vie.
- Et comment avez-vous envisagé de vous faire passer pour les forces royales ? Pressa le Prince de la Couronne, yeux brillant avec intérêt et admiration.
-J’ai pensé à cela parce que je savais que le Roi serait là bientôt, et soupçonnais que les Norstriens savaient autant eux aussi. Expliqua-t-il avec plus de patience qu’il avait su qu’il avait, Et je pensais que si Lothar ou Eude n’avait jamais rencontré le Roi, peut-être cela signifierait que Maugis ne l’avait jamais vu auparavant, lui-aussi.
-Alors c’était juste la chance que tu as gagné le siège du château, Moqua le garçon roux mordant dans une pomme de l’autre côté de l’héritier du royaume.
-Dans la guerre, la chance vaut plus que n’importe quoi d’autre sauf, la préparation. Rétorqua Aymon IV également, buvant du vin dans son gobelet.
-Alors moi je serais un terrible, guerrière ? Demanda Katrine, encore assise sur le genou de son père.
Amusé par la fille et son énergie sans fin, et son cœur plus beau que le plus beau bijou au monde, Augustin eut du mal à retenir un éclat de rire, incapable de s’arrêter une fois qu’il avait commencé. Pas certain si c’était à l’idée d’une femme guerrière, qui n’était pas de Kalthéa ou une Amazone de Namavon, ou à cause de la grimace comique que l’enfant faisait. Dans ce moment bref, il oublia tous ses soucis.
-Ô ! Arrêter de rire ! Ordonna la fille innocente furieuse, Au moins, je sais danser, lire et parler en Romulien probablement mieux, que vous !
- Mes excuses, ô plus humbles de toutes les princesses du monde, mais je riais simplement à l’idée d’une princesse sans chance, dans la vie, Mentit-l avant de demander curieux. Et qui vous a appris la langue ancienne ?
Rougissante à toute l’attention qu’elle recevait maintenant que ses frères et même le Roi tous ignorants de cette petite détaillent, la regardait impressionné par sa connaissance.
- C’est euh, Hilde et des moines qui enseignent à elle ces langues et même comment lire, Expliqua Katrine retrouvant sa nature excitable, par le temps qu’elle avait fini de parler.
-La nourriture est pour manger, et non pour décorer votre face, petite princesse. Réprimanda Madeline sévèrement une petite note de douceur et affection sur sa face et dans ses yeux.
-Oui, matante, Répondit Katrine un peu dégonflé en humeur en comparaison à avant.
-Va te nettoyer et ensuite, c'est l'heure de dormir, a décidé Madeline sans regarder la mère de la fille, car Augustin savait quelle femme était la mère dans le harem.
-Mais je ne suis pas fatigué, Plaignit Katrine indigné, pourtant tout le monde pouvait voir, que ses yeux battaient pour rester ouverte et que qu’elle mentait.
-Vas-y, je ne vais pas me répéter, Rétorqua-t-elle, résultant en l’enfant l’écoutante contre son propre gré.
-Oui, oui, Et elle courrait hors de la salle, malheureuse et irriter.
-Cette fille, Maugréait la Reine secouant sa tête.
-Elle semble avoir beaucoup d’esprit, Remarqua Augustin ne voulant pas insulter ses hôtes mais ne voulant pas mentir à propos de l’enfant.
-C’est une pitié, puisque les femmes sont mieux sans cette sorte d’esprit, ces jours-ci, Conclure le prince roux à lui-même.
-Elle est une enfant laisse la faire, quand elle vieillirait, oui elle faudrait changer, Corrigea le Roi buvant encore avant de se lever de sa chaise, pour s’adresser à une belle femme magnifique et blonde à l’autre bout de la table. Adeline, viens avec moi ce soir.
-Augustin tu es jeune, très jeune mais tu as du potentiel. Buvez avec moi et le Seigneur Rorgues, Remarqua le prince Aymon versant du vin, pour eux, à la surprise des deux. C’est de Aguiane alors c’est le meilleur alcool au monde, sauf pour peut-être la bière des Nains.
Augustin le considéra, incertain de quoi faire autre que hausser ses épaules. Ce prince était charmant et en termes de personnalité, le faisait penser à quelques-uns des fils d’Ulf, et non le Roi. C’était quoi le pire qui pourrait arriver d’oublier sa situation pour quelques heures ?
-Pourquoi pas ? Se demanda-t-il acceptant le gobelet avec un petit sourire.
-Tu sais Augustin, j’admire ta petite stratégie, L’informa Aymon, Nous sommes peut-être des ennemis pour le moment. Désormais tu ne peux pas nier, l’importance de soumettre l’ouest à l’autorité de Neustrie ou de repousser les rebelles et les barbares.
Hochant sa tête, Augustin prit un petit goût du vin dans son gobelet, et faillit presque le recracher quand elle brûla presque littéralement sa gorge. Juste pour à sa surprise, que le feu dans sa gorge explose en une tempête de goûteur délicieuse. La prochaine goutte était encore plus brûlante, mais une des meilleures choses qu’Augustin avait goûtée dans toute sa vie. À côté de lui, Rorgues buvait plus sensiblement, pas qu’il remarquait cela, dans son extase personnelle.
-C’est comme tu le dis, mon prince. Avoua Augustin, pas certain lui-même s’il parlait du vin ou de l’importance de l’ouest. Pensant un peu plus, il se souvint de tout ce qu’il savait des barbares du nord lointain.
Ayant jamais vu ou vécu à travers un de leurs attaques, il avait vu plus qu’une fois, les restants de leurs attaques puisque par le temps qu’Ulf était appelé à protéger un ou deux monastères de Fufluns ou des fermes dans les territoires voisins. La plupart des attaques étaient déjà retournées à la mer, attaquant d’habitude ceux qui ne pouvaient pas se défendre.
-Je sais qu’ils sont un problème pour les villes près de la mer ou rivières dans l’Ouest et le Nord. Mais d’où moi je viens, le château était sur la frontière entre Norençie et Gulne, alors il n’y avait pas de rivière dans la région, ni des attaques. Expliqua Augustin, pendant que le prince finissait sa coupe dans une seule gorgée, sans trop de problème.
-Laisse l’ouest tomber déjà Aymon, Interrompit l’autre prince celui narquois exaspéré, N’est-ce pas vrai, Marcus ?
Le prince surnommé Marcus qui durant l’entière du repas avait penché sa tête noire et barbe de la même couleur vers son plat sans prononcer un mot, était visiblement irrité à être demandé de se joindre à la conversation. Le jeune roux était assis à gauche, face au prince, et tourna son regard vers son frère aîné, empli de haine envers Aymon, ce qui donna des frissons à Augustin.
-La ferme Gaucelin, Commanda Aymon méprisant.
-Et pourquoi est-ce qu’il doit se taire ? Parce qu’il t’a défié ? Demanda Marcus défiant son frère, clairement il voulait se battre avec son demi-frère.
-Augustin, Rorgues, ce que je voulais vous demandez, c’est de m’accompagner, sur un tour des terres à l’ouest, d’ici. Dis l’héritier aux captives, ignorant ses frères abrasifs et querelleurs. J’ai déjà commencé à enliser des hommes, à payer pour de la nourriture, et j’ai le support de certains nobles. Alors père ne pourrait pas plaindre si je te prends comme écuyer, et toi Rorgues, comme maître de cheval pour quelques mois.
-Aymon est-ce que moi, je peux aller, avec vous ? Interloqua un garçon d’à peu près le même âge que Katrine, excité.
Aymon ricanant répondit. -Je ne vois pas pourquoi tu n’es pas déjà devenu écuyer, mais je ne peux pas dire oui, sans demander à père, quelque chose que je ferais la minute que les soleils sont dans les cieux, d’accord petit homme ?
-Merci, Aymon ! Remercia le petit prince enchanté, courant vers une femme grasse, qui était probablement sa mère pour la délivrer les nouvelles.
-Et quand partirons-nous ? Interrogea Rorgues, du Prince de la Couronne parlant pour presque la première fois.
-Dans une semaine. Répondit Aymon immédiatement, avant de tourner pour partager une blague avec une de ses sœurs, qui avait volé le siège du Roi.
Ivre et chaud, Augustin se réclinant dans sa chaise, n’entendit pas plus, de la conversation entre Rorgues, Aymon ou la princesse. Observant son gobelet, il commençait à se demander ; s’il allait vraiment un jour revoir, les titres, de sa famille, son humeur détournant à cause de l’alcool. Pas que ces soucis le préoccuperaient pour plus longtemps. Car ce n’était pas long avant qu’il se trouve ronflant contre sa propre poitrine, pas un seul rêve le dérangeant durant ce temps.
Dans le matin, il se dirait ; plus jamais encore dans toute sa vie boirait-il une autre goutte de vin d’Aguiane.
*****
-Suis mon garçon, Clothon il te prendrait à l’autre homme qui servira le prince, dans sa guerre. Ordonna l’homme derrière la table dans le milieu du village, à l’homme devant lui pointant à celui d’un côté qui le mit en place, avec un autre groupe d’homme qui attendait à partir, pour le camp de guerre.
-Les recrutements vont assez bien, si juste mon père nous donnera sa bénédiction officielle, pour l’aventure. Plaignit Aymon à voix haute, son regard sur la ligne d’homme qui attendait pour joindre à l’envahissons de l’ouest et nord-ouest. Coupant une figure presque impressionnant en son armure dorée, et cape fait de soie noire avec un faucon doré sur elle. Combien d’homme s’est admis à l’armée comme infanterie ?
-Avec ces paysans et tes hommes personnels peut-être deux milles. Rapporta un des chevaliers à cheval à son maître, également à cheval à son gauche.
-Très bien, j’aurais préféré au moins double ce nombre, Grogna Aymon, d’une voix gâchée.
-Mon prince tu serais chanceux d’avoir même la moitié des nombres présents, Le corrigea Augustin marchant à pieds, à côté du cheval du prince, sur son droit. Peut-être si on fait appel à la force, on pourrait forcer peut-être cinq cent à un mille de plus des paysans, mais-
-Alors fait cela, Ordonna Aymon impatient, manquant de bonne manière quand il donna un coup de pied au dos, à Augustin qui se força à ne pas redonner le coup, au prince.
Supprimant sa douleur et ignorant les rires moqueurs des compagnons de l’héritier de la couronne, il continua de le suivre après avoir évité d’être cogné parterre. Il semblait comme-ci même parmi l’entourage du prince, des rivalités politiques existaient. Pour quelqu’un attacher à son honneur, pas encore un chevalier, sans position officielle, comme Augustin c’était une terrible position.
-Peut-être qu’on pourrait ramasser, des hommes et chevaliers au fil de notre procession vers les terres du nord-ouest, Suggéra un des compagnons les plus hautains. Un homme avec une moustache brune, des cheveux et yeux de la même couleur, si juste un peu plus noirci. Souvent habillé en soie ou en velours verte ou bleue, avec une cape de velours maintenue en place par une broche d’argent, en la forme d’un cheval. Il était le fils d’un baron près du capital, avec le jeune homme ayant le nom de Robert.
Dans sa tête ou n’importe quand dans la compagnie de juste Rorgues, Robert ou les autres hommes du nord, ils avaient commencé à référer à lui comme, Robert la princesse. À cause de comment hautain, même s’il était seulement vingt années de vieux. Le troisième fils du baron de Claudion II de Mordéon, juste au sud d’Hector. Il ne cessait jamais de vanter de comment les ancêtres du jeune homme, avait servi les rois de Neustrie depuis le temps du descendant de Claudion, Faramond II ‘le Réunificateur.' Son père était aussi un favori d’Aymon IV, alors Robert était certain de sa position dans le court futur du Prince de la Couronne.
-Se pourrait aider Robert, c’est un soulagement que tu viens avec moi, Remarqua le prince à son ami, heureux qui lançait un regard supérieur vers Augustin.
- Mon prince, il semble que votre père ait refusé une fois encore de me parler, Annonça Nolan le Noir faisant sa présence connue. Son surnom dérivé du fait que son armure et fourreau de son épée étaient tous noirs. Arrivant d’en arrière d’eux venant du château où il avait posé une embuscade pour le Roi, en dehors de sa chambre. Il avait reçu son surnom, à cause de son habitude de s’habiller en juste du linge ou armure noir. Le fils aîné d’un chevalier du Roi, Nolan était juste vingt et un ans de vieil, mais déjà un maître d’armes de la famille. Avec seulement deux princes en particulier de comparables habiletés à lui ; Aymon et le troisième prince, Pépin.
Les pensées d’Augustin furent tirées de ses contemplations d’un autre Robert, son protecteur et ami, qui était un homme d’honneur et de naissance plutôt modeste, un contraste complet à l’autre. Celui du sud semblait haire, Augustin et Nolan à cause de la faveur montrer envers eux, et était descendu d’un écuyer fameux d’Aemiliemagne. Un écuyer et servant connu par le nom de Liam à l’Épée-Enflammée. À cause de son épée magique, qui pouvait s'embraser et avait été, selon la légende, offerte à sa famille par le dieu Ziu lui-même. La famille étant à un temps été des barons de Norençie, avant d’avoir été déplacés lors du nord par Neustrie, après que leur fort fut brûlé à terre, par Aymon le Poilu. L’épée servant aussi comme un symbole familial pour eux, visible sur le tabard blanc du jeune homme et en sa broche.
-Quoi ? Pas Encore ! Plaignit Jöel le fils del’Archdouvain de Vhaimée, compagnon et beau-frère d’Aymon le prince. Un homme de sincérité rare sans question, si d’un mauvais tempérament, d’après ce que le jeune avait vu durant son bref temps parmi les compagnons du prince. Il était le plus richement habillé, avec son linge de soie pourpre, ceinture avec de l’or sur elle, et avec la broche dorée en la forme d’une rose (un symbole de Marianne), avec un rubis minuscule au centre de la broche. Je jure au nom de la déesse dorée que je vais-
-Calmez-vous, rouge face, Souffla Théudéric impatient mais rational comme toujours, comme l’aîné du groupe à trente-huit ans, il était toujours il semblait à Augustin, agir comme un chaperon ou père pour le groupe intrépide et impulsif de jeunes hommes. Vêtu de son armure bien usée et d'une longue barbe, il était un homme remarquable malgré quelques cicatrices qu'il avait failli dissimuler.
-Ne vous inquiétez pas, j’ai un plan, Assura Aymon tournant son regard sur le plus jeune homme présent.
-Et c’est quoi ? Demanda Augustin agacé avec le fait, que chaque fois qu’on jouait des jeux de devinette avec lui, il semblait terminait toujours pauvrement pour lui.
-Augustin, mon père a demandé pour ta présence ce matin pour te dire ses plans pour toi, non ? Interrogea le prince, serein en face au regard surpris que le prisonnier, le donnait.
-Mais comment est-ce que tu sais cela ? Questionna Augustin maladroitement. Il avait été ordonné de garder cela un secret par le messager, du Roi.
-J’ai mes moyens. Répliqua-t-il dans le milieu de presser son signet contre une lettre, avant de le donner à Joël, son insigne étant un d’un aigle noir, avec une couronne dans son bec.
-Augustin ? Dit Aymon, clairement nerveux qu’il allait refuser de le faire cette petite faveur.
-D’accord, mais je ne veux plus jamais t’avoir envahi mes chambres, acheter les messagers qui me visitent ou utiliser tes espions sur moi. Je suis de ton côté, tu n’as aucune raison de questionner cela. Stipula l’écuyer sans hésitation attirant un sourire narquois, de Robert la princesse.
-Oui je te le promets, Promit le prince sans hésitation. Alors rappelle-toi de notre mission.
Avec un dernier regard au prince il partit pour le château du Roi, prenant presque une heure pour rentrer, et durant ce temps il considérait juste s’échapper. Ce qui l'a retenu, c'est qu'il savait que ce serait malhonnête, et que cela lui coûterait son honneur. En plus que les vies des autres nobles et captives du Roi. Déjà quatre de leurs nombres avaient échappé, pas que le Roi avait pris une seule action contre ceux encore, avec lui. Pas que personne doutait, qu’il était capable de n’importe quelle cruauté.
-Où est le Roi ? Demanda-t-il à une passante servante une fois à l’intérieur du château.
-Dans la librairie, mon sieur. Répliqua la plébéienne pointant dans la propre direction.
Il se demandait, pas pour la première fois pourquoi le Roi serait dans la libraire puisque la lecture n’était pas très importante pour un Roi à savoir faire, ou se préoccuper de. Alors quand il était arrivé, avec un guerrier costaud debout entre lui et la porte, avec ses bras croisés ayant attendu Augustin.
-Salut, le Roi m’attend, voilà la lettre avec son insigne, prenez-la au Roi. Dit-il, offrant la lettre qui avait été délivrer à lui, juste ce matin-là, dans la chambre qu’il avait été donner avec Rorgues et une autre captive du nord, de noble sang qu’il ignorait encore le nom de. La lettre étant, un qu’il avait fallu demander à Katrine pour lire pour lui.
-Salut, le Roi m’attend, voilà la lettre avec son insigne, prenez-la au Roi. Dit-il, offrant la lettre qui avait été délivré à lui, juste ce matin-là, dans la chambre qu’il avait été donné avec Rorgues et une autre captive du nord, de noble sang qu’il ignorait encore le nom de. La lettre étant, un qu’il avait fallu demander à Katrine pour lire pour lui.
-Attends une minute, Commanda le plus vieil homme, prenant la lettre avant d’entrer au libraire laissant l’écuyer tout seul dans la halle.
Tournant en rond, pour regarder dehors d’une des seules fenêtres du fort, son regard trouvant la ville d’Hector immédiatement. Et la vieille route de Roma, qui s’étendait d’un bout à l’autre du village, allant à travers d’elle, jusqu’à l’horizon. Voyant comment la route s’étendait jusqu’au nord, ses pensées la suivant. Il manquait sincèrement ses amis d’enfance : Ulf et ses frères, Alice et l’apprenti du forgeron, David avec qui il relatait, toujours beaucoup mieux que des nobles plus bien nés, que lui, et Carloman le novice étudiant dessous le douvard du château.
Alors, avec ses pensées bien loin de lui, il n’entendit pas l’approchement d’une demi-douzaine de femmes. S’ils les avaient entendus, il aurait probable caché derrière une des vases au lieu de, les faires faces.
-Et qu’est-ce que tu fais là plébéien ? Grogna une voix derrière lui, le surprenant.
Trouvant Hildegarde de l’autre jour, en la compagnie de plusieurs des princesses, ce qui inspira que du malheur à les voir. Il n’avait pas vu la petite-fille de Bernard depuis la soirée du festin, trois jours plus tôt et il n’avait pas oublié comment hautain elle pouvait être.
-J’attends avec impatience de voir le Roi. Répondit Augustin aussi calmement que possible, ignorant son agacement envers elle et ses mots insultants contre ses ancêtres, quand elle pensait qu’il ne l’écoutait pas.
-Tu es supposé de plier le dos ou pencher le genou à la royauté et les nobles, en particulier à quelqu’un du sang la plus noble, des Aemiliens. Critiqua une des servantes personnelles de l’héritière, causant son visage à s’enflammer à l’insulte par la femme, de si basse naissance. Qui le corrigeait comme un enfant sans intelligence, quand ils étaient tous approximativement le même âge.
Il était d’abord sauvé d’eux en ce moment, par le retour du guerrier de plus tôt qui ressortait de la librairie portant un regard surpris à découvrir la princesse là. C’était chanceux, Augustin pensait car il venait tout juste d’ouvrir sa bouche pour répliquer avec une remarque coléreuse au groupe de femmes, devant lui.
-Je suis ici pour voir papa, maintenant laisse-moi entrer, Annonça la princesse qu’il oubliait le nom de, son nez bien élevé.
- Je dois m’excuser, ô princesse, mais le Roi m’a demandé de laisser entrer seulement l’écuyer Augustin, et personne d’autre, sauf pour la princesse Katrine, si elle veut le voir. Était la réponse nerveuse du garde.
-Quoi ? Mais elles sont ses filles, Objecta Hildegarde aussitôt.
-Oui mais, il a dit qu’il doit voir au problème d’états, avant de voir aux problèmes de la famille. Était la réponse. Maintenant, Augustin si tu peux voir au Roi.
N’ayant pas besoin d’encouragement pour laisser les princesses toutes seules avec les servantes derrière lui. Une fois à l’intérieur du sale avec le monarque, il laissa échapper un soupir de soulagement échappé de ses narines. Son soulagement avait désormais une courte vie, quand il se rappelait, de qui, il était là pour voir.
Assis devant une table avec un homme d’un âge avancé, habillé dans les robes d’un douvard, de la couleur rouge démontrant de considérables richesses. Qui tenait plusieurs pages en ses mains probablement des chartes, de gouvernements.
-Est-ce que c’est tout ? Demanda Aymon IV appliquant son anneau signet à un dernier document qu’il offrit à l’homme debout, après l’avoir roulé nettement.
-Oui, Monseigneur, Répondit l’autre hochant sa tête et pliant son dos au monarque, acceptant le document de lui.
-Assurez-vous que Bernard et Jehan reçoivent ces lettres, Rétorqua le monarque au plus vieil homme qui pliant son dos davantage, si c’était possible départit immédiatement.
Courant une main à travers ses cheveux noirs grisante, pendant que le jeune mit ses mains ensemble derrière son dos, maintenant sa position rigide devant le Roi silencieux. Attendant pour être adressé avant, de dire quelque chose même s’il brûlait, à demander pourquoi, il était là. Frémissant d’un pied à l’autre impatiemment, Augustin pouvait sentir les secondes passer trop lentement pour son goût, cependant il n’avait pas le courage d’adresser le Roi, sans permission. Alors, tombant à un genou il fit son mieux de faire cela aussi poliment que possible, de cette façon il resterait polit, suivant la tradition et ce ferait plus confortable.
-Monseigneur, tu m’as appelé, Dit Augustin incapable d’attendre pour un seul moment de plus ne voulant prendre aucun risque de l’insulter.
-Augustin, je vois que mon fils est devenu ami avec toi, Remarqua Aymon, relaxant dans sa chaise, qui incluait un fauteuil. Je sais qu’il t’a invité à sa campagne de guerre.
-Ah oui, Admit-il avant de demander remplis d’hésitation, Sire pourquoi, est-ce que tu m'as invité ici ?
Le plus vieil homme pris son temps à répondre à la question, comme s’il considérait quelque chose. Incertain et impatient, le jeune homme supprima son propre manque de plaisir à attendre, ou à être près du monarque qui avait commandé qu'il soit fouetté.
-Je t’ai appelé ici, pour te donner une chance à regagner ta liberté, néanmoins je crois qu’au lieu de cela, je vais te donner un petit teste, Rétorqua-t-il à sa captive, qui formait des poings avec ses mains, une action réflexe qu’il faisait n’importe quand stressé.
Surpris et désappointer par cela, par la nouvelle que gagner le support du prince obsédé avec la gloire, l’avait coûté sa chance à s’échapper du Roi. Augustin, avalant la rage dans son cœur, hocha sa tête.
-Et c’est quoi ce teste ? Interloqua-t-il anxieusement, n’ayant aucune confiance dans le Roi.
-Le teste c’est de garder mon fils en vie, participer dans sa campagne au nord-ouest, et de voir aux punitions des Comes, Vicomes et Barons de cette région.
C’était beaucoup à mettre sur les épaules d’un garçon à peine quatorze saisons de vieux, pourtant Augustin savait que le prince, avait déjà décidé de faire tout cela. Sauf peut-être pour, se garder sain et sauf car il était peut-être le plus impulsif homme qu’il connaissait.
-Et c’est quoi pour être leurs punitions ? Questionna-t-il curieux et horrifier par l’idée de tuer d’autres femmes ou hommes sans défenses.
-Je vais le décider quand je vois des résultats dans l’Ouest. Répondit Aymon au jeune homme d’un ton définitif.
-Oui, Monseigneur, Acquiesça le jeune homme hochant sa tête tout en même temps, qu’il s’élevait du plancher pour reculer vers la porte pour partir.
En toute honnêteté il ne savait pas s’il devrait être soulagé que le choix n’était pas, dans ses mains ou non. Ou s’il devait être déçu avec le fait, que le Roi l’utiliserait d’une manière similaire qu’Ulf avait déjà faite, dans le passé.
-Ah oui, une autre chose, qu’est-ce que tu penses de ma famille ? Demanda le seigneur de Neustrie sonnant, presque curieux.
Reculant vers la porte, juste pour se figer, sur le point de tourner pour partir de la présence de la royale. Augustin considéra la question sérieusement, soupçonneuse du Roi, ne sachant pas comment les décrire, comme autre que des monstres. Choisissant ses paroles avec soin, pendant qu’il bafouillait maladroitement, Tes fils sont très masculins-
- La vérité, petit vaurien si je veux des baisers faits à mon derrière, je sais où et qui allé à pour cela. Interrompit Aymon le Rusé sévèrement, irrité avec son otage qui imaginait déjà être torturé, puisque cela était le résultat la dernière fois qu’il avait parlé honnêtement, avec lui.
-Tes fils sont masculins sauf pour Gaucelin et Marcus, qui sont narquois, peureux et cruels, Roland et Chilpéric sont des joies à connaître, et tes femmes sont tous immensément belles. Répondit Augustin prudent de la colère de son supérieur.
-Très bien, Dit l’autre légèrement, Aymon a ma bénédiction, jeune Augustin.
D’un geste de main simple mais ferme, Augustin savait que c’était temps de partir, trouvant à son agacement derrière la porte le garde et Hildegarde encore là. Les seules personnes manquantes étant les servantes et les princesses dans leurs places étaient une petite collection de livres à côté d’où elle s’était assise, pendant qu’elle attendait.
-Madame, Dit-il poliment avant de marcher alentours d’elle.
-Mon sieur, Rétorqua-t-elle, J’ai donné mes femmes un congé après m’avoir trouvé mes livres favoris. Dites-moi, est-ce que tu as lu l’Astyaliad avant ?
-Non, je ne sais pas comment lire, Répliqua Augustin, essayant de rester polit avec elle.
-Ah oui, tu es un paysan sans bon sang, Répondit-elle ricanant avec un étincelle malicieuse dans ses yeux bleus.
Frapper par cette insulte nouvelle contre ses ancêtres, il bougea plus vite de sa présence, ses dents grinçantes. Ses espoirs pour elle détruites, humilié pendant que le garde souriant, amusé. À ce moment, Augustin jurait de se venger, jurait en même temps que ses joues devenaient écarlates. S’échappant pour aller informer le prince des bonnes nouvelles, les ricanements de la fille du Roi résonnants dans ses oreilles rouges.
*****
Le soleil dans le ciel faisait ses derniers voyages vers l'horizon, pour la journée. À cheval il n’était pas permis, ses propres armes ou armures, Augustin avançait avec un cœur malheureux, et peser par ses devoirs envers le prince, comme écuyer. Le fait que la liberté promise, était probablement juste un rêve à présent, ajoutait au poids de son irritation.
-Qu’est-ce qu’il y a ? Malheureux parce que tu n’as pas une épée ? Demanda Amaury de Hector, un chevalier et fils illégitime d’un des gardes du Roi, se moquant de lui. Un homme typiquement trouvé portant son armure usée, même lorsqu’endormi.
Le visage d’Augustin s’enflamma, le fait qu’il était en train d’être humilié et moquer par des hommes sans terres ou sang noble, et alors sans vrai position, était presque trop pour lui.
-Quand est-ce qu’on arriverait ? Demanda-t-il, sa voix rauque il ouvrit sa cantine pour boire un peu d’eau pour guérir cela.
-On va arriver demain ou le jour après, Rétorqua Robert l’Habile plus impatient que le plus jeune homme.
-Ô fermer vous deux, on va avoir de l’excitation bientôt, nous sommes près de Château-Rhonde où quelques vassaux de mon père vivent. Annonça Aymon, irrité par les arguments de ses hommes. La séparation entre lui et sa femme, pressant il soupçonnait, sur lui. Avec la princesse n’étant guère heureuse, qu’il avait refusé d’attendre pour qu’elle donne naissance, avant de partir pour la guerre.
Il supposait aussi que ces vassaux étaient trop puissants dans leurs propres territoires pour le roi, c'est pourquoi une armée était nécessaire pour les approcher. Ou bien ils étaient devenus trop incompétents aux yeux du monarque et devaient être remplacés. Alors les Seigneurs et hommes des armées s'arrêteront pour la nuit, chaque homme se préparant à dormir, seulement après que le prince leur aura donné la permission d’arrêter.
-On devra envoyer un messager à Marfort, qui souhaite volontiers transporter mes messages de soumission à l'avance, de notre départ ? Demanda Aymon de ses hommes qui hésitait, ne sachant pas son plan.
Avant qu’ils eussent la chance de suggérer quelqu’un, ou pouvaient réagir pour protéger leurs honneurs ou se montrer des peureux, Robert de Mordéon adressa le prince, rapidement.
-Monseigneur, si je peux suggérer on doit envoyer quelqu’un respecter et connu pour son influence avec toi, alors on doit envoyer un homme comme Nolan ou Augustin. Dit Robert, d’un ton qu’Augustin était certain une vipère aurait, s’ils pouvaient parler.
Le fils de Claudion de Mordéon, pendant qu’il parlait lança un sourire à les deux mentionnés comme s’ils étaient proches. Tout pendant qu’il mettait sa tente en place avec l’aide de deux serviteurs, qui l’avait accompagné.
Réfléchissant rapidement, à la recherche pour une solution, car pour être envoyé à une forteresse ennemie serait sans doute une répétition, de la dernière fois qu’il avait été envoyé, dans le milieu d’un camp ennemi.
- Pourquoi envoyer un noble ? Envoyer un homme sans mérite et naissance, Demanda Mäel le Breizien un soldat de trente ans et le neveu illégitime d’un des prétendants au royaume de Breizh. Son oncle, le fameux Argant, était un général renommé qui avait battu dans plus de batailles, que personne d’autre dans les Douze Royaumes. Pas que ces batailles l’avaient servi du tout, considérant qu’il n’avait pas encore unifié Breizh, qui était divisé entre cinq ou six prétendants. Avec Mäel l’héritier potentiel de son oncle, à cause du fait qu’il était le fils de sa seule sœur, et que le prétendant manquait encore après cinquante années d’effort, à l’âge de soixante-trois ans, un fils.
-Exactement, Exclama un autre noble qui Augustin ignorait encore le nom de, en support de l’héritier soi-proclamé de Breizh.
-Il y a un autre problème minuscule ; pourquoi alerter nos ennemis de notre présence ? Questionna Nolan de son liège, embêter et pour la première fois depuis qu’Augustin avait fait sa connaissance, regardant un peu inquiet.
-Il sait que nous les approchons, déjà, ou serait bientôt conscient de notre présence à cause de la grandeur de notre armée. Expliqua Augustin caustique, avant de penser de quelque chose. Nous allons pour détruire ou rappeler aux vassaux, de leur devoir envers ton père, ou pour rapporter de l’ordre pour les protégés des Vikings ?
Aymon le regardait, pensivement ne suivant pas la ligne de pensées de son nouvel écuyer. C’était un des autres chevaliers qui le répondit, un homme aux cheveux grisant avec une petite barbe sur son menton. -On va pour reprendre ces terres et mettre une fin, aux assauts constants des Vikings, sur nos propres terres.
Cette clarification changeait tout, dans son avis. Le donnant une idée, un qui compterait autant sur une supercherie que son dernier plan, de prendre un fort, de dessous le nez d’un noble.
-Mais ils ne savent pas ce que nous sommes ici pour. Répéta Augustin amusé et enthousiaste au choc de ses compagnons, à avoir la chance à suggérer un plan fonctionnel que personne d’autre dans leur petit conseil de guerre, avait encore pensé à.
-Qu’est-ce que tu suggères garçon ? Questionna Nolan, pausant dans le milieu de monter sa propre tente. Ne voyant pas en l’emphase du garçon sur le manque de connaissance de l’ennemi, ce qui excita l’intérêt de ses compagnons.
-Il est évident et clair qu'il est juste nécessaire de tromper ces méchants stupides pour nous recevoir ! Devina Aymon contractant l’enthousiasme de son écuyer, en particulier pour le plan de l’écuyer.
-Oui ça peut juste fonctionner une fois et c’est juste s’ils sont inclinés à traiter, avec nous, Répliqua Robert la princesse d'un ton neutre, montrant aucune joie envers ce plan intrépide.
Irriter envers l’imbécile jaloux, qui au lieu de donner un plan alternatif, rejetait les plans des autres, en particuliers ceux de ceux, beaucoup plus dévoué que lui envers le prince. Clairement il n’était pas le seul qui devenait de plus en plus agacé envers Robert.
-Si tu n’es pas capable de penser, ferme ta gueule, Gronda Nolan. Cependant peut-être un autre plan serait mieux, car celle-ci me semble trop impulsive. Je suggère, on préserve ce plan, pour un autre château, et avec un simple soldat envoyé, en place d’un noble, de cette façon on ne va pas perdre quelqu’un d’important.
-Mais on doit considérer ce plan, Grogna Amaury n’appréciant pas d’après ce qu’Augustin pouvait voir l’attitude relaxe du groupe de conseillers, ou du prince.
-On va les conquérir, toute en bon temps, Répondit le prince. La discussion à propos des autres hommes et châteaux est finis pour le moment. Sauf si c’est pour discuter les renforts d’ennemis potentiels, ou comment battre le Comes Mathias V de Vexard.
-On devrait les convaincre ou essayer de le battre sur du terrain ouvert. Suggéra Robert d’Haldièrne avec un certain soin. Nous avons l’avantage là, grâce à nos nombres et expérience supérieure de nos cavaliers.
En dépit de ne pas partager l’opinion de son ami, d’habitude à propos de stratégie tout le temps, il fallait admettre qu’il avait fait un bon point. Même l’autre Robert hochait sa tête, aussi convaincu que lui, de la sagesse des suggestions du plus vieux chevalier. La seule question qui restait à être demandée était, comment tromper le Comes ?
-On peut considérer le Comes après qu’on a saisi un château ou deux, et puisse l’utiliser comme une capitale militaire, dans ce comté. Ajouta Jöel changeant le sujet à nouveau au premier château, devant eux.
-Je réitère l'envoi d'un écuyer, Augustin est parfait, s’il faut recourir à cette astuce. Recommanda l’homme de Mordéon encore, Et pendant qu’il discute avec le baron on va attaquer et dépasser les murailles pendant, qu’ils sont distraient.
-Et que va garantir mon ‘ami’ ma sécurité, hein ? Qu’est ce qui va les arrêter de me meurtrier ? Interrogea Augustin le confrontant, furieux avec sa suggestion.
-Ton charme ? Proposa l’autre sarcastique avant de devenir sérieux, Ou peut-être tu pourrais juste dépendre sur leur honneur.
L’idée de dépendre sur le mot d’honneur, d’un ennemi dans le milieu d’une guerre, était si stupide, que c’était une insulte même à celui, qui venait de le suggérer, pensait Augustin. D’après ce que l’écuyer avait vu, en particulier ceux du sud, le monde avait perdu toute ressemblance d’honneur.
Juste le souvenir de son temps sous les hommes du Roi, et leurs fouets, leurs insultes, et comment ils l’avaient insulté, et autrement donner quelque d’autres coups pour leur propre amusement, lui réduit à des frissons. Pas que Robert la princesse aurait compris cette expérience ou comment cela faisait d’être capturé et abusé par un ennemi.
-‘Leur honneur’ ? Leur honneur vaut autant que- Commença-t-il à répliquer quand son regard tomba sur le pendentif religieux d’un des autres hommes, juste pour venir à une halte. Soudain, le minotaure et le respect qu'il avait inspiré au Roi et à ses hommes, ainsi que la nécessité de leur faire preuve de tolérance, vinrent subitement à son esprit. -Peut-être, je peux aller délivrer ce message à eux, mais dis-moi à propos des douvard, du Sud.
-Quoi ? Demanda Nolan bouche-bée.
Pendant que Robert l’Habile secouait sa tête pour essayer de le dissuader d’y aller, mais Augustin l’ignorait, ayant regagné sa confiance grâce à un autre plan. -Est-ce qu’ils accompagnent toujours l’armée, ici dans le Sud ?
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C’était quatre jours plus tard, quatre jours de lentement bouger en avant, et de misérable ragoût qui laissait Augustin heureux de laisser le camp de guerre derrière lui. Pour approcher le château, qui n’avait pas encore fermé ces barrières aux marchands et douvards. Ce fort construit en le style d’Ouestria avec un donjon vingt-deux mètres de haut, et cinquante mètres de long en une forme conale, avec six tours autour d’elle, tous avec des toits conales qui finir en un point plat et non pointu comme ceux de Neustrie et Norençie. La ville de trois cents gens, autour d’elle ayant deux temples qui étaient conale en forme aussi, si quinze mètres de large et haute avec des toits plats aussi. Le bâtiment divisé en un large cône avec deux tours près du presque cercle, avec des toits également plats. Quant aux restes des maisons, ils étaient comme les temples était fait de bois, en plus d’être fait de boue et foin, avec la palissade épaisse ne faisant rien pour empêcher la puanteur de la ville de s’échapper.
Monter sur un âne il entra au château, le pendentif fait d’argent de la déesse du sud avec sa fleur et sceptre de pouvoir à main, emprunter d’un des douvards qui croyait l’avoir convertie, à la religion du sud, alentour de son épais cou.
Sans personne pour l’aider à savoir comment un douvard du sud fallait agir, il sentait un peu ridicule dans l’habit brun. Convaincu que c’était trop tard pour détourner maintenant, refusant de se laisser penser à ce que les autres jeunes hommes faisaient, ou comment il pouvait mourir s’il était pour faire une chose de mal.
-C’est quoi ta raison, pour visiter Marfort ? Demanda un des deux gardes près des barrières ouvertes. Avec chaque homme posté au gauche et à la droite des nouveaux arrivés, cherchant ou les questionnant, il n’y avait presque aucun moyen pour y entrer sans que le seigneur le sache.
Clairement le Baron de Marfort avait peur, ou ne voulait prendre aucune chance après que lui et son liège, le Comes Mathias avait déclaré leurs intentions de prendre la côte de Norençie. Juste pour abandonner le Nord à la dernière minute, laissant Charles à capituler au Roi.
-Je suis ici pour vendre du grain, l’homme en avant d’Augustin répondit au garde, pendant qu’un des hommes pour élever le drap couvrant le chariot pour s’assurer que c’était véritablement ce que le marchand disait que c’était.
-D’accord tu peux entrer, au prochain ! Déclara le garde paresseux, ayant été à sa poste pour quelque temps d’après ce qu’Augustin pouvait déduire. Pas qu’il avait beaucoup de temps à penser, avant qu’il fût adressé par le garde. Et vous, mon jeune, tes raisons pour ta visite ?
-Je euh, suis ici pour représenter le Prince de la Couronne, prince Aymon. Répliqua-t-il essayant de ne pas montrer, la terreur dans son cœur.
Les deux gardes devant lui, le regardait bouche-bée n’ayant pas attendu à entendre une telle admission. Échangeant un regard ils, demandèrent le garçon de se répéter, une autre fois.
-Je suis ici pour négocier avec le baron pour le prince. Répéta le jeune plus calme que la première fois.
-D’accord alors dis-nous le message, Ordonna le deuxième homme, celui au droit le donnant un regard méfiant.
-C’est pour les oreilles du baron et seulement le baron, mon sieur. Rétorqua Augustin également avec plus de confiance qu’il ressentait dans son for intérieur en ce moment.
-Donner nous un moment, Dit l’homme à gauche, avant de courir à l’intérieur de la cour, derrière les barrières défensives qui entourait le château. Allant à la recherche de son officier supérieur, comme Augustin avait prévu le laissant tout seul, avec l’autre garde.
C’était quelque temps avant que le garde retourne, avec l’écuyer déguiser passant son temps à observer la ligne de gens entrer dedans la ville. D’où il était assis, avec son dos contre le mur de la muraille à l’intérieur de la ville. Le seul garde dévouant son temps et attention aux gens voulant entrer dedans la communauté derrière les murailles.
Après avoir étudié cet homme, et les gens dépassant les barrières ouvertes, Augustin bougea son attention au pendentif alentour de son cou. Si ennuyer était-il et n’ayant rien d’autre à faire, sauf étudié le symbole de la déesse des hommes sud. Qu’il aurait donné n’importe quoi, pour au moins sentir un peu de révérence envers elle, si juste pour passer le temps par priant.
La déesse était faite d’argent, avec un sceptre dans sa main gauche, quant à sa main droite elle tenait une fleur. Il paraissait magnifique et en plein essor depuis la terre, où il a réalisé à ce moment-là, capturé comme il l'était par un brusque élan de fascination, qu'il ne la connaissait pas du tout. Ou des autres dieux et déesses des autres Douze Royaumes.
-Oy, garçon ! Le capitaine aimerait te voir, Hurla le guerrier qui avait apparemment retourné. Élevant son regard de la petite statuette qu’il portait, pour découvrir un homme plus vieux et mieux habiller que les deux autres gardes debout à côté du premier garde. Le jeune écuyer cliquant sa langue à son âne, après avoir grimpé à ses pieds et ramasser ses rênes.
Immédiatement Augustin commença à étudier les murs du côté à l’intérieur, ils étaient gris et brun, dégoûtants et sales en plus de pauvrement maintenu. Il n'a pas prêté beaucoup d'attention à ces détails lorsqu'il était assis contre le mur, mais il est soudainement devenu conscient du fait qu'il était assis avec son dos contre ce mur couvert de besogne.
-Par ici, si tu veux voir le Seigneur Maurice de Marfort, Instruisit le capitaine barbu irrité, le dirigeant vers le château et à travers le petit village derrière les murailles, où les marchands, avaient commencé à vendre leurs marchandises. Juste continu directement sans dévier vers le fort un servant te rencontrait, pour te diriger au Seigneur.
Et cela était, comment il arriva, suivant quelques-uns des rues jusqu’aux portes du fort. Ces murs étant aussi vieux et mal tenus que ceux alentours du village, qui entourait la citadelle de bois. Le servant qui guiderait Augustin à travers la bâtisse était vieux et silencieux, le rencontra en dehors des portes, signalant à lui de le suivre, à l’intérieur du château. Finalement après deux tournés à gauche une fois à l’intérieur, après ayant monté des escaliers et pris en tourner à la droite ils se trouvèrent en devant d’une petite porte brune. Si rapide étant les pas d’homme accroupis avec l’âge, que le jeune homme avait à peine la chance, de réellement jeter un coup d’œil alentour de lui.
-À travers ici, Murmura le vieil homme ouvrant la porte juste un peu avant de tourner les talons et partir de là.
Entendant des cris de joie, excitation, et avec une puanteur qui venait main en main avec du sexe rencontrant son nez, frémissant son nez à la réalisation de ce que le seigneur faisait. Dégoûté même s’il aimait cet acte lui-même autant que le prochain homme, il savait que la responsabilité et l’honneur venaient avant tout plaisir, car le mot de Ziu dictait tel. À l’intérieur de la chambre était un grand lit qui couvrait, la petite chambre à coucher. Sur le lit, il y avait des oreillers et des couvertures, à droite de la chambre se trouvait la cheminée, et entre la cheminée et le lit, il y avait une table avec un panier de fruits. À proximité de la fenêtre offrant une belle vue sur la cour, se trouvait un autel dédié à la déesse du sud, entouré de quelques chandelles non allumées et d'un bol de fruits offerts à la déesse. Leur linge étant presque toute bleu ou vert léger avec des symboles typiquement curvé sur eux, partout sur le plancher de la chambre.
-Je t’ai ! Un cri de joie et excitation résonnant du lit où le châtelain était, un homme avec des cheveux blonds grisants alentours de ses oreilles. Sautant au milieu du lit, dans le milieu d’un jeu avec les deux jeunes belles femmes presque nues sur le lit avec lui. Personne ne peut m’échapper.
-Eh oui, comme tu le dis Monseigneur ! Écriait la belle femme à côté de lui, du même ton, un sourire sur ses lèvres pleines, ses cheveux auburn longue et magnifique pressé contre sa tête, mouillé à cause de la sueur.
Avant de rejoindre le baron, il fit entendre sa toux pour signaler sa présence, sachant qu'il se laisserait ensuite emporter à nouveau par la luxure des plaisirs féminins dans son lit. Augustin sentit du dégoût monter, de son estomac à sa gorge. Comment pouvait ce sale idiot, gaspiller tout son temps avec son propre plaisir, quand dehors dans les rues, la loi n’était pas proprement imposée ? Les gens mourraient de faim, se poussant juste pour pouvoir gagner accès à la protection de ses murs. Avec ses gardes regardants misérables et clairement épuisés, par tout le travail qu’ils avaient à faire.
-Et qui es-tu ? Je n’ai pas demandé pour un absolveur, Gronda le seigneur à l’écuyer déguisé comme un novice.
-Monseigneur, je représente le prince Aymon, fils et héritier de- Dit-il, se préparant à réciter tous les titres du prince et Roi, cependant il étaie interrompit par le Seigneur de Marfort.
-Je sais qui le prince est idiot, Gronda l’autre homme, résultant dans la femme dessous lui à dire d’une voix moqueuse.
-Ah, se regarde comme-ci quelqu’un s’enrage, eh Maurice ?
Agacer et incertain d’où regarder, considérant combien peau des deux femmes, était exposée il demanda de l’autre homme. -Seigneur Maurice, ce que j’ai à dire est pour tes oreilles.
-Si tu as quelque chose à moi, tu peux le dire en devant de mon repas, étais la réponse à l’irritation du garçon qui cachait sa fureur derrière la politesse. Capturant les lèvres de la femme derrière lui. Celui qui se pressait contre son dos, avec des cheveux plus noirs que l’autre, pendant que l’autre femme, continuait à se moquer d’Augustin, avec ses yeux pendant qu’elle pressait son corps inférieur contre celui de son amant.
- Le prince est préparé à te laisser avec ta vie, et ton château si tu choisis de le supporter dans son conflit avec le Comes de Vexard et les autres seigneurs d’Ouestria. Répondit Augustin incapable de chasser la glace de sa voix.
-Il veut monter une guerre contre mes lièges qu’il ne peut pas gagner ? Et veux aussi que je joigne à ses efforts suicidaires ? Demanda Maurice du messager au ricanement de ses femmes, Dis-lui de venir ici et me téter.
- Je vois, d’accord, Acquiesça-t-il avant de plier son dos, au Seigneur, réfléchissant rapidement avant de penser d’un nouveau plan. Sans doute les gardes étaient encore proches, alors il décidait encore s’il devrait y faire, ce qu’il considérait. C’était impulsif et possiblement un acte suicidaire mais, elle garantira le château pour Aymon, se justifiait-il. Ce ne serait pas difficile d’accomplir la première partie, de ce plan il était après tout probablement plus fort, moins fatiguer et pas aussi distrait que le châtelain.
-Avec votre permission, je vais faire une prière rapide à la déesse.
- Oui, oui fait comme vous voulez. Dit Maurice, ayant aucun intérêt en lui, Mais je te veux partit avant que je m’endorme.
Le Seigneur sans contrôle de lui-même dévoua à nouveau, toute son attention aux femmes dans son lit, avec la première sortant quelques minutes plus tard. Comme Augustin avait planifié, et attendu. S'agenouillant devant la statue pour prier ou avoir l’apparence de faire cela, après que la femme aux cheveux noirs, avait départi pour aller à la recherche de la nourriture et du vin.
-Je vais chercher de la viande et le vin, de Lyonesse mon amour, Dit-elle à l’homme qui n’écoutait pas, trop concentré comme il était sur son autre amant.
Sentant la lame cacher dans le manche de sa robe, Augustin comme toujours sentit toucher et impressionné par les dieux, quand devant une statuette d’un d’eux. Ayant apporté la lame pour se défendre puisqu’il savait que les douvards, n’étaient jamais cherchés. C’était l’idée de Robert, son protecteur, de le cacher dans son manche.
S'élevant du plancher, il la sortit ayant gardé sa main sur elle, depuis son arrivée, il avancerait vers le lit où Maurice et la femme étaient préoccupés avec leurs baisers et relations sexuels. C’était la dernière chose que le noble fit, dans toute sa vie. Car la dague perça le derrière de son cou, se retirant et avant que son amant eût la chance de réagir, son cou était coupé, elle-aussi. Pour Augustin il avait hésité de tuer la belle femme, mais ayant juré de retourner au nord, et sachant que la faiblesse était déshonorable dans les yeux de Ziu, et que c’était sa vie ou le sien, il n’avait pas de choix. Il était après tout, déjà coupable d’avoir tué des femmes, à cause de la bataille de Norstrieux, durant laquelle plusieurs femmes avaient été tuées.
Pressant la lame dans la main de la femme, qui mourrait à cet instant, avec son cou tranché ouvert, Maurice tombant en avant, essayant de le saisir. Il faillit à cause de la vitesse de son meurtrier et parce qu’il était maintenant, trop faible et en trop de douleur.
Réalisant qu’il n’avait que quelques minutes le jeune déjà par la porte, l’ouvert juste un peu pour sortir et la fermer. Tournant aux deux gardes, poster de chaque côté d’elle, il les dit, gratifier qu’aucun du sang de ses victimes avait été versé sur sa robe. -Le Seigneur a dit qu’il veut ‘prier’ et que personne n’est pour entrer, sauf pour sa compagnie habituelle.
-Oui, frère, le guerrier au gauche hochait sa tête, sans trop d’intérêt, avec Augustin gratifié par comment corrompu ce noble idiot était.
Précipitant de là, vers les escaliers et essayant de paraître calme, une fois arrivé à l'étage principal, il n'avait plus de raison de dissimuler sa précipitation, pensait-il. Alors il commença à courir, pour la cour devant le château où les écuries étaient. Au lieu de son âne, il choisit un des chevaux, le montant sans un mot au garçon dans l’écurie.
-Frère où est-ce que tu vas ? Pourquoi es-tu si presses ? Demanda un des chevaliers dans la cour le moment il arriva dans la cour.
Sa mission de recherche consistait à découvrir les failles du château et à s'assurer que le fort serait en mesure de monter sa propre défense. Maintenant il restait juste à retourner au prince pour se sauver.
Galopant plus vite qu’il aurait dû faire, le chevalier déguiser galopa à travers les ouvertures laissées par les portes, traversant le village en moins qu’une minute. Dans les prochains instants, il était dehors, et avait presque sorti de là, voyant que les gardes allaient commencer à fermer les barrières, Augustin cria à eux.
-Attendez ! Les gardes le voyant, hésitèrent, incertains puisqu’ils étaient temps de fermer les barrières.
Leurs hésitations étaient tout ce qu’il avait besoin de et quelque second dehors était dehors avec le vent dans ses cheveux et sur sa face.
Bientôt il entendit des cris montés derrière lui, paniquant tout en pouffant de rires victorieux, il poussa nouveau son cheval vers l’est où il savait que l’armée de prince Aymon était campée. Après une heure de galoper intensive le Norençien, vu les bannières royales et mouvements des guerriers communs, apparu dans la distance. Ça ne le prit pas longtemps à venir à un arrêt dans le camp parmi les autres hommes. Et pour entrer en courant dans la tente du prince sans prévoir d'être annoncé.
C’était facile à trouver, avec les bannières du faucon noir sur une bannière dorée, et les deux gardes dehors d’elle distrait par un jeu de dés.
-Mon prince, j’ai des nouvelles de Marfort, Annonça-t-il exciter.
Trouvant le prince avec, un gobelet à main, assis devant une table avec des dés sur elle, dans la compagnie de Nolan, Robert de Mordéon, Jöel et deux autres nobles. Les expressions de surprises sur leurs visages montrant qu’ils ne l’attendaient pas si tôt, était presque la meilleure récompense qu’il pouvait imaginer.
-Tu es de retour pas mal tôt, qu’est-ce qui êtes arrivé ? Exclama Robert le noble. Est-ce que tu as même entré dedans le château ?
-Mais, bien sûr je ne suis pas comme vous, Grogna Augustin tournant au prince. Mon prince j’ai des nouvelles, il semble que le châtelain de Marfort est mort ! Le chaos règne en ville et c'est le moment idéal pour lancer une attaque.
Plus surpris que quelques secondes plus tôt et intriguer par ces mots le prince, fronçant ses sourcils et buvant du vin, demanda d’une voix curieuse. -Et pourquoi sont-ils sans ordres ?
-Parce que le Seigneur a été tué, Expliqua-t-il attrapant les regards incrédules des autres, il ajouta rapidement. Par une des amantes du seigneur.
Robert et Nolan regardaient comme s’ils doutaient sa version de l’histoire, pendant que Jöel indifférent, étant plus intéressé dans leur souper, qui venait d’arriver grâce à trois serviteurs, dociles.
-Sa femme ? Questionna le prince ébahis.
-Nous sommes tous conscients que Marfort était connu pour avoir de nombreux ennemis et pour ne pas refuser la compagnie des femmes, mon prince. Remarqua Jöel aux autres convaincus, qu’il n’y avait aucun mystère à regarder dedans à ce moment. Ceci joue à notre avantage.
-On doit agir c’est vrai, c’est possible que les citoyens vont être si paniqués par voir une armée approcher qu’ils vont ouvrir leurs portes, à nous. Remarqua Nolan le guerrier, toujours rempli de précaution, le guerrier semblait soucieux à ce moment à propos des ennemis. Nous savons que ce ne va pas prendre longtemps pour que Mathias nous attaque.
Tout le monde avait leurs yeux sur le prince, sachant que c’était sa décision de bouger les hommes ou pas. Comme commandant de leurs forces il prenait précédence avant le reste d’entre eux, le seul qui ne le pressait pas était étrangement Robert, qui étudiait encore Augustin.
Le regard sans émotions, commençait à l’intimider contre son gré, les yeux du noble bougeant seulement une fois que le prince avait acquiescé finalement à l'inévitable.
-D’accord, nous allons attaquer Marfort, mais je veux que la ville soit intacte, mon père en a besoin pour le commerce et je souhaite pouvoir l'utiliser dans le futur. Était la déclaration, tournant vers l’ouverture de la tente bien décorée. Écuyer ! Trouver mon armure, la guerre nous attend !
-Espérons que ce serait plus longtemps et plus amusantes que la dernière. Dit un des autres nobles avant d’avaler les derniers morceaux de son souper.
-Oui, plus amusante et peut-être portant plus d’honneur, Ajouta Robert avec un autre long regard à Augustin avant de départir, de la tente.