II
Deux semaines depuis leurs arrivés en le comté d’Aemillions, un territoire presque vide, remplis de colline, montagne, forêt et fermes, et seulement quelques forts. Elle était fermement derrière eux, avec les peu de seigneurs et chef des manoirs presque hostile, aussi en arrière d’eux.
D’un fort ou ferme à l’autre, ils échangèrent leurs chevaux pour une autre jusqu’à ce qu’ils n’étaient plus en Aemillions. Avec Augustin exerçant, dans le matin et nuit, gardant son silence pas juste parce qu’il était ordonné, de faire aussi peu de bruit que possible. Autant parce qu’il découvrit amèrement que son dos, à un temps considéré comme beau, à cause de ses muscles, par les filles son âge, avait changé. À présent couvert de cicatrices, qui servaient comme des rappel-mémoires, de son temps comme prisonnier, quand il était fouetté sur les ordres du Roi. Ayant jamais été obsédé avec sa figure, Augustin ne pouvait pas tolérer l’insulte que ses cicatrices représentaient, en tant qu’un guerrier. Pour recevoir des cicatrices, à cause de la torture ou des fouets étaient une immense insulte, à sa dignité. En particulier, parce qu’il avait toujours fait un effort, pour faire comme il était dit. À cause de son honneur et la fierté qu’il ressentait, à n’avoir jamais donné une cicatrice, sauf sur le champ de guerre. Pas qu’il avait beaucoup de temps à sentir de la pitié pour lui-même, car chaque jour d’aube à nuit, il fallait voyager à cheval, ou s’exercer sans fin.
Alors au moment où ils traversèrent le pont de Plessis, construit des siècles plus tôt, par GiwaldI qui traversa la rivière Roirne, autant pour refonder Hector, que pour attaquer l’armée de son père. Il était fasciné par le petit temple pauvrement bâti dans un minuscule village près de là. C’était pitoyable comment misérable ce village était. Cependant le temple n’était rien comme ceux en Norençie, où les temples étaient presque tous dédiés à Ziu, et plutôt des forts (sauf pour un ou deux, qui était quand même bâti en la forme, et avec cinq différents ‘mini-tours' autour d’eux), en le style de ce royaume.
Le Roi qui ne voulait pas arrêter pour voir une seule place, en Aemillion agissant dans sa manière typiquement étrange et égotique, ne continuerait pas, sans s’arrêter par ce petit village.
-Ah, Armand c’est temps pour s’arrêter, pour un peu. Annonça Aymon IV, d’une voix joyeux, sautant de son cheval noir, pendant que plusieurs moins courraient du temple pour l’accueillir. Le monarque ayant abandonné sa fourrure épaisse et armure, pour une tunique de soie bleue nouée ensemble avec une ceinture avec un faucon argenté au centre. Une chausse plus noircie de la même fabrique, et une cape de soie noire couvrant ses épaules et maintenue en place par une broche dorée en la forme du faucon traditionnel des Aemiliens.
Surpris, puisqu’il ne payait pas attention au monarque. Ses yeux sur les maisons de foins et boue, sur l’abbaye divisée en trois partis : Entre une espace où les moins vivaient, une crypte et le temple elle-même de pierre plus vieille, que les plus anciens des châteaux ou temples de Norençie. Grand, décrivait le temple parfaitement. Elle était peut-être cinquante mètres de haut, avec un sommet bien pointu, quant à la longueur du temple, elle étirait autant que sa grandeur. L’abbaye quatre tours, deux en avant et deux en arrière, tous avec leurs propres toits pointus et peut-être cinq mètres plus longs en hauteur que le corps principal du temple. Entre les toits de bois, les portes la même fabrique et un air digne, elle frappa l’écuyer comme la plus impressionnante place au monde. Tous peinturés blancs avec le temple d’après Bernard de Blêmer ayant originalement été décorés avec de l’or en honneur de la déesse dorée, et des bijoux argentés et blancs qui scintillait en la lumière des deux soleils, en honneur d’Orcus. Le dieu de la mort et juge de tout qui mourrait, les bijoux, or et argent avait été perdu ou volés depuis des dizaines d’années. Pour qu’il y eût un air de déclin autour du monastère, malgré son air majestueux et air presque vantard, comme-ci cette place disait ‘vient voir, j’ai les plus impressionnants hommes de notre histoire, dedans moi’.
Un fier Aymon informait l'écuyer que la construction datait de presque trois siècles, à l'époque du roi pur Giwald I. Le premier roi, de Neustrie et fils aîné de Samson II, frère aîné de Claudion III et Childéric II. Giwald était celui qui était le premier à pousser aussi loin que Neustrie et Ouestria, poussant les limites du royaume le plus après Claudion I et avant Waltgaud I, et étant le troisième meilleur des rois Faramondiens. Ils n'avaient pas beaucoup de rois parmi eux, en termes de bonté de caractère ou de compétence, car ils étaient obsédés par leurs querelles mutuelles.
Peut-être, le roi mythique a traversé à cet exact point, Pensa le jeune homme, rêvant du roi héroïque. Un jeune homme de quatorze saisons, il ne pouvait pas s’empêcher de comme tout jeunes son âge, de rêver ou de prévoir son propre futur. Un jour, il se dit qu’il aurait autant de gloire, autant d’aventures et une réputation aussi légendaire que celui de Giwald I. Qui était son troisième favori Faramondien, après Claudion I et Samson I.
-Viens, Dit Robert prenant les rênes du cheval de lui, interrompant ses rêveries de son futur. Encore habillée en son armure comme Bernard l’était, avec Augustin ayant été donné une tunique de laine verte de pauvre qualité et à peine assez long pour lui, avec son vieil cape de fourrure de loup.
Rougissant, Augustin se démonta comme ordonner, après qu'il vit que les autres prisonniers et favoris du Roi, avaient déjà démonté, de leurs propres chevaux justes pour disparaître avec le Roi. Regardant ici et là, il était surpris à découvrir que Bernard le Gros était le seul des favoris et garde de corps encore dehors, du temple.
Murmurant à son ami, Augustin demanda incertain et sentant stupide pour son manque de connaissance. -Où est-ce qu’on va ?
-Dedans le temple, avec le Roi. Pour prier pour ta sécurité et futur, Expliqua Robert aussi patient que toujours, signalant avec sa main droite au temple au gauche de lui, pendant qu’un moine attendait pour prendre les rênes de leurs chevaux.
-Mais pourquoi ? Ce n’est pas un temple à notre dieu, Plaignit Augustin pointant au symbole de fer fixé juste en haut, de l’entrée du Temple. Le symbole était une bascule, aux lieux de l’épée de Ziu, avec le jeune ne reconnaissant pas le symbole de ce dieu du sud.
-Montré du respect, Augustin. Grogna Robert corrigeant son ami, Ça vaut toujours la peine, de respecter les dieux des autres Royaumes. Et cette déesse est celle, de la famille royale.
Il y avait une sorte de connaissance personnelle dans sa voix, que le garçon ne pouvait résister de remarquer à propos de, -Est-ce que tu as voyagé par ici dans le passé ?
Sa question était basée sur le fait, que comme tous les jeunes d’Uldidier, il avait grandi admirant Robert et passant des histoires dans la noirceur de la nuit, des aventures du chevalier. Pas que le maître d’armes parlait très souvent des jours, avant qu’il fût reçu dedans le service d’Ulf.
-Non, mais j’ai battu en Neustrie dans le passé, alors je reconnais le symbole de Marianne même après vingt ans. Répondit Robert haussant ses épaules, avançant à l’intérieur du temple, avec l’écuyer juste derrière l’homme costaud d’Haldièrne.
-Qui as-tu battu contre ? Demanda Augustin fasciné, n’ayant jamais entendu l’autre mâle parler autant que juste maintenant, de lui-même. Un homme si privé par nature, Robert ne pouvait pas le savoir. Ainsi sa réticence avait au fil des années, crée une sorte d’air mystérieuse alentours de lui, que même Ulf, n’avait jamais percé, Augustin soupçonnait.
-Une discussion pour plus tard. Rétorqua-t-il mettant une fin au sujet fermement, entrant à travers les portes de bois ouvertes, avec Bernard directement derrière eux.
Le temple était une petite bâtisse de bois, si vieille qu’elle semblait sur le point de tomber en pièces, à n’importe quel moment. Les moines qui se précipitaient, partout pour proprement recevoir le Roi, nerveusement attendant, sur lui. De chaque côté avec leurs dos, contre les murs du temple, avec l’autel avec son bol d’offrande, juste en avant d’une statue d’une déesse, avec un faucon sur son bras, et un diadème sur sa tête. Une expression féroce, ferme et sévère sur sa face, laissant Augustin un peu intimidé.
En tout, elle coupait une figure intimidante, pour que l’écuyer regardant ici et là pour une place à s’asseoir, les bancs étaient si usés, si vieille qu’il éprouvait aucune inclination de s’asseoir.
Frissonnant, bougeant son regard de la statue au monarque agenouillé devant elle, sa tête baissée fidèlement, priant comme le reste de son groupe.
-Glória Matri, et fílii. Sicut erat in principium, sicut erat in finis dierum, et in saecula sæculórum. Benedic hoc homo, fílius tuus, rex Neustrius. Amen. Entonna le chef de l’abbaye, sa main élever devant le Roi qui, une fois que le moine avait fini, grimpant à ses pieds ouvrit un sac sur sa ceinture.
-Une petite offrande, pour le bien-être continuel, de votre monastère. Dit Aymon mettant quelques pièces de cuivre à dans le bol, l’abbé étant visible désappointement par la modestie de l’offre.
En dépit de son manque de joie, il remercia le Roi quand même juste pour remercier, Bernard avec beaucoup plus d’enthousiasme, quand le Comes offrit un anneau, avec un énorme rubis. Murmurant aux moines qui souriaient et embrassaient les mains du noble féodal avec une passion, qui amusait le Roi et Comes. Pendant que cela prenait place, les autres moins bougèrent vers les autres hommes présents avec des bols, avec l’intention de supplier pour des offrandes.
Dans le Nord, la même tradition d’offrir de la monnaie au temple existait, mais offrir une arme était plus commun, et apprécier que l’argent. À cause du fait que le dieu Ziu Seigneur de la guerre, était le suprême dieu du nord. L’acte d’offrir de l’argent qu’il n’avait pas était irritant à l’écuyer, à cause du fait, qu’il n’était pas du sud. Il était un suivant des traditions du nord, et non du sud, alors pourquoi fallait-il donner une donation à Marianne ?
Se souvenant de ce que Robert avait dit, et ce qui était arrivé la dernière fois, il avait agi d’une manière offensive dans les yeux d’Aymon le Rusé. Alors, le moment où le bol était passé par lui, il commença à chercher pour quelque chose à offrir. Juste pour trouver sa dague, un anneau de son père et une petite pièce morceau de métal brûlé. Qui était à un temps parti d’un couteau de sa mère, sauvée par Robert, des années plus tôt.
Devenant écarlate quand il vit que tous les yeux de ceux alentours de lui l’observait, le moine devant lui le donna, un regard impatient. Ce qui le terrifiait réellement, en ce moment était le regard irrité de son capteur.
Il réfléchit rapidement et se rendit compte que son anneau n'était pas aussi précieux que celui de Bernard, avec sa dague offerte par Ulf, à laquelle il n'était pas aussi attaché que son anneau. Le morceau de métal était une possession qu’il refusait d’abandonner, si attacher était-il à elle, et valait probablement moins que rien. Il choisit la dague, certain qu’il pourrait acheter un plus tard, ou serait séparé d’elle à un point ou une autre. Pas qu’il avait permission, de la sortir du fourreau récemment à cause du nature paranoïaque, des gardes du monarque.
-Une dague ? Vraiment ? Plaignit le moine, regardant un peu agacer à l’irritation du jeune. Ce n’était pas comme s’il avait quelque chose de plus à donner, ou était permis de porter une meilleure arme qu’une simple dague. Ses vraies armes étaient enlevées et jamais retourné à lui, avec Robert étant dans le même état.
Haussant ses épaules, Augustin refusa de répondre au jeune moine, qui le regardait maintenant avec du dégoût. Jetant un coup d’œil dans la direction de Robert, il espérait pour du support. Il était agacé par la réaction de son ami, qui était visiblement amusé.
Le guerrier lui-même, offrit comme donation seulement quatre pièces de faucons de cuivres, qui était double ce que le Roi avait donné.
L'ignorant, ainsi que les autres personnes qui se moquaient de lui, l'écuyer braquait son regard sur la statue féminine, sans pouvoir saisir le culte qui lui était voué, ni la conviction de sa puissance supérieure à celle de Ziu. Quand elle avait un temple aussi misérable que celle-ci, et quand elle était une femme, et non un homme.
-Il est l'heure de partir, je veux arriver en Allyriane avant mon dîner et Hector la fin du jour après-demain. Déclara Aymon parlant de la plus fameuse de tous les monastères du pays, et la plus sacrée autre que Quirina ou Ahhein les deux villes les plus grandes sur le continent d’Agénor-du-nord. Avec Quirina la ville du Grand Divan, la ville sacrée de la fois où la tête de la foi vivait.
Augustin se sentit presque emprise par l’excitation, espérant qu’ils pourraient voir le corps du plus glorieux de tous les Neustriens qui ait vécu. Car, c’était reconnu par tout le monde comme la place, où le grand roi, Aemiliemagne, son père puissant Pépin et grand-père Aymon I Martel, étaient tous enterrés.
C’était alors pour le garçon un des plus grands rêves de toute sa vie, pour voir les plus célèbres héros qui ont jamais vécu. Ayant grandi avec leurs histoires, leurs contes héroïques, résonnant dans ses oreilles, il ne pouvait pas cacher son excitation. C’était, il avait été dit, originalement un vieux temple dédié au vrai dieu des trois glorieux monarques, Ziu avant que les infidèles du sud l’aient converti à la foi de la déesse du sud. Augustin n'était pas très au fait de ce sujet, seulement de ce que Tassilon lui avait appris quand il était jeune.
Le souvenir du moine, qui l’avait éduqué autant qu’il y était possible, apporta de la tristesse au jeune qui manquait le vieux moine féroce. Qui était presque aussi talentueux et vicieux un guerrier que l’habile Robert.
-Est-ce qu’on va vraiment aller voir le tombeau de l’empereur ? Demanda-t-il d’une voix exciter à Robert, essayant de murmurer pour éviter de choquer les moines de ce temple plus qu’il avait déjà fait, fatiguer de regards désapprouvant.
-Non, tu ne vas pas voir le tombeau où le corps de mon ancêtre se trouve, et nous l’avons déjà passé, il y a une heure. Interrompit Aymon avant que Robert pouvait répondre, ayant apparemment entendu sa question. Ricanant, le Roi ajouta pendant qu’ils sortaient, Et non, vous n’allez pas entrer à l’intérieur du temple bénit par la dame sacrée Allyriane.
Blessé, l’écuyer aurait bien aimé dire les mots brûlants sa langue, roi ou pas, il n’allait pas laisser glisser l’opportunité de voir les restants du magnifique héros, Aemiliemagne.
Voyant sa réaction, Bernard remarqua avec un petit rire généreux, -Laisse le Aymon, si tu veux mon opinion, se ferait le garçon du bien de voir l’intérieur du monastère. Peut-être il convertirait à notre foi, au lieu de continuer à vénérer les traditions barbares du nord.
-Non, Bernard j’ai fait ma décision, Répondit Aymon grimpant sur son cheval, et secouant les rênes entourant le cou de l’animal.
En ce moment, Augustin commença à réellement haïr le Roi.
La région près d’Allyriane, la nécropole des rois, de Neustrie depuis le temps de Giwald I (avec, ses successeurs ayant bougé plusieurs de ses prédécesseurs comme Claudion I là) était une région avec une seule forêt, pour que le Roi puisse faire la chasse, la Forêt-Noir. Surnommé pour des raisons qui échappaient à l’écuyer, c’était à Robert pour offrir de le raconter la raison pour son nom. Une offre qu’il rejeta, pas d’humeur à entendre des contes ou histoires. Partiellement à cause du Roi, et partiellement à cause de la moquerie que ce vaurien Foulques, jetait encore contre lui.
Il y a plusieurs centaines d'années, Allyriane était une femme sainte décédée pour sa foi, sans qu'Augustin ne connaisse les détails précis. Tout ce qu’il savait, était qu’elle est morte dans cette région était où le monastère, était maintenant établi. Et qu’elle avait été choisie comme une des patronnes des rois de Neustrie à cause du fait, que supposément elle était une des ancêtres, de la famille royale.
Ce n’était pas déconcertant ou étrange dans les yeux d’Augustin de savoir si peu de Neustrie, dans son opinion, il y avait peu, qu'il voulait savoir à propos d’eux. Ils étaient étranges, barbares, faibles et trop hautains pour son goût.
Le groupe de captives et garde de corps restant dans les plaines, près d’un des fermes, appartenant au monastère, attendant pour qu’Aymon, son entourage et quelques-uns de ses gardes de corps, à retourner. Ceux laissés en arrières, étaient forcés à attendre pour le retour du Roi, avec l’énorme temple de Marianne Regina dans la distance.
Haut et imposant, ce temple était fait de bois et pierres plus solides que celle à Armand, avec quatre étages, des fenêtres de chaque côté sur les côtes gauches et droites. Montant trente mètres de haut, et presque double la longueur de l’autre monastère. Celui-ci ayant trois bâtisses aussi, avec Armand encore en vue au sud. Les moines qui avaient accueilli le Roi, contrairement aux moines du dernier monastère étaient richement habillés, dans des robes rouges, blanches et noires. Plus tard, Augustin apprendrait qu’ils avaient doublé en arrière, parce que Bernard avait promis de visiter Armand en premier, à cause de la pauvreté de ce temple.
C’étaient plusieurs heures, durant laquelle les captives passeront le temps avec des jeux de chances, de dés grâce d’un des nobles capturés, un châtelain par le nom de Denis. Penchés vers elles, presque une dizaine d’hommes s’amusèrent de cette façon. Pendant que le reste des hommes, assis dans l’ombre de plusieurs arbres, pour éviter ou cacher de la chaleur du jour.
La minute Aymon retourna du temple c’était pour trouver les hommes en désordres, les prisonniers encore gardés mais jouant des jeux d’argents. Le seul indice de son humeur à voir ses hommes, dans le milieu de jouer avec leur argent, au lieu de maintenir leur position, était la froideur de ses paroles.
-Tu as bien fait, Nithard, je peux voir que tu as maintenu l’ordre dans le camp pendant, que j’étais parti. Remarqua Aymon sa voix presque aussi glaciale que ses yeux en ce moment.
-Messire, je voulais simplement- Dit Nithard commençant à donner des excuses.
- La ferme, prépare les hommes pour le retour à Hector. Coupa Foulques, pas plus généreux que son chef, et ayant abandonné son armure argentée pour un doré avec un serpent sur sa poitrine, et une cape de soie rouge sans doute plus coûteuse, que toutes les richesses dedans Château-Norstrieux mis ensembles.
Embarrassé, et vite à se tirer de la terre où il était assis, juste une minute plus tôt avec les autres hommes avec qui, il avait distrait lui-même avec des jeux. Augustin était un des premiers à sauter sur son cheval, effrayer et voulant, partir de l’abbaye. Même-ci se signifiait ne pas visiter la nécropole des Aemiliens.
Sifflant d’entre ses dents, il joignit les autres hommes précipitant vers le sud, et leur futur. Certain, que par le temps que les prochains deux jours était terminé, il serait mort ou emprisonner.
Alors après qu’ils avaient traversé presque douze baronnies, ils arrivèrent en les terres royales d’Hector, et les barrières au nord de la ville d’Hector elle-même. Augustin senti une différente sorte de choc, quand il vit la ville pour la première fois. Une ville qui avait des murs à peine dix mètres de haut, et peut-être deux mètres en épaisseur, avec trois moulins et temples, deux plus que la moitié de la grandeur et hauteur de celle plus au nord, en Armand. La troisième étant près du quartier des nobles et riches hommes de la ville, et qui était purement (comme les deux autres) faite de bois, et était peut-être quinze mètres de haut, en dehors des murs, avec les rues couvertes de besognes d’animaux et gens, boues et du bois, et sans pierres. La ville originant dans la période de Giwald I, mais ayant été brûlé trois fois depuis cette ère, elle avait été rebâtie que récemment, avec une population de peut-être deux mille âmes, et étant entièrement dépendant sur la protection des rois de Neustrie. Qui était souvent moqués avec le titre de ‘roi d’Hector’ par raison de comment proche ils restaient à la ville, qui était notable pour le nombre de huttes et bâtisses fait d’un mélange de bois et boues.
Augustin sentit un autre choc, le moment il vit les murailles au moins vingt presque trente pieds de hauts, qui le semblaient impénétrables. Leur côté de la route couvert de paysans sales et forcer par l’annonce vociférateur par un des gardes du corps du souverain de Hector, de l'arriver du Roi. Rien ne semblait diminué de la majesté de la ville la plus grande de Neustrie, sauf pour la puanteur venant d’elle. L'odeur était tellement forte que l'écuyer était convaincu qu'elle aurait pu réveiller les morts.
En comparaison à Norençie, le sud était énormément plus chaud que même les étés du nord, cette région l’apparaissant en ce moment, comme étant volcanique. Car cette région, et sa température n’avaient pas encore débuté son voyage vers la froideur de l’hiver.
-Ferme ta bouche, sinon tu vas avaler toute la ville, Se moqua Bernard.
Augustin ferma rapidement sa bouche, pas du tout amusé par la remarque, se demandait comment pouvait-il ne pas être impressionné ? Quand il faisait face à la plus majestueuse chose qu’il ait vue dans tout, sa vie.
Se faisait aucune différence où il regardait, des gens couvraient la terre boueuse de la ville, et les bâtisses sales. Ou, peut-être là dans la direction du temple de Marianne, la mère des rois. Tournant sa tête à nouveau, il découvrit quelque chose de plus impressionnante dans la distance ; le château du Roi. Cette haute structure en pierre était plus grande que les temples délabrés près d'Armand, et c'était le premier fort en pierre qu'il eut jamais vu. Ses murailles étaient bâties du même matériel, montant vingt mètres de haut, imposant et en superbe condition. Quant au donjon, elle avait un toit de pierre, bien pointu et était la même longueur que ceux du nord, avec très peu de fenêtres. Avec des tours à chaque douze mètres, avec sept tours derrière les murs autour du donjon, tous avec des toits bien pointus, comme des flèches pointés vers les cieux. Trois blancs et trois autres supposés d’être dorées, mais qui apparut comme étant une jaune pâle, presque blanc. Ceci étant le seul signe d’âge et d’avoir laissé ses meilleures années derrière elle, sur la part du château.
Retournant son attention à la rue alentour de lui, il était surpris à trouver que les gens, les paysans de Hector figé en place, avec leurs yeux fixés sur le Roi, et son entourage. Les ignorants, Augustin se sentit paralyser par le temple de Marianne, avec ces quatre tourelles, deux en avant et deux en arrière. Les tourelles montaient aux cieux, ou du moins ce semblait, plus haut que même ceux des deux temples d’Armands, dépassant la hauteur des murailles de pierre de la ville.
Le temple était au moins double la hauteur des barrières autour de la ville, ou le château juste six kilomètres en dehors de la ville mentionné. D'en haut, Augustin pensait que les fenêtres étaient les portes, ou plutôt les portes massives qui constituaient les portes du temple, la résidence du Roi de Neustrie.
-Oie, vous là, stupide ! Le Roi t’adresse, Gronda Foulques perçant ses rêveries impoliment, Nous avons quelques minutes avant d’arriver, et tu devrais le remercier pour t’accepter dans son palais, comme tous petits vauriens devraient faire.
-Oui, Monsieur Foulques, je vais le donner ma plus sincère gratitude, et je suis si heureux que vous l'avez remercié aussi. Répondit Augustin aussi narquoisement que possible, avant de suivre Bernard de la ville, sur la route au château du Roi.
Bonne chapitre